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Alf-n-brenn

Pages : 1

Cdt. Rauka
Respect diplomatique : 92

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09/06/1012 ETU 23:31
Ce(tte) commandant(e) soutient Apocalypsis.
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Les évènements qui suivent se sont passés il y a un certain temps sur une petite planète nommée Alf-n-brenn de la galaxie Eveil.
Il gisait là sur le sol, les derniers spasmes avaient quitté son corps. La drogue-poison avait bien agi. Edmund tenait l'homme encore dans ses bras quand le dernier pétillement de vie l'avait quitté. Ce qu'il avait de plus cher au monde était étendu sur la pierre polie du monastère de Prinne, ce lieu où il avait passé la plupart de sa jeunesse, ce lieu où il avait eu cette vision qui avait changé son existence. Il était l'ixit-Mauth guide suprême de la croyance Ran, et désormais l'avenir de ce monde était entre ses mains... Il laissa reposer le cadavre au sol, les frères du monastère s'en occuperaient. Une sépulture décente s'offrirait bientôt à lui, digne de tout ce qu'il avait représenté pour Edmund.
Les frères emportèrent le corps du défunt. Une tombe dehors avait été creusée à la hâte. Edmund suivit le minuscule cortège, silencieux, le regard fixé sur la dépouille. Il était tard, le soleil s'était couché depuis bien des heures. La procession pénétra dans les ténèbres, les torches faisaient danser les ombres sur les visages. Ils contournèrent les hauts murs du monastère, rencontrant deux frères en train de terminer de creuser ce qui serait désormais la dernière demeure de cet homme. Le groupe s'arrêta, les derniers coups de pelle avaient été donnés. Edmund regarda, affligé, le défunt descendre dans son tombeau. Les secondes, puis les minutes passèrent sans que l'ixit-Mauth ne fasse un geste. Les frères s'en allèrent sans bruit. Puis lentement il se redressa et empoigna une pelle qui avait été laissée là. Coup après coup, il recouvrit le cadavre de terre, enfouissant en même temps une partie de sa vie. Il posa la pelle et dit, d'une voix rauque et enrouée:
-Merci... , tu as provoqué ce que je n'aurais pu espérer.
Et sur ces mots, il se détourna et reprit le chemin du monastère. Sur son chemin, il rencontra un jeune frère, lui demanda de s'approcher et dit:
-Frère, l'ixit-Mauth veut que vous le suiviez sans discuter !
Le jeune homme un peu apeuré et intimidé devant un tel personnage, lui emboîta le pas. Les deux hommes parcoururent la moitié du monastère de Prinne, traversant de nombreuses salles, passant par plusieurs portes et longeant de multiples couloirs. Le jour se faisait attendre, et c'était à la lumière de centaines de bougies et chandeliers que le bâtiment de pierre était éclairé. Ils arrivèrent enfin devant une porte en bois ornée de motifs étranges en métal, Edmund Rauka sortit de sa robe blanche une clé de forme complexe et se retourna, lui tendant la torche:
-Prenez ça.
Le jeune homme la prit dans sa main et admira les traits blancs du visage de l'ixit-Mauth, le flamboiement de la torche révélant ce que le jour n'avait pu faire. Des fines fissures multiples recouvraient la peau un peu bouffie. Les autres Mauths présentaient les mêmes caractéristiques, mais elles étaient moins marquées... La clé entra dans la serrure et actionna le mécanisme dans un bruit métallique.
Edmund Rauka ouvrit la porte et prit la torche des mains du jeune frère, entrant dans une pièce carrée avec une unique fenêtre tout au fond. Des centaines de livres étaient étalés sur des étagères en bois vétuste. L'émerveillement se lut dans les yeux du jeune homme. Il y avait dans un coin de la pièce un petit secrétaire rempli de feuilles volantes et de livres ouverts. Les deux hommes s'avancèrent, l'ixit-Mauth commença à allumer un par un les chandeliers suspendus au mur et partit vers le fond de la pièce, pendant ce même temps l'autre s'avança fasciné. Ses yeux se posèrent sur un des livres posés sur le secrétaire, intitulé:
Simon Rauka
Intrigué, il ouvrit l'ouvrage et lut:
Il naquit dans une famille de marchands aisés de Berini. A l'âge de 5 ans, ses parents moururent dans des circonstances inexpliquées. Son frère Edmund de 11 ans son aîné et lui furent séparés. Le premier partit recevoir un enseignement dans un monastère à quelques journées de Vantandel et le second fut adopté par un couple de paysans du Plessindat qui ne pouvaient avoir d'enfants. Il reçut pendant toute son enfance une éducation sommaire. La plupart du temps il aidait ses parents à la terre, mais des fois l'envie lui prenait de partir à pied pendant des heures dans la forêt, toute proche de sa maison. Cette vie monotone et peu réjouissante était ponctuée par les venues irrégulières de son frère aîné.
