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> L'Offensive
Pages : 1
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Cdt. La Kabbale
Respect diplomatique : 87 
27/03/1018 ETU 21:43 
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Score : 8
Détails
RP privé pour le moment, veuillez attendre la prochaine réponse pour poster, svp. Kurdaitcha : https://ibb.co/jefUaS « Désirez-vous du thé? », proposa Kurdaitcha à son invité. Celui-ci semblait mal à l'aise et laissa s'écouler plusieurs secondes avant de s'exprimer le plus calmement possible, d'un ton flatteur. Chacune de ses paroles était accompagnée de larges gestes poussés à l'exagération. Il y avait de cocasse à cette situation que Lokoganoth se savait pas comment s'y prendre avec un Dieu. Il n'en avait jamais croisé auparavant et se retrouver devant cette... chose ne lui inspirait pas confiance. « Non merci, Ô Grand Kurdaitcha, toi qui vénérab- », Kurdaitcha coupa court à la discussion, ne désirant nullement tourner en rond. « Cessez vos simagrées et arrêtez de semer des éloges dans le vent. », sa sommation était sans appel. Le Dieu s'était lassé du guerrier qu'il jugeait plus insignifiant que le reste d'une mouche après qu'elle se soit écrasée sur le pare-brise d'un chasseur léger. Les évanescentes expressions qui traversaient son visage montraient l'agacement de Lokoganoth ; la sentence était sans appel, le Dieu et le guerrier ne trouveraient aucun terrain d'entente. Bien qu'il aurait souhaité pouvoir tourner les talons et rentrer dans son village, Lokoganoth avait besoin des services de Kurdaitcha pour une mission d'importance capitale. Depuis plus d'une heure, le jeune homme avait les yeux rivés sur le cadran de sa montre, guettant avec l'impatience d'un enfant qui attend le retour de ses parents l'arrivée de Ressaïa. Où était-elle d'ailleurs? Elle avait affirmé il y a une heure et demie qu'elle ne mettrait pas plus d'un quart d'heure et elle était en retard ! « Jeune homme, si vous n'avez pas besoin de moi, m'autorisez-vous à retourner à mes tâches? » « Pas encore, je dois te parler. » On se serait cru dans un film, l'héroïne débarquant au moment crucial, haletante, prête à sauver le héros des griffes de l'élément perturbateur qui allait briser toute la stratégie réfléchie pendant l'heure qui précédait. Sauf que Ressaïa n'était ni haletante, ni n'était arrivée au moment opportun par le plus grand des hasards. Toute souriante, elle s'était glissée dans le cortège qui entourait Lokoganoth depuis maintenant près d'une heure et avait pris un malin plaisir à le voir canoter. Elle portait sur ses longs cheveux lisses la coiffe de prêtresse, symbole de la fonction qu'elle occupait et des responsabilités qui l'incombaient. Dans ses yeux oranges brillait la malice d'un félin qui approchait sa proie à découvert en sachant qu'il avait déjà gagné la partie de chasse. À ses côtés trotinnait son Ekagara dont le poil noir commençait à laisser entr'apercevoir des reflets argentés à l'approche de Kurdaitcha. Le sang qui coulait dans ses veines traçait sous sa peau de longues zébrures aussi blanches que la naissance d'une étoile et ses oreilles se dressèrent, alertes à tout bruit. La prêtresse et l'oracle se tenaient côte-à-côte face au Dieu. Kurdaitcha avait la silhouette d'un homme, mais une stature plus imposante. Il mesurait deux mètres vingt et paraissait taillé dans un bloc de basalt. Son visage évoquait celui d'un cadavre laissé au caveau depuis des mois, une peau ridée et collée aux os sans la moindre graisse. De nombreuses cicatrices parsemaient son visage, la plus grande traversait son arcade et descendait jusqu'à son menton, reliquat des anciennes guerres qui l'ont vues s'opposer à des divinités plus grandes et puissantes que lui. David incongru de la secte déique, il avait survécu à chaque combat et avait élu demeure dans les vallées de Rashayana, non loin des collines de Servölappel. De nombreuses légendes entouraient sa personne et c'était d'ailleurs le but de la visite qui avait lieu.
