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And they should know no fear.

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Cdt. Sarosh
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06/05/1014 ETU 23:08
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//Rp privé.
Tic, tac, tic, tac...
L'horloge de l'apocalypse avance...
Tic, tac, tic, tac...
Et pourtant, pendant tout ce temps, cet assourdissant bruit de mécanisme n'est entendu de personne. Écouté, serait le mot juste. Personne, pas même les grands, ne se soucie de ce moment approchant.
Tic, tac, tic, tac...
De ce long débat qu'il avait eu, aucun n'avait été plus instructif que celui avec « l'Aryakis ». Ou bien... ? Était-ce simplement Téthys ? Rien n'était véritablement sûr, et pourtant il en était convaincu. Et ce long silence à ses questions avait été lourd de sens. Rien. Rien ni personne n'avait de réponses à ces questions. Le but de la vie ? Le but de la mort ? La vie signifie la mort, mais la mort signifie la vie, l'un comme l'autre sont liés. Et pourtant...
Et pourtant, ce grand événement approche. La mort d'une galaxie, la naissance d'une autre. Des millions de milliards d'âmes s'embrasant en un instant, pour renaître « ailleurs ». Comme si Sagesse n'avait pas assez souffert.
Tic, tac, tic, tac...
L'horloge tourne encore. Les ADM volent, la peur réside encore et toujours dans les cœurs. La peur. Cette émotion si étrangement reliée à la source de tous les maux. La peur, génitrice de la colère du « terrifié » envers son « bourreau ». Cette colère se muant en haine. La haine des extra-G. La haine de Katelyne et de « l'Aryakis ».
Cette colère, graine de tout, a germé dès les premiers pas de l'Homme. De l'Homme ou de n'importe quelle espèce vivante, qu'il s'agisse de plantes, de batraciens, de chiens, de chats, ou même de Poros. Peu importe leurs idées et convictions, qu'ils soient totalitaires ou libéraux, brutaux ou démocrates. Tous ont « peur ». Peur de celui qui viendra mettre un terme à leurs vie. Ce moment de liberté.
Tic, tac, tic, tac...
On ne peux pas vivre sans avoir peur, car celle-ci définit la vie. Un être en vie a, par définition, peur. Peur que ce moment de liberté se termine. Que la « vie » s'achève. Que la boucle soit bouclée. Que le cycle ne redémarre. Peur du retour au « néant ». Peur du retour au « grand tout ».
La vie se résumerait à un simple cycle sans fin. Où les êtres « naissent » du grand tout pour « vivre ». Où ils « meurent » pour y « retourner ». Où chaque vie ne serait qu'une phrase. Un mot. Une lettre. Un battement de cils dans cette longue histoire qu'est « le temps ».
Tic, tac, tic, tac...
L'horloge tourne encore. Et elle arrive bientôt à terme. Tout le monde le sait. Tous, ou presque, se sont résignés. Comment peut-on stopper un cycle qui est, par définition, sans fin ?
Tic, tac, tic, tac...
La course du temps. Cette chose immuable, peu importe les civilisations, les organismes, les pensées. C'est une chose qui ne peux être changée. Et pourtant...
Tic, tac, tic, tac...
La peur. La vie et la mort. Ce cycle sans fin. Rien ne peut arrêter tout ceci. Si ce n'est... Stopper le temps lui-même. Si le cycle est brisé, il n'y a plus de vie. Plus de mort. S'il n'y a plus de mort, il n'y a plus de peur. Sans peur... La haine n'a de graines où germer.
Tic, tac, tic, tac...
Et ils ne connaîtront pas la peur.
Cdt. Sarosh
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21/05/1014 ETU 10:48
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+++ Planète mère Khyniankhem, secteur 29 +++
Une grande pièce, déserte. Sur l'un des côtés, une bibliothécaire où des holo-livres s'entassent. De l'autre, une table basse autour de laquelle se tiennent trois divans. Au fond de la salle, une sorte de bureau où de nombreuses consoles étincelles aux grées des arrivées des rapports. Un homme se tenait assit derrière ce déferlement de clignotements, il avait l'air pensif, accoudé sur son fauteuil et la tête reposant sur son poing refermé. Il fixait la baie vitrée, ou plutôt l'étendue verdoyante et le ciel bleu qui se trouvait devant lui.
Les grattes-ciels de la capitale côtoyaient les étendues sauvages de la forêt voisine. Coincée entre ces deux éléments à priori hostiles à une quelconque civilisation, les bâtiments se fondaient parfaitement, ne laissant pas supposer que le terrain avait été entièrement retravaillé par ses occupants actuels.
