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Cdt. Quaideluz
Respect diplomatique : 1366 20/12/308 ETU 22:14 |
Score : 6
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Arrivé au foyer des Ecumeurs, Quadeluz avait posé ses fesses sur le rocking-chair et ses bottes spatiales sur la table. Ses mains se posérent autmatiquement sur les accoudoirs en bois afin que son esprit évacue sa fatique. Partir tuer un commandant en lui plantant son épée dans le thorax, n'est pas simple car le plus dur est de sortir indemme de ce genre de mission. Cette mission l'avaoit fatigué, et c'est pourquoi il était venu directement sur cette chaise (normalement un cadeau pour son vieux poteau Largo). De sa main droite, il put prendre une bouteille de rhum ambré dans le placard le plus proche de son "trône" de vieux patriarche. Le liquide aux reflets d'or coulait dans son gosier, dans son ventre, dans son sang et dans son esprit... Peut être qu'il dormit, ronfler aussi? Toujours est il qu'il se réveilla par le vombrissement de son Xcom mis dans une de ses poches. Une invitation de Coaline en Eternité qui datait d'une éternité d'ailleurs. Ses yeux clignérent plusieurs fois pour assimiler la portée de ce message, surpris par le moyen employé. Grattant son menton, il sourit intérieurement car cela lui donnait du courage pour repartir. Oui, repartir vers quelque chose complétement de nouveau. C'est ainsi qu'il partit dans ses quartiers privés pour se changer rapidement car il avait déjà plusieurs cycles de retard sur l'invitation. Et il fut embété de ne pas pouvoir choisir une bure entre une demi-douzaine étalée dur son lit. Enervé par cette situation, il en prit une au hasard et s'en alla chercher un cadeau pour Coaline. Jouissant de privilèges considérables liès à sa fortune, Quaideluz se téléporta en Eternité dans le bureau de son ambassadeur affecté à cette galaxie. Avec une grosse cassette de rotin tréssé dont le bois était fort rare et fort recherché pour ses qualités de couleurs et de toucher, le vieux pirate se mit en route vers les appartements de la détentrice de la capitale d'Eternité. Plus tard, plusieurs gardes aux costumes assez ébouriffants l'arrêtèrent et l'annoncérent aux domestiques qui eux-même, firent suivre la nouvelle à leur princesse Coaline. Pendant ce temps là, Quaideluz avait empêché les gardes de regarder dans la cassette ou du lin aux fleurs de lys rose débordait ou plutôt bordait délicatement les bords de l'objet. La porte s'ouvrit et le lusigoth entra pour suivre une demi-douzaine de gardes à travers plusieurs couloirs richement ornée de petits meubles délicats ou siègaient des pièces de vaisselle fine. Au bout d'un couloir, deux battants de porte très ouvragés s'ouvrirent vers une immense pièce ou siègeait la commandante, sans doute, la plus blonde de l'univers connu. Arrivé à dix pas de la princesse Coaline, Quaideluz inclina la tête pour lui montrer sa politesse et prit la parole. Princesse Coaline, je vous prie de m'excuser de mon retard. Ma présence pour la bonne réussite d'une mission dans la galaxie Songe a été plus que nécéssaire et cela aentraîné une absence qui m'a empêché de venir plus tôt. Pour témoigner de ma gêne, je me suis permis de vous apporter un petit cadeau. Sur ces paroles, Quaideluz mit la cassette devant lui, et l'ouvrit. Oh chose inouie, elle contenait des fraises Tagada...
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Coa. Balsa
Respect diplomatique : 788 29/12/308 ETU 10:34 |
Score : 4
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L’Impératrice des Borgs n’aimait pas que l’on lui pose des lapins et pour se venger, elle avait fait exprès de faire patienter encore plus longuement Quaideluz. Encore une fois, elle nous prouvait sa grande maturité… En effet, quand les domestiques avaient escorté Quaideluz à la Princesse, celle-ci lui avait dit : Je n’ai que faire de vos fraises Tagada du plus mauvais goût, votre insolence commence à dépasser les bornes. Commandant, la dernière fois je vous avais attendu fort longtemps dans mes quartiers, vous n’êtes pas venu… J’ai déjà prévu ma riposte, veuillez prendre place dans cette pièce et m’attendre. Mes domestiques vont se charger à ce que vous ne manquez de rien et à ce que vous ne puissiez sortir d’ici. Je reviendrai dans peu de temps. Comme vous pouvez l’imaginer fort aisément, celle-ci était revenue une semaine plus tard ! Quaideluz ne manquait vraiment pas d’imagination pour tuer le temps et il semblait prendre la situation et le tempérament de Coaline avec humour. Ce qui, soit dit en passant, avait le don d’irriter la blonde Balsa… Ainsi, une semaine plus tard, Coaline était revenue dans l’immense pièce où patientait le Commandant Quaideluz. Bonjour Commandant, je suis désolée je vous avais oublié (Coaline avait un sourire en coin de lèvre qui semblait signifier clairement qu’elle l’avait fait exprès), j’espère que vous ne vous êtes pas trop ennuyé mon pauvre… ?
