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Le premier jour

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Cdt. Easa Del Kelta Kör
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20/11/307 ETU 02:29
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Easa entra dans l'hémicycle. D'un pas incertaint, car s'était pour lui la première fois pour s'annoncer aux yeux des représentants des peuples de la galaxie. Mais plus d'hésitations, l'heure était venu à montrer son existance.
Peuples de tous horizons, je vous salut.
Je suis Easa Del Kelta Kör, représentant de la nation Enéïde.
Je suis parmis vous depuis un certains temps. Mais je tiens désormais à officialiser ma présence en ce jour.
Quelques commandants me connaissent, car j'ai eu avec eux des contacts plus ou moins cordiaux. Auprés de ceux avec qui des tensions sont apparus, je m'en excuse.
Maintenant permettez moi de vous raconter la brève histoire de ma nation, dont je l'espère certains d'entre vous y retrouveront quelques échos.
Depuis longtemps, mon peuple s'en est allé de l'Eden, pour marcher de ses propres pas.
Il a découvert un lieu d'où on extrait l'or et l'argent pour l'affiner. Il a fondu la pierre pour produire l'arain.
De là, il fit cesser ses ténèbres.
Nous avons, par la suite, explorer les endroits les plus profonds. Et découvert les pierres cachées dans l'ombre de la mort.
Jusqu'au jour où nos pieds ne nous furent plus d'aucune aide. Les étoiles s'offraient à nous.
Et nous nous sommes suspendu. Loin de notre berceau. Loin des humains.
La Terre en à été boulversée dans ses entrailles.
L'oiseau de proie n'en connaisait pas le chemin.
L'oeil du vautour ne l'a pas apperçu.
Nous avons porter nos mains sur le roc, renversant les montagnes depuis la racine. Ouvert des tranchées dans les rochers.
Et notre oeil a contemplé tout ce qu'il avait de précieux.
Nous avons réussi à arrêter les eaux. Produisant à la lumière ce qui est caché.
Malgrés ces prouesses, nous en sommes rester insatisfais. Une chose nous échappais, nous n'en connaisions pas le prix. Elle ne se trouvais pas comme l'or ou bien l'arain. Non, ce manque ne s'y rempli pas ici.
Face à la mer, nous lui avons poser la question. Elle nous répondit qu'elle n'en avait pas la réponse.
Qu'elle ne se donnait pas contre de l'or pur. Ni ne s'achetait avec de l'argent.
Même la pureté du cristal n'était rien auprés d'elle. Rien n'entrait en balance avec elle.
Mais qui malgrés celà, résidait en chacuns de nous.
Nous cherchons toujours cette chose. Mais quand nous sentons en être proche, nous n'en éloignons. Tel un mirage.
Pourquoi ma présence ici?
Car j'essais de trouver des hommes la recherchant également. Qui comme moi pense l'atteindre, mais n'effleure que son ombre.
Je désire marcher à leurs coté, pour un jour, finir par en trouver la clef.
Merci de m'avoir écouter.
Puis il s'assit à la place qui lui était fraîchement attribuer, au fond à coté de la fenêtre.

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