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| Commandeur Valorys Respect diplomatique : 865  17/05 ETU 20:41 | Score : 12 Détails > Ce topic est destiné à l’évolution de vos RP :
Le commandeur Valorys, a bord du croiseur amiral Icare, retournait sur Comenor après un court séjour dans la capitale. L'élégant croiseur filait à travers l'espace, vers le système du Lion. Marchant dans les coursives du croiseurs, le commandeur regagnait d'un pas vif et martial ses appartements. Il composa le code de sa cabine puis entra avant de s'affaler dans un lourd fauteuil d'ébène. Tourné vers une gigantesque baie vitrée, le commandeur observait l'espace infini qui défilait devant ses yeux. Ses pensés le trahissaient... Au fond de son cœur, cet homme d'apparence droite et sereine , était brisé, anéanti par un terrible drame dont il ne s‘est jamais vraiment remis. Bientôt 10 ans .... Elle aurait du avoir 23 ans aujourd’hui Il se souvenait de ce jour comme si c'était hier. La famille Valorys avait toujours été une famille influente sur Comenor. Leur fortune allié à leur talent de politicien les avaient amené aux plus hautes sphères de l'état. Lloyd Valorys n'échappait pas à la règle. A l’époque il était encore sénateur à la curie Comenorienne. Époux et père de famille comblé Lloyd Valorys était le plus heureux des hommes. Mais le climat politique était devenu de plus en plus malsain. Une crise économique majeure avait ranimé les plus violents querelles et poussé les extrémismes de toutes sortes à refaire surface. Un groupe d’activiste sessioniste, profitant du chaos ambiant, terrorisait la classe politique par des enlèvements et meurtres atroces. Après avoir engagé une politique de répression et de traque systématique de ces terroristes, le sénateur Valorys devint vite « l’ennemi » à abattre. C’était un jour comme un autre, une de ces journées agréables sur Comenor. Le sénateur se rendait à la curie comme tous les matins. Quittant sa fille d’un baiser affectueux sur le joue il se précipita vers le speeder qui l’attendait depuis déjà quelques minutes. Le speeder quitta la banlieue chic de Reeverside pour rejoindre le centre administratif. Comme à l’habitude les périphériques aériens étaient encombrés. Le sénateur Valorys commença à s’agiter : - Rahhhh, Johnes avez vous mon X-com ? - Nous messieurs, peut être l’avez-vous oublié chez vous ... - Faites demi-tour je vous prie Le speeder pris une bretelle de sortie et regagna la banlieue de Reeverside. Il y avait quelque chose d’inhabituel... De la fumée, un énorme panache de fumée s’élevait au loin. Elle semblait provenir du quartier résidentiel de Reeverside. Le speeder s’engagea dans les belles avenues de district : - On dirait que l’incendie provient des alentours... Et en effet... Au loin, l’immense demeure du sénateur était en proie aux flamme. Le speeder fit une embardé et entra à toute vitesse dans la propriété. Lloyd Valorys sortit du véhicule, à peine arrêté. Le spectacle était apocalyptique. Soudain son sang se glaça. Au pied de la demeure deux corps carbonisés gisaient, encore fumant. Le sénateur reconnu le bracelet en or rose de sa petite fille. Puis plus rien... Le sénateur s’effondra devant l’horreur insoutenable de la scène. Ce jour là, le sénateur Valorys avait perdu sa femme et sa fille. Le crime fut revendiqué peu de temps après par les séparatistes. Les meurtriers furent pourchassés puis enfermés à vie dans le pénitencier de haute sécurité de Tantis. Lloyd Valorys ne fut plus jamais le même. Il se consacra à corps perdu dans sa carrière politique. Accèdant au mandat de commandeur suprême il redressa la nation comenorienne et ramena le calme et la prospérité. Soudain, le commandeur fut ramené à la réalité par un sonnerie stridente. Les haut-parleur annonçaient la sortit du vaisseau de l’hyperespace, et l’arrivée sur Comenor. Se redressant péniblement le commandeur ajusta son uniforme et s’apprêta à rejoindre son vaisseau personnel. | ||
| Wat Tambor Respect diplomatique : 204  18/05 ETU 17:02 | Score : 6 Détails Sora, lorsqu'elle allait se coucher le soir, résidait dans les quartiers du Techno-Syndicat, sur la capitale du peuple très avancé de Skako. Ce soir là, son quotidien changea...