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Cdt. Quaideluz
Respect diplomatique : 1366 29/12/308 ETU 21:39 |
Score : 6
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Le plus naturellement du monde, Quaideluz fit la même petite référence face à la princesse Coaline. Le pirate s'humecta les lèvres et commença par lui dire. C'est toujours avec le même plaisir de vous revoir. Je susi sincérement désolé que vous avez pris mon retard pour de l'irrespect. Mais j'étais coincé sur une planète dans la galaxie de Songe afin de combattre une affreuse I-A qui s'imaginait l'égal d'un dieu... Oh mon dieu, ce fut un travail laborieux, mais les interêts de l'humanité devaient être respecter. Bref, je suis venu en retard, et mon isolement d'une semaine ne peut être qu'une étape de notre nouvelle amitié. Comme vous le savez, je suis attiré par vous. la pucelle de l'univers eu un haut de coeur et imprima à sa bouche un O d'une forme parfaite que vint aussitôt cacher une main blanche. Désolé de vous surprendre mais il s'agit d'amitié et non de vulgaires sensations animales. Je souhaite vous connaître, vous apprécier, vous cotoyer car je pense que vous avez une vision totalement différente de la mienne que je ne peux qu'apprendre auprès de vous. Chère Coaline, vous savez bien que j'ai pensé à vous en vous envoyant une certaine missive. Par mon xcom, j'essaye de vous faire entrer dans une taverne ou de nombreux décideurs galactiques se réunissent. Tout ces gestes sont pures de bonne volonté et voir même du dévouement. J'ai qu'un seul regret pendant ma semaine, c'est de ne pas avoir goûter une fraise tagada car elles venaient du plus célébre patissier surnommé "pâte d'or". Ce sont de vrais trésors de douceurs dans la bouche, même la vôtre qui est si délicate aurait troucvé le parfum bon. |
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Coa. Balsa
Respect diplomatique : 788 29/12/308 ETU 22:58 |
Score : 6
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Coaline était assez surprise de voir un homme aussi courtois et respectueux avec elle. Depuis sa tendre enfance et durant toute sa vie, ses relations sociales ont toujours été très difficiles du fait de son caractère très spécifique. Caractère provenant de son éducation très bourgeoise soit dit en passant. Lorsque Quaideluz lui révéla au grand jour son amitié pour elle, Coaline fut tellement stupéfaite par cette annonce qu’elle ne pouvait contenir des larmes de joies ! Elle eut comme un haut de cœur et elle imprima un sourire en O d’une forme parfaite puis une main blanche venait aussitôt cacher l’expression de son visage. Commandant je ne savais absolument pas que vous étiez attiré par moi dans le sens respectable du terme, vous me l’apprenez et je dois avouer que je ne l’avais pas du tout deviné ! Coaline sentait qu’elle commençait à perdre ses moyens, elle se regardait et puis il se disait qu’elle n’était pas tout à fait à son avantage le plus parfait. Elle se retira donc un instant pour mettre sa plus belle tenue, la tenue faite pour les occasions très rare et c'était bien évidemment une de ces occasions… Puis très rapidement elle était revenue auprès du Commandant. Commandant, je ne sais même pas comment vous vous appelez… Et puis pourquoi êtes-vous si gentil avec moi ? J’ai la sensation que mon cœur devient fébrile en votre présence et il faut que je vous avoue que je suis très timide et drôlement maladroite avec les hommes. Malgré les apparences et ma grande fortune, je n’ai pas eu la vie facile croyez moi ! Je vais réparer mon affront et goûter une de vos fraises, je vous ordonne de m’en donner une. Les domestiques et les sujets de sa Majesté Coaline Balsa craignaient qu’elle retombe dans ses travers et qu’elle fasse tout rater encore une fois. On sentait une atmosphère malsaine qui traduisait le malaise des sujets de Coaline quant à sa dernière frasque !