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Cdt. La Kabbale
Respect diplomatique : 87
28/03/1018 ETU 03:34
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Score : 4
Détails
« Désirez-vous du thé mademoiselle ? » Kurdaitcha avait jeté aux oubliettes le souvenir pourtant si frais de Lokoganoth et avait jeté son dévolu sur la nouvelle venue. Il semblait très intéressé par la petite bête qui la flanquait. Il détourna avec difficulté ses yeux d'une si belle création de la nature et fixa ceux de Ressaïa. Sa réponse ne se fit pas attendre. De ce qu'on lui avait appris, la seule façon d'obtenir la sympathie de Kurdaitcha était de ne pas emprunter de sentier sinueux et aller directement au but. Il avait la réputation d'être très impatient. « Non, je désire une goutte de ton sang. J'en ai besoin. » « En l'honneur de quel évènement ? Il me semble que les Cérémonies à ma Gloire n'arrivent pas avant une trentaine d'années, au bas mot... » « En l'honneur que nous partons à la chasse. » « Quelle fantastique nouvelle. Comme vous devez probablement l'avoir deviné je n'en ai strictement rien à cirer. Prenez vos petits bâtons pointus et allez chercher de quoi faire un barbecue du tonnerre, ça ne me concerne en rien. » « Pas cette chasse. » « Ah ! » La curiosité piquée au vif, Kurdaitcha resta longtemps immobile à pondérer ce qu'il pourrait demander en échange d'une goutte de son sang. Ses yeux tombèrent sur l'Ekagara et il sut instantanément. « J'accepte. Je donnerai une goutte de mon sang en échange de cette brave bête. » « Cette brave bête s'appelle Jevea et ma réponse est non. Le sang pour le sang, à taux équivalent. Une goutte de ton sang contre une goutte du sien. » « Une goutte contre deux gouttes et le marché est scellé. » « Au revoir ! » « D'accord... D'accord... Tu as gagné. » C'est ainsi que fut passé l'accord. Lorsque la délégation de la Kabbale quittèrent les lieux, Kurdaitcha leur adressa une bénédiction à la réussite de leur mission avant de se retirer dans un endroit silencieux et calme. Il regardait la goutte de sang de l'Ekagara et son coeur bondit dans sa poitrine. Il n'en avait pas goûté depuis tellement longtemps qu'il en avait oublié la douce saveur mielleuse de ce nectar aussi pur que le lever de soleil suivant une nuit froide d'été chaud. Il laissa la goutte tomber sur sa langue et immédiatement l'effet narcotique se fit sentir. Qu'il était dommage que les Ekagara étaient la ressource la plus rare de cette planète, sinon il en aurait consommé un pour lui donner vigueur. De son côté, Ressaïa fit diluer la goutte de sang dans mille litres d'eau et chaque guerrier eut droit à une gourde d'un demi-litre de la boisson à apporter en mission. Ce sang garantissait la Renaissance et la force d'accomplir leur mission et de bien mener la Chasse. La panique avait pris le dessus sur sa raison. Lokoganoth faisait partie des participants et malgré le fait qu'elle n'arrivait toujours pas à l'apprécier elle n'oubliait pas qu'ils étaient liés par un pacte sacré, à la vie, à la mort. S'il lui arrivait quoi que ce soit sur le champ de bataille, elle devrait en accepter les conséquences. C'est l'une des raisons qu'il l'a poussée à accepter de parler au Dieu Kurdaitcha et troquer une goutte sacrée d'Ekagara. Lokoganoth partait quant à lui confiant et n'émettait aucun doute sur la réussite de la mission. Il avait confiance en ses capacités et celles de ses pilotes. Si le peuple de Servölappel avait la caractéristique d'être d'irréductibles croyants et vénérateurs des dieux que nul ne pouvait corrompre, leur point fort était l'art de la guerre. Héritiers de savoirs perdus aux yeux du monde, leur cérémoniaux de baptêmes les faisaient jurer de dédier leurs vies à devenir plus forts aujourd'hui qu'ils ne l'étaient la veille et défendre leur peuple au péril de leur vie. Son objectif était simple : il allait reconquérir la Contrebande aux mains des Brigands qui semaient le trouble dans leur secteur.