Pendant la réunion du Conseil de Skako annuelle, le Techno-Syndicat traitait différents sujets, géo-politique, progrès technologiques et concrets, organisation du territoire... Wat Tambor, qui était présent à cette réunion, prit la parole comme à son habitude : << Chers collègues, nous devons investir dans la nanotechnologie, les bénéfices apportés seront de 68% au dessus de la marje actuelle et...>> Soudain il se tut, comme si il avait eu une intuition, un instinct et dit : << Mes amis,j'ai des secrets à vous avouer, mon vrai nom est Nel, Wat Tambor est mon nom de famille seulement, si devait à ce jour disparaître ou mourrir, je cèderai ma place de président à ma fille, Sora. >> Sora, fut énormément surprise, elle se demandait comment cela était possible, étant donné qu'elle était humaine, et que son père était Skakoan, elle le lui demanda. Wat Tambor, qui semblait étrangement mal à l'aise dit : << Sora, j'ai quelque chose à t'avouer, tu es bien ma fille mais... Je t'ai vu jallir d'une lumière blanchâtre, dans une fôret de Skakoris, et là je t'ai recueillis et élevé comme ma propre fille, pour moi, tu resteras toujours ma fille et...>> Il n'eu pas le temps de finir son discours, qu'une lumière blanchâtre jaillit du plafond de la salle de réunion, semblablement la même quand il avait vu Sora pour la première fois. La réunion fut interrompue et le conseil de sécurité du Techno-Syndicat décida, suite au testament de Wat Tambor, de léguer la place de présidente à Sora, qui prit immédiatement ses fonctions. | ||
| Seigneur Grimaldus Respect diplomatique : 806  18/05 ETU 20:04 | Score : 4 Détails
\\\DE L'ORIGINE DES SEIGNEURS /// "Origine de la race des Seigneurs" Il semblerait que les premiers contact humain/seigneur ait eu lieu dans une autres galaxie. Les Seigneurs seraient arrivés dans des vaisseaux gigantesque,et leurs technologie aurait surpassé,et de loin,celle des humains,bien que ces derniers étaient plutot en avance. Les seigneurs se seraient imposés par la force,mais aussi simplement en montrant leurs pouvoirs psychiques. On raconte que l'un d'entre eux détourna une comète,ce pour éviter qu'elle ne s'écrase sur une planète,forgeant ainsi le mythe des Seigneurs. En effet,il semblerait que les Seigneurs,bien que très mystérieux,soient en fait une race d'humain,qui auraient été en contact avec,selon leurs dires,des dieux. Les Seigneurs soignent leurs apparences.Cachant leur visage,évitant les contacts phisiques,leur étrange comportement entraine curiosité et crainte,leurs permettant d'asseoir chaque jour un peu plus leur pouvoir sur les humains qu'ils dominent. Les Seigneurs sont visiblement dotés de technologies avancées,mais aussi d'une armée efficace,entrainée,et surtout fanatique. Aucun soldat n'a envie d'avoir à braver la colère de leur Seigneur.. Il semblerait aussi que les Seigneurs soient d'une sévérité et d'une autorité implacable: on raconte qu'il est témoin de voir 10 à 40% de la population d'une planète annihilée,et ce sur le simple doute d'une révolte. Mais ce sont surtout des dirigeants nobles,puissants,zélés." | ||
| Omerta Respect diplomatique : 5  20/05 ETU 10:15 | Score : 1 Détails ** Transmission Radio interceptée. Emetteur inconnu. Destinataire non mentionné.**
