Apocalypsis Archives > gamma2 > Galaxie 12 > Forums > Horreur Galactique > La cruauté de l'espérance.

La cruauté de l'espérance.

... ?

Oui.2
Non.4
Total : 6 vote(s)
Ce vote a pris fin le : 21/01/1019 ETU 02:47

Pages : 1

Cdt. Alderak
Respect diplomatique : 174

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16/01/1019 ETU 02:47
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Clinc.....Clinc.....Clinc....Clinc....Clinc...
La pénombre régnait dans les couloirs de l'Assemblée. Sur ordre du Seigneur Alderak, les ampoules n'étaient plus changées, laissant de vastes zones d'ombres. Peu de personnes se hasardaient encore à arpenter ces couloirs seuls car il se disait à voix basse que certains y avaient disparu, pour ne plus jamais paraître à l'Assemblée. Fondées ou non, nul n'osait chercher à vérifier ces rumeurs, plus rien ne semblait impossible dans l'Assemblée de Paradoxe, surtout pas les pires horreurs.
Accompagnés d'un cliquetis de chaînes, un petit groupe s'avançait lentement vers la salle principale. Le bruit de chaînes provenait de l'un d'entre eux que les autres escortaient ou plutôt guidaient sans ménagement vers les portes. Celui qu'ils escortaient n'était pas inconnu de l'Assemblée. Portant toujours son carcan autour du cou, le Dar'Sol Nahpokt arborait désormais un visage tuméfié et peinait à ouvrir son dernier œil valide. Il se traînait lentement sous la conduite de ses gardes car il claudiquait nettement et perdait régulièrement l'équilibre, poussé par ses geôliers qui riaient en se le lançant l'un à l'autre.
"Avancez donc Dar'Sol, On vous attends. Vous ne voudriez pas arriver en retard un jour aussi important non?"
Alors que les portes de l'Assemblée s'ouvraient, le petit groupe apparut aux yeux des délégués assemblés ici après avoir été avertis que leur présence était requise.
La foule qui était en train de discuter par petits groupes se tût... Et fit passage pour celui qui allait être, comme tous venaient de le comprendre, le sujet de cette séance.
Sous les quolibets de ses gardes, le Dar'Sol se traina tant bien que mal jusqu'à l'estrade et commença à en monter les marches. C'est alors que celui qui tenait la chaîne qu'il portait autour du cou lui fit un croc en jambe à la dernière marche, le faisant s'effondrer de tout son long et heurter durement le sol avec son visage. Alors que le Dar'Sol tenait de se retourner pour se redresser, le garde lui marcha sur le dos, appuyant de tout son poids pour le tenir au sol.
"Et alors Dar'Sol, c'est comme ça que vous tenez vos engagements? Je vous dis que vous êtes en retard et tout ce que vous trouvez de mieux à faire, c'est de vous allonger pour vous reposer?"
Ponctuant ses mots de coups de pied portés au dos, au ventre et au visage, le garde se mit à hurler à destination de la forme allongée:
"JE...VAIS....VOUS...APPRENDRE....A TENIR.... VOS....ENGAGEMENTS....MOI!!.... ET.... A ÊTRE..... A L'HEURE!!!!...."
Se reculant, le garde se tourna vers ses subordonnés et leur cracha:
"Allez vous autres, apprenez lui, je ne crois pas qu'il a encore retenu la leçon!"
Pendant plusieurs minutes les gardes s'acharnèrent sur le corps du Dar'Sol qui gémissait sous la violence des coups et sous le regard médusé et horrifié des délégués. Quelques bruits avaient bien retenti dans certaines loges bien connues de l'Assemblée mais cette fois-ci, les assistants semblaient être parvenus à garder leurs charges en sécurité.
"Non ma dame, par pitié, restez à l'abri! Le Dar'Sol ne me pardonnerait jamais de vous laisser vous mettre en danger. Le Seigneur Alderak ne le laissera pas mourir ainsi, il se priverait de son spectacle!"