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Cdt. Quaideluz
Respect diplomatique : 1366 05/01/309 ETU 21:01 |
Score : 2
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Les mains dans le dos, Quaideluz écoutait sagement la commandante Coaline lui répondre.De temps en temps, il hochait la tête, et reprit sa position d'écoute attentive. Lorsque celle-ci demanda une fraise tagada. Le vieux pirate ne fut pas trop surpris de cette demande. Malheureusement, ma chère amie Coaline, il n'est point envisageable de goûter une fraise tagada venant d'un tel maître de la tapisserie, étant rester une semaine dans un conditionnement inadéquate. Cette petite boule rose emplie de sucre raffiné est un véritable pêchè de la tentation, mais pour la savourer pleinement, sa consommation est de trois jours après sa fabrication. A cette date, le palais d'une bouche qui ose accueillir une telle friandise, connaîtra un seïsme de parfum à la fraise. Il délivrera une telle sensation que le cerveau sera submergé de bonheur. Il est même envisageable qu'un léger frisson parcours votre corps. C'est pourquoi je me propose d'aller en chercher une boîte directement dans une heure, le temps que mon vaisseau se prépare à partir. Sans se soucier du regard des courtisans coalas, Quaideluz se pencha, le dos bien droit, et dans le même élan, il souleva la main de Coaline. Ma chère amie, je suis à vos ordres. Après ces mots, les lèvres du vieux pirate éffleurèrent la peau de Coaline, comme une caresse du vent sur un immense champs de blè mûr. D'un geste vif, il remit bien droit et fit fit deux pas en arrière afin de laisser souffler la femme la plus blonde de l'univers. Vous savez, vos paroles que vous avez exprimé sont tellement justes. Nous vivons dans un monde rempli d'outils technologiques pour communiquer, et pourtant, nous nous heurtons trop souvent sur un mur d'incompréhension. Regardez-moi, Coaline, oui, regardez-moi véritablement. En disant ces paroles, ses deux mains montrérent son habit, sa bure, par un mouvement de haut vers le bas qui partait de la poitrine et descendait jusqu'au hanche. Les commandants me voient comme un survivant de la dernière apocalypse torturé par de pensées ignominieuses, soit un pirate fourbe, retords, et pis encore... Tout cela parce que je porte cet habit. Il est vrai que je ne suis pas un enfant de choeur, j'ai tué de mes propres mains ennemis ou amis qui voulaient ma place. Les endroits que je fréquente le plus, ce sont les bars pour boire, boire, boire et encore boire du rhum ambré jusqu'à plus soif. Ce sont de vilains défauts mais j'ose espèrer que mes quelques qualités puissent pencher la balance du bon coté. Après ce long discours, le lusigoth reprit la respiration et enchaîna plus posément en montrant de sa main gauche d'un mouvement large toute la pièce. Vous devriez savoir, chère amie Coaline, que je suis venu jusqu'à vous car je me suis rappelé vous avoir rencontré, il y a presqu'une eternité, sur les bancs de l'assemblée galactique d'Espoir. Dans mes souvenirs, nous avions commencé à discuter et malheureusement, nous n'avions pu poursuivre notre conversation. Entraîné comme nous étions par les turbulences de la vie galactique de cette époque. Aussi, il était rare de vous voir à l'assemblée et puis moi même, j'étais tellement pris par les affaires d'écume hurlante. J'espère pourvoir maintenant vous cotoyer plus longuement, et partager avec vous quelques fraises Tagada.
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Coa. Balsa
Respect diplomatique : 788 06/01/309 ETU 10:34 |
Score : 6
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Depuis le début de la conversation le renégat QuaideLuz avait su envoûter Coaline par de belles paroles et de la tendresse. Peut être avait-il su percevoir que celle-ci en manquait. Mais petit à petit le mauvais côté de Balsa reprenait le dessus et plus le discours de QuaideLuz avançait et plus le charme disparaissait ! Vous savez Commandant, d'une part lorsqu'une Princesse telle que moi vous dit qu’elle ne sait même pas comment vous vous appelez, alors il serait de rigueur d’assouvir sa curiosité. De plus la description des fraises que vous établissez ne me fait ni chaud ni froid ! Je suis issue de la haute société et ce genre de friandise est monnaie courante de part chez moi… Et même pire, si je vous faisais goûter nos friandises de luxe, je pense que vous pourriez avoir un coma de bonheur gustatif. Me révéler que vous étiez un pirate fourbe, retors et je ne sais encore : ça ne joue pas en votre faveur, vous ne devriez pas dire ça à une Reine telle que moi ! Et d’ailleurs je dois vous dire quelque chose à mon tour, vous savez que je suis blonde et malheureusement ma mémoire va avec. C’est pour ça que je ne me souviens absolument pas de notre rencontre en Espoir, je serai très curieuse de connaître la teneur de ces échanges. Comment aurai-je pu, moi une Déesse, discuter avec un pirate comme vous ? Enfin, je note que vous dîtes être à mes ordres…. Soit ! Nous pouvions facilement voir que le mauvais côté de Coaline avait complètement prit le dessus, il va être intéressant de voir comment ce pirate aux mots calculateurs et envoûtants va réagir… Commandant puisqu’il en est ainsi, je vous ordonne de me baiser les pieds sur le champ ! Montrez-moi votre dévotion ! J’attends.
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