""Dans bien des mondes, bien des temps, Omerta est connue, célébrée, vénérée, crainte. Sous différents noms, différents aspects, différents profils, Omerta est présente. Nul ne connaît une preuve de son existence, nul ne n'en connaît...aucune. Seul le voile noir, sombre, l'absence qui parfois vous etreint, ce sentiment d'absurdité de votre vie qui vous prend, parfois, nous laisse à penser qu'Omerta n'est pas seulement une légende. Ces ténèbres qui semblent vivantes dans la nuit profonde, agitées de tremblements sereins, à la fois attirants et angoissants, peut-être est-ce Omerta. A-t-elle toujours existée, vague réminicence des temps anciens où la vie cohabitait avec les Etres supra-naturels, antérieurs aux civilisations de l'Univers ? Est-elle la matérialisation onirique des peurs des vivants, la quête absolue du sens de l'Existance, et ainsi sa réponse nihiliste? Ou a-t-elle été vivante, pitoyable créature condamnée à l'errance pour l'Eternité, porteuse de chagrin sans même avoir conscience de l'être ? ou la sachant pertinemment, sans aucun espoir d'inverser la marche de l'histoire ? Eternelle, elle demeure. Sans jamais avoir fait entendre d'elle qu'un souffle glacé qui saisit le coeur, sans que jamais la pitié n'ait affleuré une quelconque conscience. L'absence...la fin...telle est Omerta. Et le recommencement, partout, tout le temps. Vous qui prendrez connaissance de ce message, qui que vous soyez, ou que vous soyez, quand que vous soyez, rejoignez la, dans son sommeil paisible et infini. Omerta est la question et la réponse. S'il doit y en avoir." | ||
| Oxis Respect diplomatique : 14  20/05 ETU 21:20 | Score : 4 Détails L'Histoire d‘Oxis.
La Saga du plus Puissant des Orks ! Oxis est l’un des personnages les plus craints du Monde , et nains, elfes et humains ont tous leur lot d’histoires terribles sur son compte. Les mères de famille n’hésitent pas à se servir de lui comme croquemitaine pour que leurs bambins se tiennent tranquilles. Quant aux nains, des pages entières de leurs Livres des Rancunes sont dédiés à ce redoutable peau-verte. Enfin les elfes sylvains ne font que murmurer son nom, persuadés qu’il s’agit de la réincarnation d’un ancien démon qui hantait jadis les frondaisons d’Athel Loren. Même les abjects skavens tremblent et libèrent le musc de la peur lorsqu’il est mentionné en leur présence. On ne sait rien de l’histoire ancienne de Oxis. Le seul ork assez fou pour l’avoir questionné sur son passé rejoignit dans un trou les restes du précédent Seigneur de Guerre des Yeux Jaunes. Oxis et ses Gardes du Corps étaient sortis un jour du Désert Foudroyé, chancelants et couverts de sang et de cicatrices. Ces quelques orks étaient tous fatigués et affamés, mais ils étaient armés jusqu’aux dents, et semblaient avoir survécu à de nombreux combats. Certaines de leurs blessures semblaient récentes, mais personne n’osa plus rien leur demander car ils compensaient leur nombre réduit par leur brutalité impitoyable. Oxis prit facilement la tête de la première tribu orque qu’il rencontra, conquit la seconde et extermina la troisième. Il voulait toujours plus de tueries. Même pour un orque, sa soif de batailles semblait incroyable. S’il ne combattait pas pendant plus d’une journée, il cherchait querelle à tous ceux qu’il croisait, son œil valide cerclé de cicatrices à l’affût de la moindre faute. Au bout de deux jours, il tuait tout gobelin assez malchanceux pour lui tomber sous la main. Oxis ne recherchait rien d’autre qu’une éternelle bataille et pour un orque, cela prédispose à être chef. Pour un énorme orque noir accompagné d’une telle suite, cela prédispose à la grandeur. Un mois après son arrivée, il s’était forgé un petit empire dans la partie nord des Montagnes du Bord du Monde, et les peaux-vertes s’étaient ralliés à sa bannière par milliers. Les nains de Karak Kadrin furent les premiers de leur race à connaître sa colère lorsqu’il se jeta sur eux avec une férocité démente. Ceux qu’il ne tua pas, il les fit prisonniers pour les torturer, leur arracher la barbe poil par poil, ou chauffer leur armure jusqu’à les faire cuire. Il ne tenta jamais de prendre la forteresse elle-même, se contentant de massacrer ceux qui étaient envoyés contre lui jusqu’à ce que les nains, désespérés par leurs pertes, s’enterrent dans leurs défenses pour attendre l’hiver. Oxis ne voulut pas attendre, il