Un jour il revint tard de ses promenades dans la forêt. Son comportement en fut changé, il devint plus obscur, moins présent, plus enclin à l'agressivité. Adolescent, il était très musclé et avait une carrure très imposante pour son âge. Sa peau était bronzée, marque de longues journées de travail au soleil. Pour ses 17 ans, il partit de chez lui, sans dire au revoir. Ses parents adoptifs ne surent que bien plus tard qu'il avait rejoint une bande de brigands, celle qu'il avait rencontré lors de cette fameuse promenade.
Au sein de ce groupe, il gagna rapidement en adresse au combat lors des vols et des embuscades qu'ils faisaient subir à tous ceux pénétrant dans la forêt de Sastron adjacente au Plessindat. Sa compagnie prit beaucoup d'importance et de renommée à travers la région. Ses qualités de combattant et son esprit vif en fit un des chefs de la bande. La forêt ne pouvait plus subvenir à leurs besoin, ainsi leur influence s'étendit à toute la région, jusqu'à même les berges du grand fleuve: le Sirith. Cependant les convois marchands devenaient de plus en plus rares et plus défendus. Le fleuve était leur seule chance de subsister. Une rumeur courrait que des bateaux recelant de somptueuses marchandises le sillonnaient entre Berini et Vantandel. Ils eurent l'audace un soir d'été de prendre d'assaut un bateau, alors que l'équipage avait débarqué sur la berge. La prise du vaisseau fut facile. Cependant l'équipage n'était pas composé uniquement de vulgaires marins et marchands, mais de soldats de métiers à la solde d'une des quatre maisons d'Alf-n-brenn. Le combat fut terrible, les compagnons de Simon légèrement armés tombèrent les uns après les autres sous les coups des guerriers chargés de la protection du navire. Devant un tel massacre, il prit la fuite, plongeant dans les eaux glacées du Sirith. Par chance il ne fut pas poursuivi, la plupart des brigands y laissèrent la vie ou furent faits prisonniers. C'était un désastre, il se sentait coupable de les avoir emmener devant un si gros péril. Survivant, malgré une vilaine blessure au ventre, il commença à errer à travers le monde. Simon Rauka avait 24 ans.
Ses errances durèrent un temps, par ses voyages il apprit que les maisons engageaient des mercenaires pour protéger leurs convois. C'est ainsi qu'il se fit engager dans une de ces compagnies de mercenariat. L'existence de mercenaire était tranquille, il était bien payé et des attaques telles qu'il fomentait auparavant demeuraient rares. La compagnie était dirigée par un rustre nommé Bartal, irrespectueux de ses hommes et aimant beaucoup boire. Un soir dans une taverne de Venidul, il but un peu trop et commença à injurier Simon Rauka. Ce dernier, remarquant la chance qui s'offrait à lui, envoya son poing dans la mâchoire de l'ivrogne, l'envoyant valdinguer sur une table. Bartal reprit ses esprits et dégaina son épée. Simon répliqua et sortit la sienne. Les deux hommes se firent face. Le duel commença, un large cercle de badauds se forma autour des combattants. Bartal encore sous les effets de l'alcool, envoya son épée vers le visage de son adversaire. Simon évita le coup et répliqua en tentant de toucher le bras du chef des mercenaires. Coups après coups, les deux hommes se répondirent pendant quelques minutes, jusqu'à ce que Simon lâche: « Tu fatigues vieux tonneau ? »
Ce dernier entra dans une rage folle et se mit à attaquer violemment...
Le livre se referma subitement, la main blanche d'Edmund Rauka posée sur la couverture.
-Que regardez-vous ?
Le jeune homme apeuré et surpris, recula en sursautant. Il eut juste le temps d'apercevoir une illustration accompagnant le texte, elle représentait un homme qu'il avait déjà vu... Le regard méfiant de l'ixit-Mauth le dévisagea et il répondit, bredouillant:
-Rien du tout... votre Autorité.
Edmund rangea les dernières affaires restantes sur le secrétaire, prit une plume, un papier, de l'encre, s'assit devant la table et commença à écrire. Lorsqu'il eut terminé, le papier blanc était orné de magnifiques caractères d'une calligraphie exceptionnelle. Il y assigna le tampon du culte Ran, un oeil de profil dirigé vers l'infini.
-Venez frère...
-Serinin.
-Très bien. Donnez cela au Mauth Genova, il saura quoi en faire.
Frère Serinin se leva et se dirigea sans un mot vers la porte, Edmund Rauka l'interrompit dans son mouvement.
