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> Jeux poétiques d'Utopie
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Cdte. Adrastee
Respect diplomatique : 289 
09/06/1014 ETU 19:04 
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Score : 11
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"Bienvenue aux premiers Jeux Poétiques d'Utopie..." (pardon pour le retard) Les mots sont une limite. Ils sont un langage arbitraire, toujours limités pour exprimer l'univers dans sa grandeur, où le silence est la seule parole. Les mots sont un don. Ils sont la voie qui permet aux êtres conscients de toujours pouvoir exprimer et partager leurs émotions, même à travers les siècles... Utopie est invitée à se baigner dans leur pouvoir le plus volatile. Les règles sont les suivantes : - Chaque participant devra écrire un poème en vers, sur son peuple. - Les poèmes doivent être affichés ici même. Cette salle sera ouverte pendant trois cycles. Cette durée peut être prolongée s'il y a affluence. - La meilleure œuvre sera élue par les nations Utopiennes, après la fin du temps imparti. - L'auteur de l’œuvre élue pourra, en récompense, vivre son rêve le plus fou. J'ajoute par ailleurs qu'un nom sera apprécié, afin de faciliter le vote... A tes plumes, Utopie..."
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Cdte. Zoé LaVache
Respect diplomatique : 193 
09/06/1014 ETU 20:49 |
Message édité -
Score : 10
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La vache entra avec un mégaphone et se mit à meugler dedans avec son traducteur. Bonjour, au nom du peuple bovin, voici notre hymne. Nous sommes des vaches. Et nous avons des taches. Les vaches vivent sur la terre. Les vaches-baleines dans la mer. Je fabrique du lait. File moi ton blé. Du fromage, du fromage. Il y en a pour tous les ages. Je fais de la bouse. Sur ta petite pelouse. J'ai de belles cornes. Je ne suis pas une licorne. Nous mangeons de l'herbe. Et ça te fout la gerbe. Je ne mange pas de viande. Nous en sommes pas friande. Nous vénérons un string. Et sommes les reines du camping. Nous sommes pacifique. Et vivons Utopique. Cette simple hymne représente la vision de notre peuple, meuuh.
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Cdt. Ligue des ombres
Respect diplomatique : 109 
09/06/1014 ETU 21:24 |
Score : 13
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Assemblatrice Mithra: le jury a choisie ce poème fait par Raphaëlle Cieli, c'est une adaptation de la légende de Râos et j'espère que vous l'adorerez. La naissance des Drelfs Dans les ténèbres de l'Outreterre là ou ne vivent que araignées, lombrics et vers se trouvent des êtres sans âme et sans conscience incapables de vivre ensemble ils vivent dans la violence Ces être se font appeler "Drow" par un Astrelles ces Drows sont ses créations et il en est fier ces êtres misérables boueux et violents sont sans pareil pour pouvoir éradiquer les créations des ses frères. Mais un jour sa sœur Amalia apparut et quand elle vit ces villes créatures décida de donner à l'une d'elles une conscience et un cœur pur et lui demanda d'amener son peuple vers la voie du Salut Ce drow amena ses frère en Dehors de l'Outreterre où la nuit était claire et se baignèrent ensemble dans les lueur de la Lune chacun reçurent âme,cœur et conscience et purent voir la lumière transpercer leur plus profond ténèbres et dissiper la brume. Néos en colère de voir ses création ainsi raisonner Fonça droit sur Amalia pour l'assassiner mais notre héros croisa son chemin et se fit tuer Néos Médusé et désarmé en un instant disparut et de tout temps plus jamais aucun de nous ne l'a revu c'est ainsi qu'après ces événements de l’histoire Que Râos tué pas Néos avec un Pieux fut embaumé, enterré et vénéré comme un dieu ,que tout les Drow D'Outreterre moururent et Que les Drelf d'Amalia Vécurent.