repartit vers le nord et traversa le Col du Pic pour trouver de nouvelles victimes à Kislev. Malgré la vaillance des Kislévites et leur habitude des rigueurs de l’hiver, la violence de l’attaque de Oxis fit chanceler leurs forces. Ils envoyèrent trois armées pour l’arrêter, Oxis les massacra et mangea les cadavres par manque d’autre nourriture. Mais alors qu’il approchait de la capitale, les prières de la Reine des Glaces furent entendues et une tempête de neige vint ralentir les peaux-vertes. Toute l’armée fut soudain enveloppée d’un manteau de glace tourbillonnante qui sema la confusion dans leurs rangs. Les gobelins aveuglés geignaient et les oroks les faisaient avancer à coups de pied, mais les repères du chemin disparaissaient dans un labyrinthe de blancheur. Après avoir avancé à tâtons pendant une journée, Oxis ordonna une halte et s’assit pour réfléchir. Frustré et furieux de cette halte forcée, il démembra de nombreux gobelins : heureusement, la horde en comptait des centaines. Bientôt, les chamanes orks parlèrent de sorcellerie et selon eux, la tempête n’était pas naturelle. Le lendemain, Oxis ordonna à son armée de repartir vers les montagnes. Sur le chemin du retour, la tempête sembla se calmer, mais à chaque tentative de marcher à nouveau sur Kislev, les vents se déchaînaient et criblaient les orks de glace. Oxis retourna dans les Montagnes du Bord du Monde empli d’une rage qui présageait du pire pour ceux qui se mettraient sur son chemin, qui se trouvèrent être les skavens du Clan Mors. Il avait décidé d’établir une base d’où lancer ses attaques, et l’ancienne forteresse naine de Karak Ungor lui sembla parfaite. La plupart des gobelins de l’Oeil Rouge qui y vivaient étaient déjà soumis à Oxis, et le peu qui ne l’étaient pas changèrent vite d’avis. C’est dans les profondeurs des tunnels que Oxis trouva de vrais adversaires, et bientôt les anciennes salles s’emplirent du bruit des batailles. Mois après mois, les combats firent rage, des milliers de skavens et de peaux-vertes moururent pour chaque pièce et chaque couloir. De temps à autre, Oxis pensait les skavens détruits, et tombait sur un nouveau passage secret regorgeant de vermine. N’ayant pas de carte du dédale de galeries que les skavens et les Gobelins de la Nuit n’arrêtaient pas de creuser, Oxis se retrancha dans les niveaux supérieurs, laissant ses soldats se battre dans les profondeurs. Il avait trouvé exactement ce qu’il voulait : une éternelle bataille. | ||
| Oxis Respect diplomatique : 14 20/05 ETU 22:50 | Score : 0 Détails Oxis à Malisse :
Durant des années, Oxis tint son quartier général dans les ruines de la forteresse de Karak Ungor, sur la Montagne de l’Oeil Rouge. Les scribes impériaux ont déjà relaté nombre de ses méfaits, mais un nouveau chapitre est venu s’y ajouter, et l’on murmure que le terrifiant ork parcourt à nouveau les contrées du Vieux Monde en quête de massacres. Pendant plusieurs mois les contrées entourant les régions montagneuses du sud de Kislev se virent épargner la menace constante d’une attaque ork, car les rudes tempêtes d’hiver qui soufflèrent à travers plaines et montagnes obligèrent orks et gobelins à se retirer dans leurs cavernes. Même là, dit-on, leurs peaux épaisses subirent la morsure d’un des pires hivers depuis bien longtemps. Devant cette retraite forcée, Oxis n’eut d’autre choix pour assouvir sa soif de massacres que de se tourner contre les hordes de skavens qui avaient creusé leur repaire au plus profond de la montagne. Par chance, le clan Moulder est l’un des plus prolifiques, et chaque année, Oxis put retourner dans les montagnes pour passer sa rage sur les skavens qui avaient eu le temps de combler leurs pertes. Au début, il fut heureux de pouvoir massacrer à volonté ces innombrables hommes-rats et les longs et