Quand les gardes se retirèrent, l'un d'entre eux cracha sur la forme à leurs pieds. Se rapprochant de sa victime, le garde sembla presque déçu que celle-ci soit encore en vie. Se redressant tant bien que mal en dépit de ses mains entravées, le Dar'Sol mit de longs instants à se remettre sur ses pieds. Se tournant vers son bourreau , il lui sourit après avoir craché le sang qui lui avait envahi la bouche.
"Merci pour votre leçon jeune homme. Je ne doute pas que vous ayez des ambitions au service du Seigneur de Paradoxe, mais j'ai bien peur que vos...méthodes... ne manquent du raffinement qu'il goûte."
Furieux de se voir ainsi répondre, le garde leva la matraque qu'il tenait dans sa main quand retentit un ordre qui résonna dans tous les esprits:
Assez.
 https://www.youtube.com/watch?v=cfJnUB_H4qg 
Le bras frustré se baisse. Le garde aux mœurs de bourreau ne se prête plus aux jacqueries et à l'amusement, ses sous-fifres et lui se pressant plutôt de faire parcourir les derniers mètres restant au Dar'sol, l'amenant sans ménagement jusqu'à l'estrade. Click. La chaîne est ancrée à celle-ci, alors que les gardes s'en éloignent en toute hâte. Et pour cause, tous savent de quoi ce cruel murmure est annonciateur.
Les ténèbres commencent lentement à se condenser, ancrant toute la noirceur de l'Hémicycle en son centre. Leur couche enveloppe tout juste le Dar'Sol dans son dos, laissant une frontière nette entre le domaine du visible, et celui de l'obscur. La sensation des délégués qu'un simple basculement en arrière le ferait totalement disparaître dans les ténèbres est entière.
Alors, Dar'Sol... prêt à apprendre une douloureuse vérité à vos dépens ?
La silhouette d'ombres n'a pas tardé à apparaître juste derrière le détenu, dans cette zone de ténèbres. Mais au delà du regard bien connu du Seigneur, quelque chose d'autre les transperce. Ces odieux doigts griffus s'étant lentement posés sur le cou du Narn, et se serrant tout juste assez pour laisser suinter un court filet de sang en leur long.
"Je suis, comme vous le savez, un chercheur de vérités. Enseignez moi donc la vôtre puisque tel semble être votre désir. Je suis tout ouïe à défaut de pouvoir vous voir."
Le Seigneur Alderak lâche un cruel ricanement, son vil regard parcourt alors tout l’hémicycle, accrochant celui de tous ceux présent.
Cruelle et odieuse Galaxie... le dernier cruel jeu arrive enfin, après tout ce cruel temps. Et vous ne serez pas déçu car il répondra à ma terrible promesse : il sera odieusement fab-u-leux.  Oh oui...
Permettez moi donc de vous introduire un des odieux enjeux que ce dernier cruel divertissement offrira à la galaxie...
Rien de plus, rien de moins... que la douloureuse et misérable vie du Dar'Sol Nahpokt...
Les griffes monstrueuses se serrent un peu plus autour de la gorge du concerné, lui arrachant un râle de douleur...
Oui, le Dar'Sol Nahpokt... quel être cruellement détestable. Quel être que je hais. Un être qui ne subit sa douloureuse et piteuse condition actuelle qu'à cause de ses cruels actes et convictions...  D'abord, celui d'avoir voulu considérer les cruels esclaves comme nos égaux et de vouloir les aider. Cruelle erreur heureusement repérée par mon odieuse personne, ayant alors cruellement imposé mon ombre dans son sillon, pour ne lui accorder aucun douloureux répit... et bien entendu lui interdire tout succès. Oh oui cher Dar'Sol, si vous croyiez que votre projet de faire fuir les esclaves dans un douloureux nouveau secteur hors de ma présence serait passé inaperçu, l'on peut dire... que vous vous êtes cruellement mis le doigt dans l’œil.
Un des "doigts" tranchant de la créature glisse lentement sur le visage du Dar'Sol, venant lentement s'appuyer sur son bandeau et le tapoter pour lui arracher un autre gémissement de douleur, pour accompagner cette cruelle boutade.