-Dites-lui de prendre l'attelage.
HRP:
Ceci est un roleplay privé, ne postez que si vous avez été invité.
Cdt. Rauka
Respect diplomatique : 92

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11/06/1012 ETU 19:49
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Serinin après avoir donné la lettre au Mauth Genova se redirigea vers le bureau de l'ixit-Mauth afin de lui donner la réponse de son confrère. Il arriva devant la porte et tapa trois coups. Un silence complet y répondit. Le jeune moine actionna la poignée, la porte était ouverte. Il la poussa doucement, sans bruit. Personne ! Quelle aubaine de se retrouver seul dans ce bureau. Poussé par la curiosité, il commença à chercher éperdument le livre qu'il avait commencé à lire une heure auparavant. Il se rappelait, la couverture était bordeaux, où l'ixit-Mauth Rauka avait pu bien le ranger ? Après quelques minutes de recherche intensive parmi les centaines de livres exposés dans la pièce, il retrouva l'ouvrage et reprit lecture où il s'était arrêté:
…Ce dernier entra dans une rage folle et se mit à attaquer violemment Simon en tailladant l'air de grands coups d'épée. Malgré la férocité des bottes que portait Bartal, le jeune mercenaire réussit à les éviter et à le blesser à la jugulaire, alors que ce dernier tenter de le transpercer. Le sang coulait à flots de la gorge du mourant et en des jets de plus en plus impressionnants à chaque fois qu'il poussait des cris de douleur. Simon, aspergé du sang de l'agonisant, regarda les membres de sa compagnie l'épée pointée en leur direction:Quelqu'un veut-il s'y risquer ?
Il ne reçut pas de réponse, triomphalement il lança: « Maintenant le chef c'est moi ! »
Les années qui suivirent furent florissantes pour le mercenariat. La compagnie dont Simon Rauka était le chef prospéra et s'agrandit proportionnellement aux besoins des grandes Maisons en la matière. Lassés par cette existence quelque peu futile et monotone, et avec la fortune qu'ils avaient amassé, ils fondèrent une école de combat à Patrexian ouverte à tous. La demande fut croissante dans le domaine du fait de l'animosité grandissante entre les grandes Maisons. L'école prit beaucoup d'importance et son influence grandit continuellement. Regardant la situation d'un œil nouveau, Simon ne voulut pas en rester là. Il était à la tête d'une école formant des centaines de combattants par an, dont la puissance n'avait peu ou pas d'égale. L'aversion qu'il portait aux quatre grandes Maisons d'Alf-n-brenn datait de son début dans le brigandage, et grandissait à mesure qu'il avait affaire à elles. En effet, l'école qu'il dirigeait fournissait régulièrement des gardes ou hommes d'armes aux grandes Maisons, qui s'en servaient essentiellement pour escortes de convois marchands, comme gardiens ou encore dans leurs armées semi-mercenaires qu'ils utilisaient dans des escarmouches les opposant. La marchandise, comme il les appelait, servait de casse-pipe à leurs guerres et affaires louches. Simon avait du mal à accepter que les hommes qu'il avait formé, des hommes loyaux et courageux puissent être utilisés de cette manière. Il ne put se résigner à laisser une telle situation en l'état.
Par l'éducation qu'il enseignait aux nouvelles recrues, ces dernières restaient soudées dans un mouvement de camaraderie. La dévotion qu'il portait à leurs bienfaiteurs-formateurs n'en était que plus grande et Simon Rauka comprit qu'il avait une formidable armée qui lui était dévouée corps et âmes. Certes les grandes Maisons restaient un défi énorme à surmonter, mais il avait vu leurs faiblesses et sentait leur décadence s'amorcer. Elles reposaient sur une hypothétique puissance que le temps n'avait jamais mis à l'épreuve, elles faisaient partie depuis bien trop longtemps du paysage historique d'Alf-n-brenn. Qui aurait pensé défier les grandes Maisons si ce n'est Simon Rauka ? Depuis qu'il avait fondé son école avec ses compagnons, les grandes Maisons étaient devenues dépendantes. On leur fournissait une marchandise de qualité, fiable et dont les services se monnayaient raisonnablement. Au bout de quelques années tous les gardes, escortes, maître d'armes et autres métiers de soldat venaient de l'école de Simon Rauka. Que se passerait-il si tous ceux dont ils avaient acheté les services se retournaient contre eux ? Simon y avait pensé et il était certain qu'avec le charisme dont il avait toujours fait preuve les hommes le suivraient.