tortueux tunnels que ces créatures avaient creusé finissaient invariablement baignés de leur sang. Il avait enfin trouvé des adversaires qu’il pouvait écraser en toute tranquillité, et dont les effectifs se reconstituaient très vite, lui permettant de ne jamais être à court de victimes. Dans une tentative désespérée de se débarrasser de la menace de ce puissant seigneur ork, Throt le Galeux, le Maître Mutateur du clan Moulder, envoya contre lui des milliers de skavens en espérant que le poids du nombre chasserait les orks de leurs tunnels. Mais une telle quantité d’adversaires ne fit que décupler l’ardeur de Oxis qui se dirigea vers Malisse, le repaire du clan Moulder. Ses orks et lui ne cessèrent de s’enfoncer toujours plus loin en se frayant un chemin à travers les tunnels infestés de vermine, de sorte qu’ils finirent par se trouver à proximité du royaume souterrain du clan Moulder. En dernier recours, Throt envoya à sa rencontre des dizaines de rats-ogres, ces créatures mutantes dotées d’une musculature surdéveloppée et de griffes mortelles. Dans un premier temps, l’assaut frénétique de ces bêtes sauvages prit les orks par surprise et ces derniers furent repoussés, mais alors que les skavens accentuaient leurs attaques, Oxis lui-même refusa de céder davantage de terrain en dépit de la fuite de ses gardes du corps orks. Il resta obstinément en travers d’un tunnel, bloquant le passage de son énorme corps. Le premier rat-ogre qui se jeta sur lui mourut dans l’instant, le crâne fendu par la hache du seigneur ork. Le second fut tranché en deux et le troisième connut bien vite le même sort. L’étroitesse du tunnel empêchait les rats-ogres de tirer profit de leur supériorité numérique et, quelques heures plus tard, Oxis retournait à son camp, non sans avoir occis plusieurs dizaines des créatures les plus puissantes du clan Moulder. Il ne fait aucun doute que s’il avait poursuivi ses attaques, il aurait fini par dévaster le repaire entier des skavens, mais Oxis avait fini par en avoir assez de tuer cette vermine. Ayant tenu tête tout seul contre leurs meilleures troupes, les skavens ne présentaient plus d’intérêt à ses yeux. Voilà pourquoi sa tribu quitta le confinement de Karak Ungor pour partir à la recherche de nouvelles conquêtes. | ||
| A Respect diplomatique : 176  22/05 ETU 15:54 | Score : 4 Détails (XIXième Congrès des Travailleurs Prolétaires)
Discours d' ouverture du Kamarade Président et Commandant A aux masses laborieuses de son peuple ^^ Kamarade et ami travailleur, En ce jour de l' an 2006 ETU et, par le pouvoir que le parti m' a confié, il sera désormais à ma charge, la lourde mission de mener notre Sainte Mère Patrie vers le bonheur de l' idéal prolétaire et de veiller à ce que celui ci, ne soit pas spolié par les lobbys ou vautours avides de la galaxie. Déjà, ce profile au loin, les cartels impérialistes de l' argent, soutenu, et, à la solde, de marchands d' arme qui meneront la galaxie un jour ou l' autre dans le fracas des armes. C' est ce capitalisme bourgeois, avide de leems, qui causera la perte de la démocratie car, déjà, il se dresse ici ou là, les futurs temples du commerce triomphant, ourdissant, dans l' ombre, les futurs complots et guerres fratricides et, sur ce sacrifice mercantile, mourront les Kamarades et giclera le sang et la sueur que les masses laborieuses auront versés pour le leem de ces impérialistes comme contribution posthume à leur orgueil. C' est pourquoi en tant que Kamarade Président, je déclare, officiellement nos planètes, zones et sphères d' influence, comme neutre et non alignée politiquement et ce, afin d' éviter la gangrène du stupre sulfureux de la corruption et de la soif de pouvoir à nos Kamarades. Sachons voir, la pitoyable facilité évidente avec laquelle, bon nombre de moutons aveugles