Mais si ce n'était que ça... mais non... il existe un tort bien plus grave que représente le Dar'Sol ici... celui qui justifie toute sa cruelle condition actuelle, et cristallise même tout mon cruel dédain pour sa personne. Vous ne voyez pas lequel... ?
Alors, laissez moi vous le dire... le tort de ce misérable Narn... est que jusqu'à la fin... il n'aura jamais concédé au moindre sacrifice d'esclave. Pathétique. Voyez cet être que je tiens aujourd'hui par la cruelle menace. Observez le bien. Accroché à sa cruelle conviction jusqu'au bout, allant même jusqu'à préférer présenter sa vie plutôt que de l'abandonner. N'est-il pas responsable de sa cruelle condition ?
Voilà pourquoi je trouve le douloureux Dar'Sol Nahpokt cruellement détestable... car celui-ci est à la cruelle image de cette odieuse Galaxie.
Silence. Les murmures transpirent un odieux dédain et mépris, plus qu'il n'en a jamais été jusqu'ici.
Ne le niez pas. Tous autant que vous êtes et que vous existez, oui, tous, vous vous accrochez cruellement et pathétiquement à quelque chose. Qu'il en soit d'une cruelle soif de pouvoir, de simple subsistance, ou de stupides idéaux comme dans ce cas, vous tous partagez cela en commun : c'est par de là que je vous tiens. Du simple avare craignant à la perte de son empire, au plus vertueux d'entre vous craignant pour la mort et douloureuse d'autrui, un simple renoncement à cette cruelle idée à laquelle vous vous accrochez vous aurait permis de vous détacher de la cruelle emprise Seigneuriale... Mais non... aucun, aucun d'entre vous n'a jamais été prêt à renoncer.
Subir aux noms d'idéaux ou de désirs est ce qui caractérise vos êtres... et le Dar'Sol Nahpokt le prouve encore dans toute sa Quintessence.
Par son choix...
... il n'est qu'un pantin.
La créature insiste sur dernier mot, tout en appuyant puis retirement lentement son doigt du visage de sa victime, ayant pour conséquence de l'entailler profondément au niveau de la joue déjà boursouflée, avant de rejoindre ses pairs sur la gorge enserrée du Narn.
... comme vous tous.
Esclave comme citoyen libre... deux faces d'une même pièce... que je tiens dans mon odieuse main.
Après tout ce temps, vous pensiez-vous réellement différent ? 
Est ce que vous croyez que je ne vous vois pas ? 
Est ce que vous croyez que je ne sais pas ?
La créature lâche un odieux et long ricanement.
Le dessin d'une odieuse esquisse si bien connu commence lentement à apparaître au travers de l'obscurité...
Pathétique... je vous observe depuis longtemps ramper dans mon dos, contraint à rejoindre l'obscurité pour comploter misérablement dans la crainte de vous voir découvert et punis. Discuter dans une simple taverne est un douloureux risque que les plus malins d'entre vous ne prennent plus par peur de voir celle-ci tomber entre mes mains. Même vos cruels échanges ne sont pas à l'abris d'un douloureux retour à ma personne... et ils sont nombreux. Petit à petit, je vous ai amené là où je le voulais.
Un monde de ténèbres, où plus rien ne s'ose à la lumière. Voilà à quoi vous êtes contraint aujourd'hui. Contraint à mon monde.
Alors qu'il serait pourtant si simple pour vous qu'il en soit autrement... si simple, et pourtant si difficile à la fois.
Car il vous suffirait simplement de comprendre... oui... simplement comprendre...
...  que le réel sens...
... de la souffrance...
Silence. Le mot est dit de manière particulière.
... c'est de renoncer, et subir l'ultime sacrifice. Celui auquel quiconque préférerait la mort plutôt que de s'y résoudre de soi même. Inutile de vous dire que cette cruelle définition interdit à quiconque d'en comprendre le sens cruellement seul... sinon, cette Galaxie n'en serait pas là aujourd'hui. Mais heureusement pour vous, oui, vous, vous n'êtes pas seul, non, quelle chance... car je suis là pour vous aider. En vous apprenant une cruelle leçon, qui à défaut de douloureusement vous amener à la réelle souffrance, vous guidera sur la cruelle bonne voie. Et quoi de mieux pour cela que de joindre l'utile à l'agréable ?