Une jeune femme traversa les portes automatiques de la pièce qui se refermèrent derrière elle. Elle portait ses vêtements comme à l'accoutumée. Une chemise blanche, un corset fait de cuir, une jupe de couleur marron et des bottes de même couleur. Elle tenait dans sa main un gadget duquel émanait un hologramme ressemblant à une vague boule. La jeune femme pianota sur son gantelet et l'objet s'éteignit. Finalement le bruit de ses talons parvinrent aux oreilles de l'homme qui fit pivoter son siège pour faire face à la nouvelle venue.
« Eugenia ! Tu m'apportes d'autres mauvaises nouvelles ? »
La jeune femme franchit les derniers pas qui la séparait du bureau puis s'assit sur ce dernier. Avant de se retourner vers son interlocuteur, et de déposer l'objet qu'elle tenait en main devant lui, sur la table. Elle lui fit un large sourire avant de répondre.
« Non, pour une fois je n'apporte pas que des mauvaises nouvelles. La construction du générateur de stase, cette immense machine, avance. Les plans seront respectés et nous auront finis dans les temps. Par contre il sera impossible de tout tester convenablement avant la mise en marche finale. Les bombardements ADM de TsT ont vraiment été une plaie pour ce projet. »
Sarosh se leva, contourna son bureau sous le regard de sa collègue et amie. Il l'invita à rejoindre le petit salon de son bureau où ils s'y installèrent confortablement. Sarosh pressa un bouton dissimulé sur la table et celle-ci se leva d'un bon mètre, laissant apparaître les boissons qu'elle gardait précieusement. Il lui tendit un verre de liquide bleuté étrange, sa préférée, avant de rétracter la table.
« Le fait est que, même si l'on vérifie tout dans les moindres détails. Il reste une part de hasard dans tout ça. Est-ce que Dieu nous laissera manier le temps à notre convenance ? Est-ce que le temps lui-même se pliera ? Ou bien est-ce que tout les calculs sont faux ? On ne peut rien vérifier avec certitude. Il peut rien se passer comme faire exploser la planète entière, le système entier, ou même le secteur. Voire même la galaxie si nous ratons l'expérience. Tant que tout à été construit selon les plans, cela suffira.
Elle esquissa un bref sourire.
-Tu n'es pas du genre à laisser ton sort à la chance, je le sais. Me confier ta vie, ou à une personne en laquelle tu crois, peut-être. Mais quelque chose dont tu ne maîtrises rien...Tu me surprendras toujours, mon cher Alexandre.
-Il faut dire que je ne sais pas si je survivrait encore à cette apocalypse qui s'annonce. Les ouvertures vers d'autres galaxies ne trompent pas. S'il y en a qui veulent écouter, qu'ils écoutent. Je n'aime pas me remettre comme ça au destin. Alors quitte à devoir compter sur quelque chose que je ne contrôle pas pour avancer, autant compter sur ma chance. En parlant de chance, il y a des nouvelles intéressantes dernièrement ?
-Juste Havelock qui tente de faire quelque chose dans notre assemblée, mais il n'est écouté que par lui-même. C'est quand même triste quelqu'un qui à fait « tout ça » pour faire tomber TsT.
-Le pire dans l'affaire est qu'il a échoué. TsT n'est pas tombée. Tout le monde le prend pour leurs dieu alors qu'il n'a fait ce discours en menaçant toute la galaxie de retombées avant et après apocalypes, pour lever une « armée » contre TsT. Le résultat est que les gens sont bien égoïstes et ne sont entrés dans la guerre que par égoïsme, car ils ont étés attaqués plus ou moins directement. Au final il n'a rien levé du tout et s'est attiré les foudres de toute la résistance, ainsi que de TsT. Les grandes gueules sont toujours là, rien n'a changé depuis notre arrivée dans cette galaxie. Si ce n'est la mort de certains. En fin de compte... Qu'il meure ou vive m'indiffère. Il a échoué et pour moi c'était prévisible. Bon, mis à part ça, rien d'autre ?
-Non. C'est mort, comme après une apocalypse... tout se déroulera comme prévu, qu'on soit là ou non. Les ordres avant et après le lancement du générateur se déroulerons. Il n'y a pas de soucis à se faire, tout sera réglé comme une horloge. C'en est ennuyant.
-Ha ha.Tu devrais prendre du temps pour te détendre, on n'en aura bientôt plus beaucoup. Sauf si on réussit. Le champ de stase devrait nous permettre de nous couper du déroulement normal du temps. Et s'il n'y a plus de temps, il n'y a plus de mort. S'il n'y a plus de mort...
- … Il n'y aura plus de peur. »
Tout deux se sourirent. Il finit par poser son verre sur la table et déposa un baiser sur le front de sa partenaire, avant de se remettre au travail.