sombreront dans les dérives de leur luxure et mégalo. Armons le bras de nos braves travailleurs afin de préserver de cette tentation et de ces dangers, l' idéal que nous avons fixé car, nous serons neutre mais, impitoyable dans la défense de ce choix. Puisse, le pouvoir du peuple, à jamais, gouverner sur nos terres et laisser la pourriture capitaliste aux frontières de notre Empire et Sainte Patrie. Je nomme le Kamarade Travailleur Sopalovitch, émissaire et commissaire du peuple des A comme représentant au sein de l' Assemblée. Puisse-t-il ne pas etre contaminé par les idées impérialistes et bourgeoises véhiculées par ces porcs du "Grand Capital". Puissions nous, etre un exemple de paix et de developpement solidaire là, ou, ne cherchera à pousser, que les germes puants de l' égocentrisme nombriliste de l' argent et de l' affairisme politique qui lui est lié. Kamarade Président A (... ^^) | ||
| Leorique Respect diplomatique : 387  22/05 ETU 22:02 | Score : 3 Détails <Souffrance …>
Des griffes … des crocs … souffrances … un voile rouge … une division … séparation de l’infini … est ce l’infini …? une âme coupée en deux est elle encore une … ? … Un démon … ? aucune forme imaginable … aucune forme perceptible pour un esprit normal … pourtant … une forme … suis je fou … ? Les cris d’une amie … elle supplie d’arrêter … que j’arrête … je suis sans émotion … Leorique se réveille en sursaut. ‘Douleur … toujours le même cauchemar …’ en grimaçant il se relève dans son lit, ne se rappelant même plus depuis quand il a vraiment dormi. La fatigue et la douleur tourbillonnent dans son esprit et il se prend la tête a deux mains. ‘pas de larme … rien … je suis vide … sans âme … ?’. il se parla haute voix « Suffit .. d’autre chose a faire que ça … » Il se lève et s’habille rapidement et observe son appartement. Une grande chambre, une glace immense d’un coté … des armoires … un bureau … L’Albinos se dirige vers le miroir. Il se regarde dans la glace, ses yeux rouge sang brillent d’une lueur de folie dangereuse … toujours là mais plus présente. Son air fatigué lui donne un air encore plus sinistre Il fracasse le miroir d’un geste fluide, son poing percute le miroir avec une vitesse phénoménale. Il ne grimace qu’à peine quand les éclats de verre lui entaillent profondément la main, du sang giclant un peu partout. Il pense étrangement, détaché de ce qu’il fait ‘La douleur est moins forte que celle que je ressent’. Il regarde sa main l’air absent. ‘Ou est elle … pourquoi elle me laisse ainsi … non … ‘. ‘Je l’ai tué … ? … j’ai froid … je suis toujours seul … ’. le sang coule sur le sol, il tressaille légèrement, il reprend un soupçon de lucidité. Il se dirige vers la porte et l’ouvre d’un grand coup, la perte de sang l’affaiblissant de plus en plus. « Appelez un guérisseur … » dit il à ses gardes du corps. Deux gardes devant l’entrée de sa porte, l’un humain ‘normal’ même si les Umbraes semblent bien plus minces et plus gracieux que la plupart des humains. L’autre semble le jumeau exact du premier sauf que la couleur de sa peau est d’un noir d’ébène plus qu’anormal et ses cheveux d’un blanc neige. Les gardes regardent Leorique un instant puis agissant avec célérité , l’un se précipite vers dans le couloir tandis que l’autre se penche pour aider Leorique. « NE ME TOUCHE PAS ! » Hurle l’albinos. « Je ne veux pas te faire mal … » halète t’il un peu plus calme juste après … sa vue se brouille légèrement … trop de sang perdu … il plonge dans des ténèbres rouges … lui apportant un peu de repos. | ||
| Kahndann Respect diplomatique : 116  23/05 ETU 07:59 | Score : 2 Détails Tournant le dos à la porte, le Directeur regarde le soleil se coucher, inondant son bureau s'une lumière orangée. Lii, ce soleil est appelé Lii par les habitant de Liya. Du moins il le croit.