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Cdt. La Kabbale
Respect diplomatique : 87
28/03/1018 ETU 18:25
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Score : 7
Détails
N'hésitez pas à répondre dès à présent. Ambiance musicale : https://www.youtube.com/watch?v=2DjKfBd3v9U L'histoire était écrite par les vainqueurs, c'est en tout cas l'adage qui prévalait, mais il n'était pas tout à fait exact ; l'histoire était faite de tous ces petits moments anodins, aussi futiles soient-ils, qui amorcent des grands changements à une plus grande échelle. Qui aurait cru, par exemple, que les rêves fous d'un inventeur italien puissent donner plusieurs siècles plus tard l'idée à deux hommes de construire un engin volant et à peine quelques années plus tard, à l'Humanité la possibilité de construire des vaisseaux spatial, capables d'amener des peuples au travers des étoiles. Ces points tournants de l'histoire étaient écrits chaque jour et aujourd'hui ne dérogeait pas à la règle : La Kabbale s'était emparée de la Contrebande du Secteur Second, renommée aussitôt Kurdaitchakanata en hommage au dieu Kurdaitcha qui avait vu en les initiés une force de frappe victorieuse et les avait béni. Comme tout acte de cette ampleur, il était nécessaire de prononcer un discours solennel, une catilinaire formelle. C'est pourquoi Ressaïa et Lokoganoth avaient conversé tout au long de la journée par communication holographique, afin de s'accorder sur la marche à suivre ; et surtout d'établir un véritable plan pour la suite des évènements. Après tout, jusqu'à ce que soit hissé le pavillon de la Kabbale sur la plus haute structure de la contrebande, toute discussion n'était que factice, un espoir si vain soit-il de réussite. Finalement, c'est aux alentours de 19h00 ETU que l'hologramme de Ressaïa se matérialisa en premier au milieu de l'hémicycle. Ce discours était projeté en simultané à C.P.A. et sur Örigine-. La prêtresse fixait avec insistance la statue de Cassandre et lui donna une pichenette virtuelle au milieu du front. Par ce seul geste, elle annonçait son prochain objectif, qu'elle savait déjà caduc. Elle se tourna ensuite vers la foule qui l'entourait et joint ses mains sur son sceptre qu'elle souleva et frappa au sol. L'hologramme de Lokoganoth se matérialisa aussitôt et il avance en direction des gradins à pas assurés. « Il y a encore sept cycles, nous n'imaginions pas une seule seconde que la Kabbale soit un jour en mesure de prendre d'assaut la plus grosse forteresse brigande du Secteur Second. Pourtant aujourd'hui, nous y sommes arrivés. Après une bataille acharnée, des centaines de vaisseaux réduits à l'état de cendres, des morts qui se comptent par millier, nous sommes fiers de vous annoncer la conquête de la Contrebande. » Tandis que les écrans de l'Assemblée retranscrivaient les images reçues de Kurdaitchakanata, Ressaïa s'avança jusqu'au devant de la scène. « Jusqu'à ce matin encore, nous spéculions sur la conquête de la Contrebande. Presque toutes les nations s'étaient lancées dans cette course folle où chaque seconde, chaque vaisseau, chaque pilote et chaque talent individuel comptait. Il s'agissait de la première course à la montre et plusieurs autres suivront par le futur, plus ardues et comportant plus de risques et de conséquences. Nous nous étions élancés avec l'intention d'abattre des brigands et c'est une mission réussie. » « Aujourd'hui, nous avons accompli un acte fort et amorcé la première grande guerre contre les brigands. Mais l'acte que nous avons accompli n'est pas sans conséquences, car tout autour de moi gisent des débris, ruines de bâtiments détruits et en feu, à franc parler : l'anarchie règne ! Il nous faut nous interroger sur les raisons qui ont menées à un tel massacre. J'y ai réfléchi et j'ai un élément de réponse. Chaque commandant du Secteur Second a agi dans son propre intérêt. Chaque concurrent s'est élancé avec l'idée de conquérir ce caillou, bastion d'or des Brigands afin de prouver un simulacre de supériorité, nous les premiers. Tout le monde était au courant des tentatives d'invasions, de ralliements, d'invasion éclairs, de bombardements et j'en passe ; mais tout le monde s'est