Ssssss...splotch.
Un des doigts vient de transpercer la joue du Narn, alors que le sourire de la créature se dessine encore un peu plus dans l'ombre, d'un air sadique et totalement amusé par la situation. Le Dar'Sol qui semblait lentement s'éteindre sous le poids des sévices geint encore de douleur.
Réveillez-vous, mon brave, il serait dommage de vous évanouir si tôt... alors que la cruelle annonce du dernier jeu arrive enfin.
Un crachat de sang, puis un murmure se donne pour réponse. Le Narn est bel et bien vivant.
"Je vous ai connu bien plus direct pour expliquer les choses, Seigneur Alderak. Ne craignez vous pas qu'à trop disserter ainsi vous ne perdiez l'attention de votre auditoire? Allez finissons en, nous attendons depuis trop longtemps votre dernier jeu!"
Encore assez de force pour faire une cruelle remarque pertinente ?
Tant mieux, cela promet d'être douloureusement amusant selon le résultat du divertissement.
Cruelle Galaxie, il est temps de vous faire la cruelle annonce... le douloureux jeu... dernier et ultime jeu que connaîtra cette Galaxie... sera un vote. Oui, un vote. Mais pas n'importe quel vote. Car celui-ci comporte deux règles douloureusement spécifiques.
Premièrement, tous peuvent cruellement participer, esclaves comme citoyens libres. Sauf le Dar'Sol... vous comprendrez pourquoi...
Deuxièmement... chaque cruelle personne dispose du droit de douloureusement voter deux fois... une fois dans l'ombre, via le douloureux vote pressoir proposé... et une fois dans la lumière, en vous présentant ici même et déclarant cruellement celui-ci. Le total des votes sera cruellement additionné... et déterminera le cruel résultat du jeu. Et quel résultat... un tel odieux et douloureux, qu'il mériterait bien...
https://www.youtube.com/watch?v=1xSztiMSPAQ 
La cruelle intonation se pose, comme si elle s'y sentait forcée. Le flottement se fait pesant, une hésitation peut-être ? Le Seigneur semble douloureusement prendre son temps. Un temps qui dure, alors que le silence s'installe profondément au milieu du malsain ambiant de la scène. Avant d'annoncer...
... que je parle...
... ce qui n'a jamais été vu. Un pas. Voilà toute la frontière qui se trouvait entre toute cette étendue de ténèbres et cette lumière aveuglante. Une frontière qui venait d'être franchie, par un unique et simple pas. Pour la première fois, la silhouette n'en était plus une : la lumière la découvrait. Plus d'ombre tourbillonnante,  de regard rouge perçant les ténèbres, ni de sourire monstrueux et odieux... mais à la place, une entité toujours aussi haute en taille, dont le caractère frêle et rachitique se devinait, tout cela sous une toge piteuse. Si frêle que l'on pouvait se demander comment elle tenait simplement debout. Regard baissé vers le sol pour cacher ce dernier, son air portait presque à la pitié...
"... à... la... lumière..."
Presque... car l'aura que dégageait la créature s'en trouvait notablement plus terrifiante qu'avant. 
Plus de murmure. Mais à la place, cette voix infâme, quasi-indescriptible. Un mélange insensé de gargouillement, de raclement, et d'inspiration douloureuse, similaire à celle d'un asthmatique. Ainsi que ce liquide...
"... quel... douloureux honneur... je fais à cette odieuse Galaxie... en sortant... de l'ombre... pour donner ces très douloureux mots.
Alors écoutez-moi avec une cruelle attention... car il est aujourd'hui temps... que vous preniez vos odieuses responsabilités... tous ces morts... toute cette souffrance dans cette odieuse Galaxie... n'existent qu'à cause de vous... ou plutôt... grâce à vous si je m'en tiens à mon cruel rôle..."
... noirâtre semblant suinter sous la toge de la créature, et craché à chacune de ses inspirations, comme si chaque mot lui en coûtait...