« Tu sais... Tout ce temps que l'on as passés ensemble était finalement la meilleure chose qui me soit arrivée. Peut-être que l'on devrait simplement se résigner et vivre les instants de vie que l'on a du mieux que l'on peut.
-C'est ce que je fais ma chère, c'est ce que je fais.
La jeune femme sortit du bureau, marmonnant quelques mots.
-Je n'en suis pas si sûre... »
Cdt. Sarosh
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26/05/1014 ETU 16:04
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+++ Planète Hadronia, centre de recherche secret, secteur 29 +++
Sarosh sortit de sa salle de commandant. Quelques dernières communications à envoyer, avant le lancement de l'opération. Il fit quelques pas, rejoignant Eugenia qui l'attendait bien sagement. La jeune femme était étrangement sérieuse.
« Alors ? Les derniers préparatifs ?
- Ils sont terminés. On peut lancer le générateur de stase sur tes ordres.
- Quelle puissance ?
- La plus basse possible. Celle de 75 terra watt.
- Ce n'est pas assez pour tout le système. Monte au cran du dessus.
- Mais... On ne sait pas ce qu'il peut se passer ! Il faut être prudent.
- C'est pour ça qu'il faut viser au dessus. Si on n'a pas assez de puissance ? Comment nous ferons ? On devra tout reconstruire dans une autre galaxie.... J'ai déjà subit une apocalypse, ce n'est pas pour en subir une autre. Celle-là je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour sauver le plus de personnes possibles. Ce générateur de stase n'a pas pour but de simplement nous préserver de la peur, mais aussi de ce grand flash qui rend les personnes folle et aliénées. La jeune femme s'arrêta nette, laissant son compagnon continuer quelques pas avant que lui aussi ne s'arrête, pour lui faire face. Eh bien ?
- Tu oublies une chose. Tu n'es pas le seul à avoir survécu à cette apocalypse. Moi aussi, j'en fait partie ! Moi, comme une partie des chercheurs présents ici, ou même une partie de notre civilisation entière à été évacuée en Sagesse. Ils ont fait de leurs mieux pour rebâtir ce qui avait été détruit.
- C'est pour ça que je doit les sauver. Eux et leurs création.
- Tu n'y es pas. Elle le pointa du doigt. Nous avons tous rebâtis notre civilisation, sachant que tout ceci serait destiné à être détruit. Pourquoi ? Parce que nous éprouvons le désir de vivre du mieux que l'on peut. Peut importe si tout est détruit, nous pouvons le rebâtir. Il n'y a pas d'avenir en défiant Dieu et ses lois.
Il sourit, s'approchant calmement de la jeune femme. Caressant sa joue de sa main droite et collant son front contre le sien.
- Tu ne veux pas que l'on risque notre vie à faire cela. Mais tu ne veux pas revoir ce spectacle, non ? Ces milliards de personnes qui nous bénissaient et chérissaient la vie il y a de cela quelques heures, se jeter contre nous ou même s'entre-tuer dans cette orgie sanglante. Je ne veux plus voir ça. Je ne veux plus que tu sois en danger.
Sa caresse atteint finalement le menton, qu'il tint entre ses doigts, pour amener à croiser leurs regards.
- Alors nous n'avons qu'à nous enfermer dans une chambre, en attendant le moment. Personne ne pourra nous faire de mal s'il ne peuvent entrer.
- Mais tu ne peux plus être la seule ma chère et tendre, je doit aussi protéger notre civilisation. Protéger tout le monde. Et même si je le pouvais, je ferais de même avec nos amis de la résistance. Mais ce n'est pas possible. A moins que cette machine ne fonctionne... »
Il déposa un baiser sur ses lèvres et ils repartirent tous deux en silence vers l'ascenseur. Celui-ci descendait jusqu'aux tréfonds du complexe. La lumière de l'ascenseur était relativement sombre, la faute à l'une des deux ampoules d'éclairage qui n'émettait plus que part intermittences. Jusqu'à ce que celle-ci devienne éblouissante. Ils avaient enfin atteint la dernière partie du complexe. Le cœur de flux temporel se tenait là, derrière la baie vitrée, baignant dans un liquide amniotique bleuté et une lumière aussi étincelante que celle d'un soleil.