tu et a œuvré pour son bien personnel. » Le visage de Lokoganoth était sombre. Lui qui était formé aux arts martiaux, dirigeant militaire de génie, il accordait une importance primordiale à la coopération et à l'échange entre unités, divisions et cercles. Ressaïa surenchérit. « Et ce n'est pas ainsi que nous pourrons continuer à mener des guerres. S'intéresser à sa personne est suffisant lorsque l'on possède une unique planète et qu'on tente de survivre sans se lancer dans la conquête spatiale. Lorsque la folie des grandeurs nous anime et que nous décidons de bâtir un Empire, conquérir des centaines de mondes, asservir encore plus de peuple, nous devons apprendre à cohabiter. Cohabiter, ça ne signifie pas saluer son voisin et le laisser vaquer à ses occupations sans autre état d'âme. Cohabiter, c'est se réunir, réfléchir ensemble, construire un projet d'avenir qui nous ferait bénéficier, tout comme à nos voisins. Et la pierre de fondation de la cohabitation, c'est l'entraide. » « C'est l'entraide qui nous a fait défaut aujourd'hui. Combien de diplomates ont été exécutés ? Combien de chasseurs légers et croiseurs bombardiers se sont esquichés dans les bâtisses brigandes ? Combien de pilotes kamikazes ont rencontré leur fin vainement ? Tout cela aurait pu être évité si nous nous étions concertés de prime et que nous aurions, à titre d'exemple, fondé une coalition où chaque membre aurait eu un droit de vote égal, et par l'ensemble de nos économies réunies, menés une unique mission où le taux de mortalité aurait pu être divisé par dix. Mais nous ne l'avons pas fait et qu'avons nous décidé à la place ? "Que le premier qui conquiert la Contrebande la garde pour lui". Quel bel esprit d'équipe ! » Sur certains visages la honte poindrait et on pouvait lire quelque regrets dans les yeux de certains. C'était d'ailleurs l'effet escompté. Loin de la sphère politique, Lokoganoth n'avait pu que constater l'égoïsme rampant qui gangrénait son secteur. Il avait été déçu de constater que certains avaient oublié les valeurs les plus fondamentales du vivre-ensemble. Il n'avait d'ailleurs pas voulu se mêler à toutes ces intrigues mais y avait été contraient par Ressaïa. Elle avait réussi à lui faire comprendre que le discours le plus percutant serait issu de la bouche de celui qui aurait foulé le sol de la contrebande, celui qui aurait lutté contre les armées brigandes, qui aurait mis sa vie en jeu dans l'idéal de construire un monde meilleur. Il avait cédé, obligé de reconnaitre que le discours d'une vulgaire prêtresse qui n'avait que guère participé à l'effort de guerre serait insuffisant. « Ce n'est pas ça que nous désirons pour le futur de notre Galaxie. Ce mode de pensée n'amènera que ruine et destruction. Les oracles ont vu dans cet avenir flammes et atomes déchirer les atmosphères, annihiler des ciels et des planètes entières. Ce n'est pas dans cet univers là que nous souhaitons évoluer. Il est désormais nécessaire d'apprendre à communiquer, partager nos savoirs, nos richesses, nos connaissances et toutes nos différences pour bâtir un avenir où nous pourrions tous prospérer en unisson. Évidemment, tout cela n'est qu'une idylle, une fable que nous chantons à ceux qui souhaitent l'entendre. Il n'est pas possible de réunir sous un seul pavillon l'ensemble des commandants d'une galaxie, il y aura toujours des dissensions qui se crééront et des guerres qui éclateront. Ce n'est pas parce que le futur ne sera pas entièrement rose que nous devons décider de le pourrir pour autant. Nous devons essayer de contribuer à oeuvrer pour le bien commun. Pour réussir cela, nous devons nous emparer du moment présent pour tous changer nos mentalités. Il fallait que quelqu'un se démarque sur le devant de la scène, ce quelqu'un a été nous. La Kabbale, par ses intermédiaires Lokoganoth et Ressaïa, souhaite, et si la majorité des commandants de son secteur le désirent, mener une campagne de réunification des peuples sous une seule et même égide, la création d'une union indéfectible des commandants du Secteur Second où tous auront un droit de vote égal, où des lois seront décidées pour le bien commun, où chacun pourrait faire part de ses propositions et surtout, une union où une partie des biens serait centralisée afin de palier et lutter efficacement contre la menace brigande qui s'empire de jour en jour. »