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Cdte. Zoa
Respect diplomatique : 496 
09/06/1014 ETU 21:41 |
Score : 11
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La très honorable fashan Shat apparaît, et tout en regardant son auditoire, explique la chose suivante : « Nous décidons de laisser l'intuition guider notre poésie, ainsi nous réaliserons un haïku* » La vieille fashan ferme alors les yeux quelques secondes puis déclame les mots suivants : « vénérable branchie** onde aquatique sur son corps migration des ğwön*** » *le haïku est un poème d'origine japonaise conçu en vers de 5, 7 et 5 syllabes **synecdoque pour désigner un fashan ***le ğwön est un poisson qui migre sur des milliers de kilomètres dans les océans de Shalk, symbole du printemps dans la culture fashan
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Cdt. Beurk
Respect diplomatique : 639 
10/06/1014 ETU 00:01
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Score : 13
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"- Hé, Kap'tain ! Y'en a ki font un concours au.. Truc là-bas ! - Kel truc là-bas, mister Spork ? - J'parle du machin qui cause avec nous kap'tain ! Et qui s'appelle.. Assemblée machin kap'tain ! - Haaaaa... Le truc où y'a des boyz qui parlent sans s'parler, c'est ça ? - Ouai, c'est ça Kap'tain. - Et donc ? Keski y'a là-bas mister Spork ? - Bin y font un concours... De po-é-sie. - Un concours ?! J'y vais ! C'moi le plus fort ici ! Attends. C'est koi ce truc là ? - Po-é-sie. C'est un truc où ki faut faire des rimes. Toussa. - Et cé quoi ça ? - Chais pas kap'tain. Ptet que un de not' dingboyz saura kap'tain. - Ouai ! Appelez les dingboyz, les boyz et les mékanos ! On va faire de la musik !" ********************************************************* ... Début de transmission. Un orchestre ork était présent en arrière plan. Les orks, réunis par centaines hurlaient par groupes une simple note. La coordination étant faite au centre par un dingboyz aux allures de savant fous. La coordination était telle que les cris des boyz, grots et snotlings, mêlés aux utilisations des machines, réussissaient à produire les effets d'une musique reconnaissable. "- Ho ma tendre.. Heu.. hache ! Si tu savais.. Comme j'ai ékrabouillé ! Les ptites cervelles elles cassent ! Entre mes mains, ça bouille ! Je sens le sang chaud ! Entre mes doigts tout rouge ! Et après... J'regarde en haut ! Et j'vois qu'ça bouge ! Alors, j'y vé... Paske, ça va taper ! - Heu.. Kap'tain ! Y'a le machin qui chauffe ! - Koi ? Si ça coupe j't'arrache les..." Fin de transmission ...
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Cdte. Dagurimara Anyr
Respect diplomatique : 136 
09/06/1014 ETU 23:55 |
Score : 13
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Une jeune femme blonde, vêtue d'une tunique rouge et portant de nombreux tatouages dorés, est assise sur un énorme coussin devant un holocom qui transmet de Shiri. Elle sourit à son public, et récite, en frôlant doucement les cordes de sa showani. Le Roi Rouge, par Farademaxinoti Vury L'ombre ne faisait que descendre sur les hommes Dont les mémoires ont aujourd'hui oublié le nom. L'espoir, les rêves, les promesses et les aspirations N'étaient dans leurs coeurs morts qu'une brume informe. Lorsque la lumière vint à nouveau les ramener à la vie, Elle prit l'aspect de l'être le plus humble qui fût. Comme les autres, il mangeait, dormait, survivait, Sans cesse craignant de ne jamais voir le matin. Les flammes, le sang, la poussière, les cris, Tout cela réveilla en lui l'instinct qu'ils avaient perdu. Il prit une arme de fortune, transperça un Géant, le premier. Lorsqu'on le vit ainsi, les armes furent prises, une dans chaque main. Les Géants furent repoussés, exterminés, chassés, anéantis. Le Rouge hurla sa victoire, baigné du sang des seigneurs déchus. Il était devenu homme, guerrier, et leur chef à tous il fut nommé. Il les mena tous vers la liberté, leurs coeurs emplis d'un nouveau dessein. Bravoure, courage, force et détermination furent leur voie, De proies ils devinrent prédateurs, chassèrent et tuèrent les Géants, Prirent leur nom, leur volèrent leur droit de vivre facilement, Et ainsi les nouveaux Shiriades, de leur terre devinrent les rois. La jeune femme se tait en même temps que les notes sa showani. Elle incline légèrement la tête, et l'holocom s'éteint.
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Cdt. Oedipe
Respect diplomatique : 179 
10/06/1014 ETU 00:27 |
Score : 13
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☻ Souriez. Le bonheur est obligatoire. ☻ Une aimable communication de l'Administration centrale. Les sanglots longs Des circuits autonomes Bercent mon processeur D'une langueur monotone. Souriez.