Le summum de la technologie, alliant chair et métaux. Ce « cœur » vivant devait permettre d'arrêter le temps dans un champ d'action donné. Cette bulle spatio-temporelle devait permettre à tout ceux à l'intérieur d'être et d'exister dans un autre plan que celui du reste de la galaxie. Si l'on imagine cette bulle comme un lecteur quelconque, le mode « pause » permettrais de stopper le déroulement normal du temps dans cette bulle. Au contraire, le mode « accéléré » permettrais d'avancer dans le temps beaucoup plus vite que le reste de l'univers. Malheureusement, le mode de fonctionnement « retour en arrière » est impossible, de part les incohérences qu'il produirait. En effet, si la machine est plongée dans son « passé », alors celle-ci n'existe tout bonnement plus, et il n'est plus possible donc de retourner en arrière encore plus.
La théorie avait été vérifiée maintes et maintes fois, il restait la pratique qui allait être testée dans quelques minutes. Sarosh et Eugenia avançaient à pas lents jusqu'aux salles de commandes. Il s'adressa au chef de l'équipe de chercheurs présent dans la salle.
«  Êtes vous prêts ?
- Oui monsieur.
- Bien. Démarrez la séquence de lancement à mon commandement. »
Il jeta un œil derrière lui, Eugenia regardait la scène en retrait, d'un air mêlant l'inquiétude à la curiosité. Sarosh chassa de son esprit ses doutes et se concentra sur les consoles et divers écrans qui s'allumaient, attestant du bon fonctionnement du cœur. Il s'approcha de la console principale, posa sa main sur le détecteur d'empreinte et déverrouilla le levier principal. Il finit par le tirer vers lui.
«  Bien, Vous pouvez lancer la séquence d'activation à mon ordre. 3... 2.... 1.... Lancez !
- Connexion du générateur Extra-G... Ok !
Correction et canalisation du flux... Ok !
Sécurités... Ok !
Calibrage de la puissance... Ok !
Montée de puissance des accumulateurs... 60%... 70%... 80%... 90%... Accumulateurs chargés !
Vérifications du calibrage du cœur... Ok !
Connexion des accumulateurs 1 à 3... Ok !
Puissance estimée... 800 terra watt.
Connexion au cœur... Ok !
Libération du flux d'énergie... Erreur, erreur !
Le sourire de toute l'équipe qui voyait ses résultats couronnés de succès se transforma en une expression d'horreur à ce message d'erreur.
- Que ce passe-t-il ?
- Le cœur n'arrive pas à créer la bulle temporelle ! Il ne libère pas l'énergie qu'il emmagasine !
- Alors où passe toute cette énergie … ?
- Aucune idée, les instruments de mesure ne détectent rien.
- Coupez l'alimentation du cœur ! Coupez la ! Il est en train de l'emmagasiner. Mais il n'arrive pas à la déployer ! Il va devenir une bombe incontrôlable !
- Connexions 1 à 20 coupées. Les connexions 7 et 13 refusent de se couper. Le matériel ne répond plus !
- Coupez les accumulateurs et le générateur !
- Le cœur restitue l'énergie qu'il emmagasine dans le circuit !
- Quoi … ? Vous l'avez coupée cette connexion avec le générateur extra-G ?
- Négatif, rien ne répond. Toute la puissance emmagasinée remonte vers le générateur !
- Dites leurs de tout couper ! Couper tout !
- La flux d'énergie est remonté jusqu'au générateur ! Ils rentrent tout les deux en résonance.
- Quoi ... ? »
Le cœur de flux commença à rayonner de plus en plus, faisant bouillir le liquide dans lequel il baignait. La machine commençait à battre et émettre des pulsations à intervalles réguliers, comme si le cœur devenait « vivant ».
« Tous aux abris ! Allez, courez vers les bunkers de secours ! Sonnez l'alerte ADM dans tout le secteur ! Et coupez moi cette saloperie de connexion ! »
Les hommes et les femmes couraient, apeurés, vers les issues de secours et la relative protection des bunker présents. Sarosh prit Eugenia par le bras et la tira en arrière, afin de l'emmener avec les autres. Pour tenter de survivre au cataclysme qui se préparait. Elle était en sanglots.
« C'est pire que dans nos pires prévisions. Le générateur va imploser avec tout son apotium. Dieu nous as punis pour cette expérience.
- Ne tire pas de conclusions trop hâtives. Maintenant, sauvons-nous ! »
A cet instant, la lumière et les pulsations s'intensifièrent. A tel point que la lumière devint éblouissante et obligeait les personnes à se protéger les yeux au risque de devenir aveugle. Les pulsations devenaient si fortes qu'on aurait dit se trouver à côté d'explosions à chaque vibrations.
Quelques minutes plus tard, une déflagration immense embrasa le complexe ainsi que celui du générateur extra-G. Les deux bâtiments implosèrent en même temps, broyant le béton, le métal, la roche et tout ce qui se trouvait sur la surface de la planète. Le système, le secteur entier s'embrasa l'espace d'un instant.

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