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Cdt. Steve Austin
Respect diplomatique : 23 
28/03/1018 ETU 19:04 |
Message édité -
Score : 6
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- Voila un message on ne peut plus clair et sentant bon l'humanité -excusez moi du terme amis non-humanoïdes présents-. Cette voix provenait d'un hologramme s'étant allumé récemment. L'individu, semblait mur et réfléchi. Il continua : - Permettez moi de me présenter, Steve Austin, nouveau venu sur le Secteur 2. Ma voix n'engage que moi, mais je mettrais bien quelque billes sur le fait que l'opinion qu'elle porte soit partagée par bon nombre d'entre nous. Il tourna sur lui même, afin de voir le maximum d'hologramme. - Certes nous sommes tous différents, nous avons tous nos projets, nos ambitions... Là, deux choix s'opposent, le premier, faire cavalier seul, avoir la fierté d'y être arrivé seul, qu'importe le temps que cela prendra, et ça en prendra. Le second, l'unité : l'union qui fera de chaque commandant y participant un homme riche. Non, je ne parle pas ici de Leems, bien que cela pourrait être lié bien-sur, mais d'une richesse intérieure, sociale, scientifique... Cette lumière d'humanité qui nous sépare radicalement de ces barbares de brigands. Il fit une courte pause. Puis reprit. - Alors certes, je ne connais La Kabbale, son histoire ; et vous tous non plus, je ne vous connais pas. Là est le défi, la confiance, l'ouverture, laisser une chance à celui qui la demande. Vous l'aurez compris, je suis clairement POUR le projet de La Kabbale, et ferais tout ce qui est dans mon pouvoir pour accompagner ce projet. Certains pourraient être tenté de laisser le temps s'exprimer, ce qui est compréhensible, cependant sachez bien que chacun a son importance, qu'importe son profil. Steve Austin recula d'un pas, son allocution étant fini. Soudain, il se avança de nouveau : - Oh.. Et, enchanté de vous rencontrer !
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Cdt. Emir Ali-Bher
Respect diplomatique : 62 
28/03/1018 ETU 20:05
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Score : 6
Détails
Yozeph avait été missionné par le Conseil de la Confédération pour transmettre par message holographique la réaction des Emirats Interstellaires à la prise de la Contrebande du Secteur Second. L’Emir Ali-Bher quant à lui interviendrait en personne au C.P.A. (le Conseil des Peuples autochtones) du Secteur Second, que l’Emirat Interstellaire avait inauguré il y a peu pour offrir un espace de débat à la communauté des peuples de son secteur natal. Cette intervention attendra la fin des « travaux » qu’il menait dans le Grand Temple de Salomon, centre spirituel et névralgique de l’Eglise Maçonnique. « Peuples de Paradoxe, La Confédération des Emirats Interstellaires que j’ai l’honneur de représenter dans cette Assemblée salue les interventions de Ressaïa Et Lokoganoth. Si nous ignorons tout des évènements de Secteur Premier, nous devons abonder dans le sens de ce que viennent d’exposer les représentants de La Kabbale. A ce titre, nous devons prendre notre part dans ce qu’elle déplore pour le Secteur Second, à savoir une course larvée pour la puissance, sous couvert d’une diplomatie courtoise. Dans la Salle Lévi-Strauss du Conseil des peuples autochtones, sur la planète Concorde Paradoxale, nous avons nous même participer à quelques joutes verbales qui ont sans doute semé les premiers germes de la discorde. Alors ce soir, je me joins à l’appel vibrant de la Kabbale pour que la chute de la Contrebande des brigands signe un nouveau départ collectif. La Confédération, riche d’une longue tradition d’étude, par le biais des travaux de l’Eglise Maçonnique, est prête à participer à la définition concrète d’une organisation collective ayant pour objectif un développement harmonieux des peuples autochtones du Secteur Second. L’heure de la concorde des peuples est avenue, puisse l’ère des brigands et de l’anarchie révolue. »
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