C'est dans cette optique qu'il commença à envoyer ses hommes glaner des informations sur l'organisation militaire et la structure interne des grandes Maisons. Ils réussirent à s'infiltrer en étant recrutés par les quatre. Les résultats arrivèrent rapidement de telle façon que Simon put fomenter son plan. Il se résumait à ceci:
-Réunion dans chacune des quatre grandes villes des hommes de Simon Rauka
-Sédition des troupes
-Occupation de bâtiments utiles au pouvoir en place
-Corruption de certains éléments des structures internes afin de mener à une inaction de la part des grandes Maisons
-Prise du pouvoir pacifique
Les éléments à corrompre avaient été repérés par l'entreprise des hommes infiltrés. Cependant, Simon Rauka n'avait pas assez d'argent pour corrompre les maillons clé de la chaîne. Il se résolut à frapper à la porte de son frère Edmund, alors fervent pratiquant de la croyance Ran et à la tête d'un monastère multicentenaire, dont les richesses amassées à travers les siècles étaient impressionnantes. Ce n'étaient alors que des rumeurs, mais elles avaient toutes une part de vérité. Il tenta alors son va-tout. L'entrevue avec son frère se déroula selon ses espérances, il lui avait fait miroité quelques avantages au don qu'il lui ferait. Un accord fut fait entre les deux parties, Edmund devait fournir l'argent provenant des richesses du monastère de Prinne, nécessaire à la corruption. Simon devait, dès sa prise du pouvoir proclamer la croyance Ran religion officielle d'Alf-n-brenn et construire une immense tour, l'Isil-pe-ran à l'emplacement du monastère de Prinne comme lieu de culte et symbole de la nouvelle religion florissante.
Maintenant que le dernier obstacle à la mise en place de son plan avait disparu, Simon pouvait activer les rouages de son projet ingénieux. Tout se déroula comme prévu et sans effusion de sang. Les grandes Maisons s'étaient retrouvées piégées, en n'ayant aucun exutoire. Elles durent accepter malgré elles les circonstances, sachant que leur survie en dépendait.
Simon Rauka devint souverain d'Alf-n-brenn et obligea les quatre grandes Maisons, ainsi qu'à son frère de lui prêter serment. Tenant sa promesse, il proclama la Croyance Ran, religion officielle de la planète. Pour les habitants, l'ascension au trône d'un homme fort, charismatique et originaire du peuple devint une perspective d'espoir et de changement incroyable. Ils embrassèrent ainsi la nouvelle religion, comme ils embrassèrent le nouveau pouvoir en place. La Croyance Ran se répandit exponentiellement et compta rapidement des millions de fidèles dans ses rangs. Des loges raniques se multiplièrent dans les villes et les villages.
De son côté Simon Rauka organisa l'Armée, dont les membres avaient été pour la plupart formés dans son École de combat. Il installa le pouvoir sur Patrexian, siège d'une des Grandes Maisons, qui devint la Capitale d'Alf-n-brenn. La religion qu'il avait officialisé et l'Armée étaient des moyens infaillibles pour le contrôle des masses.
Cependant les Grandes Maisons, dont l'influence avait beaucoup diminué, restaient une épine dans le flanc du pouvoir. L'emprise qu'elles avaient sur leurs villes respectives était telle que la population urbaine(des villes de Patrexian, Vantandel, Venidul et Berini) devenait hostile au nouveau souverain. A contrario, la population rurale lui était presque totalement dévouée.
Le souverain craignit qu'une action contre les Grandes Maisons ne soit synonyme de guerre civile. Il ne fit rien dans l'instant, car il pensait qu'une corruption à grande échelle de l'épine, lui permettrait comme précédemment d'arriver à ses fins. Mais l'argent lui manquait et cette fois il n'avait plus personne vers qui se tourner. Il fit alors une chose terrible pleine de conséquences, il détourna l'argent alloué à la construction de l'Isil-pe-Ran à ses fins, brisant ainsi l'accord le liant à son frère.
… et qui l'assassina lâchement en retour, pensa subitement frère Serinin reconnaissant tout à coup le cadavre enterré près du Monastère. Choqué, il referma le livre et revint sur ses pas d'une démarche mal assurée. Il avait besoin d'air, mais lorsqu'il se dirigea hors du Monastère de Prinne, il eut une révélation. Le message porté au Mauth Genova, il l'avait lu par curiosité, il disait:
Aujourd'hui le commandant Simon Rauka, souverain légitime d'Alf-n-brenn a été assassiné par les quatre grandes maisons, jalouses de son pouvoir et préférant leurs intérêts au bien commun et à la vérité. Le culte Ran décide aujourd'hui de couper ses contacts avec les quatre Maisons à jamais et vous enjoint à en faire autant !
Suivez la voie de la vérité et de la justice, suivez la voie du Ran.
Deux mots s'imposèrent à lui: Coup...
… d'Etat !

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