Il se souvient de sa jeunesse, à la Cour... Tout aurait pu si bien se passer, si seulement... Il soupire avant de se diriger vers son bureau, pensif. Assis, il relit le message du Gouverneur. Il n'aimait pas cette nouvelle. Oui, il avait bien géré la G.H.T.. Oui, il avait obéit aux ordres de la maison-mère. Et s'il n'avait pas fait de miracles, il avait réussi à obtenir des résultats honorables. Alors pourquoi cette visite ? Pourquoi ce désavoeu du Conseil d'Administration ? On frappe à la porte. Le Directeur redevient impassible. Il ne jouait pas que sa carrière... Maldim entre, et s'efface devant le visiteur. Le Directeur se lève : "- Salutations, Commodore..." | ||
| Jin Respect diplomatique : 17  23/05 ETU 18:36 | Score : 5 Détails TM1 Flash-info !
En direct de la capitale, le porte parole de notre commandant en chef vient a l'instant de terminer un discours d'une extrême importance, dans ce dernier il nous annonçait, qu'un brusque changement de régime allait avoir lieu. Chose innaceptable pour la plupart des politiciens de notre planète, les purges des differents partits ont commencé. La dissolution de toute opposition a été immédiate. Une résistance du peuple s'est organisée et elle a été mise a sang immédiatement par une milice crée avec les plus fidèles adepte de Jin. Nous avons essayé de savoir ce qui a bien pu motivé un tel changement, dans la manière de pensé de notre commandant bien aimé, mais la source a été tué par un escadron de force spéciale.Cependant BBBZZZBBBZZZZZZZZZ a put nous BBBSSSDAAA grâce à BBBBBBBSSSSSSIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII Toutes les émissions de radios et télédiffusions furent arrêter. Le lendemain, toutes la presse qui n'avait pas encore été censurée, fesaient paraître en gros titre, que la planète avait changé de régime, que la trahison de Jin était impardonnable. Lorsque la nouvelle parvint à l'assemblée galactique, cela brusqua pas mal de commandant, mais seul une choses en ressortait, la mauvaise influence que ce peuple pouvait recevoir. | ||
| Commandeur Valorys Respect diplomatique : 865 23/05 ETU 20:23 | Score : 3 Détails Après une longue journée, le commandeur regagnait sa chambre pour prendre un repos bien mérité. Il traversait d'un pas rapide les longs couloirs du palais de la Curie. Enfin.... Enfin il pouvait être seul. Ses hautes fonction à la tête de l’État lui demandait de plus en plus de temps. Fréquenter des bureaucrates , des conseillers, n‘était pas dans l‘habitude de cet homme d‘action et de terrain mais c‘était pourtant son quotidien.
Après avoir défait le col de son uniforme bleu, le commandeur se prit un verre de whisky puis s’affala sur une longue banquette. Il reposa sa tête sur l’accoudoir et observa à travers la large baie vitrée l’horizon de la capitale qui se dessinait sur le ciel bleu. Sa tête était loure, il fut saisi d’une étrange sensation de bien être.... Tout était différent. Un étrange sentiment de plénitude. A travers la vitre toujours cette horizon rassurante. Soudain tout s’emballe. L’atmosphère s’alourdit, le temps s’accélère. A l’extérieur les gratte ciel disparaissent, tout explose, une odeur de sang et de mort... Le feu, de tout côté. Soudain un visage connu, celui de sa femme et de sa fille... Le commandeur se lève tente de les saisir mais ils se dissipent, insaisissable comme des ombres. Il regarde par la fenêtre et voit la capitale brûler... Soudain un mal de tête insoutenable, la vision devient trouble et plus rien. Le commandeur tomba de sa banquette. Il était en sueur. Tout cela n’était qu’un mauvais rêve... Un de plus... | ||
| hextor Respect diplomatique : 3  23/05 ETU 21:42 | Score : 0 Détails Hextor était lasse , il avait échappé au commandant xanaphia et avait fuis la seconde galaxie en laissant dérriere lui sa flotte en perdition ...
la vision de xanaphia qu'il avait mutilé et violé le hantais terriblement , une fillette de 15 ans ... elle n'avait qu'a pas être au pouvoir cette gamine ! maintenant hextor était inconnu , il pouvait enfin se développer en laissant dérriere lui sont carnage et ses génocides sur les planètes conquises en galaxie 2 |
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