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Cdt. Mir0
Respect diplomatique : 33 
10/06/1014 ETU 12:14 |
Score : 12
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Je vous joins un petit document, Warhl. ————— Crépuscule sur le pôle triomphant d'une planète fraîchement engluée d'un globalisme, Warhl vit l'unique sous les ailes déployées d'un phénix publicitaire. En deux écarts, il doubla la mise d'un monopole pour celle qui, par sa griffe, éteignit interstices de marketing, une jeune prolétaire. Il n'y avait que populace qui eu privilège des neuro-programmes dès la naissance, Seul prématuré dans la tour d'avoirs de la Compagnie, Warhl n'avait pas eu d'enfance. C'était trop rare qu'un pur fut fasciné, même un instant, par une traitée par téléchargement, qu'il n'y voyait pas d'erreur, Et il se prit de folie inaffective de l'inviter à la revoir, un autre jour, loin des fausses nuits dirigées par les diodes des générateurs, Arbres géants animés par générations de ses soeurs. Répétées, rabâchées, explicitées, les formules du père furent écartées, en un éclair si vif que Warhl vit l'ambition d'une irrationnelle absurdité qui fêlait, entière, l'autorité. Un tel zèle n'était bien sûr possible que pour ceux nés dans les barres fécondes de métal, écart des foyers de multitudes encore baignés d'une vaincue spiritualité. La sommeil qui suivit délaissa l'économie humaine pour plonger dans les rêves d'un espace sans principe, polype d'une consommation qui n'en était plus de deux corps serrés, avec ardeur insensée puisque sans-terre. Miroirs d'obscurantismes, chaque être avait au cycle d'avant, la condition d'une souscription obligatoire, A l'un des grands dogmes de l'individualisme, guerroyait idéaux des libéraux aliénés contre prêcheurs de savoirs, Elites sarcastiques contre sardoniques icônes de foi, faces, n'était que la couche polluante, qui partageait, en chacun, une douleur à la poitrine d'un oxygène contradictoire, Et contemplaient, fiers, leur création, en s'engageant dans une chaîne de mépris en haut de celle de l'animalité du prestige et pouvoir, D'un monde divisé pour la peur insinuée, prenait forme exhibée aux manipulés et malléables, statiques et embourbés "provisoires". Depuis des vies, milliards étoiles trop éteintes ne servaient qu'à raviver feux de conflits, et leur ciel n'était que nuages opaques de poussière noire. Suffit qu'il eut un cette fantasmée étreinte, mirage des cieux de cauchemars d'où à jaillit notre vie ici. Car dans cette sphère de résistance inattendue, Que Warhl ressentit pour une première fois, Une aiguille qui filait un coton distendu, De tracer une nouvelle vie dans la foi, D'aimer une femme qu'il n'aurait attendu, Et de rompre une des patriarcales lois. La primaire de qu'il, a son père, dû, Infraction à la supériorité requise de son moi, Inflexion d'espoir de l'horizon, le lendemain, nu, Warhl, imprimé d'un novateur émoi, Ne cessa d'amasser une sensibilité accrue, Evacuée, lui exténué, par des travaux de plusieurs mois. Qui tronqueront enfin le tissage d'un avenir déchu. [suite des informations confidentielles]
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Cdte. Arckangel
Respect diplomatique : 89 
10/06/1014 ETU 12:56 |
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Score : 14
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La jeune matriarche apparait sur un hologramme de qualité, assise en tailleur, micro branché et en retransmission directe sur les ecrans de sa civilisation, elle recite son poeme de sa voix douce et chaleureuse, toujours avec son sourire angélique. L'Angelis est l'amour, la gloire et l'espérance ; Aus enfants qu'elle guide, à la femme consolée, Elle élève le cœur et calme la souffrance, Comme un esprit des cieux sur la terre exilée. Courbée par le travail ou par la destinée, La matriarche s'élève et sa vue s'éclaircit ; Toujours presente pour son peuple adoré, Un sourire la dompte et son cœur s'adoucit. Dans cette galaxie ou la gloire est incertaine : Bien longtemps à l'attendre il faut se résigner. Mais peu importe, vous qui m'apportez une grâce sereine, Vous mes angelis, vous mes soeurs, vous qui m'aimez. Moi, la jeune matriarche que vous avez, choisies, Je vous promet alors de faire tout mon possible, Pour faire de notre monde un veritable paradis, Car pour vous que j'aime tant, rien n'est impossible.
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Cdt. Mansa Le lion
Respect diplomatique : 132 
10/06/1014 ETU 12:42 |
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Score : 12
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Entra dans la salle un homme vêtu d'amples vêtements caractéristiques de L'Empire du Galam. S'asseyant en tailleur il fixa l'auditoire, arborant un sourire mêlant à la fois malice et fierté. C'était un "Djéli" un sage de L'empire qui savait combien celui-ci était glorieux. Il joua quelque peu de son instrument appelé Kora avant de clamer ceci: ( référence picturale conseillée) http://www.webmande.net/bibliotheque/claireAndree/griotKoraAudience.jpg ------------------------------------------------------------ Galam ô vaste Galam! Terre des fiers guerriers au regard altier! Intrépides lions de cœur et d'âme! Galam, Empire prospère et puissant! Je te connais et mon regard est plein de ton sang! Ton beau sang doré à travers les plaines répandu Qui ne cesse de couler, sur cette étendue Car là est ton prestige terre des sages C'est ton privilège légende vivante, que d'être sans âge! Ô Noble Mansa, Roi des Rois Ta coiffe reflète l'éclat du lion d'or qui sommeille en toi! Jeune prince impétueux, tu es maintenant sage puissant et glorieux! Que souffle sur toi le vent tutélaire de tes illustres aïeux Que le Soleil Doré de la prospérité illumine de plus belle notre Empire adoré!
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