"... victime du destin que vous vous êtes tracé... votre infamie aura creusé votre propre gouffre... plutôt que d'éliminer l'ignominie Seigneuriale là où elle semblait évidente... chacun aura préféré chercher s'en jouer à son douloureux avantage... nourrir la bête... jusqu'à ce qu'elle se nourrisse de vous. J'adore à présent cruellement cette odieuse Galaxie... car les coupables y sont nombreux... vu qu'il ne reste plus qu'eux."
... ce qui ne l'empêche pas entre plusieurs expectorations immondes de dégager un rire sordide et méprisable, comme elle le fait juste maintenant. Ses hoquets de rire si graveleux donnent à croire que cette chose va réellement finir par s'étouffer et s’effondrer d'elle même ...ce qui la rend d'autant plus détestable, car le doute n'était plus permis maintenant : Cette chose, d'un paraître si dérisoire et pitoyable, n'en restait pas moins un monstre sadique et tourmenteur.
"Regardez cruellement par vous même... tous ces autres s'étant refusés à notre ignominie commune... ont cruellement disparu... ils ne restent plus que nous... ainsi que ces ténèbres qui ont lentement envahi cette odieuse galaxie... pour en étouffer l'espoir. 
Le cruel et délicieux silence de ces lieux... en témoigne douloureusement. Il... est... déjà... trop...... "
"Hi!Hi!Hi!" 
... mais alors que le Seigneur entamait la fin de sa proposition, un rire nerveux s'était échappé des lèvres fendues du Dar'Sol.
"Oui Seigneur Alderak, vous avez raison, nous sommes tous coupables de vous avoir laissé faire, moi le premier. J'aurais peut-être pu vous éliminer quand le secteur 5 était fermé et je n'en ai rien fait alors que je percevais déjà toute votre noirceur... Je me suis leurré en pensant que je pourrais vous canaliser, vous utiliser à mon profit. Mais l'Espoir...Hi!Hi!Hi! Non certainement vous ne pourrez jamais l'éteindre car vous n'en concevez que les effets et n'avez jamais ressenti l'inextinguible soif qui le génère et qui le fait perdurer en dépit de tout... Cette soif là vous ne saurez jamais l'éteindre... Malgré tous vos efforts... Mais je vous ai interrompu, je suis bien impoli..."
"Je vois... d'humeur douloureusement joueur Dar'sol ? Tant mieux, car par cruelle chance pour cette odieuse Galaxie... ou malchance si je m'en tiens encore à mon odieux rôle... je le suis cruellement moi aussi. Alors je vais douloureusement offrir à celle-ci... une cruelle et dernière opportunité... quand je vous disais que le résultat de ce dernier jeu serait... cruellement intéressant et amusant. Notre cruel invité de marque n'est pas là pour rien.
Le Dar'Sol Nahpokt... par ce cruel vote... la douloureuse Galaxie sera confronté entre deux choix très simples...."
Un petit quelque chose laissait les interlocuteurs perplexe malgré l'ignominie qui se retrouvait dans chaque intonation de mots...
"Épargner ce dernier... qui sera alors odieusement libéré... et n'aura plus jamais à connaître un cruel soucis avec ma personne.
Ou bien...
... cruellement tuer celui-ci... chose que je ferai avec un horrible... et odieux plaisir... avant de définitivement quitter cette odieuse Galaxie."
... chose que ne tarda pas à s'intensifier dans ses dernières phrases. L'ambiance pesante ne suffit pas à endiguer les murmures qui prennent l'Assemblée des quelques rares représentants restants. Mais ils ont bien entendu... l'odieux gargouillement rieur le confirme.
"Vous avez... douloureusement bien entendu. Point de cruel piège... je m'y engage cruellement. Si la seconde option est choisie, tous les Seigneurs en retourneront à un grand Corpuscule dispersé... de nations brigandes... tout autant cruelles les unes que les autres... mais bien incapable de... douloureusement imposer l'ombre et les ténèbres... à cette odieuse Galaxie. Effacer cette cruelle partie de l'histoire... et retrouver la lumière odieusement perdue avec... ma douloureuse disparition dans les ténèbres profonds... à jamais. Ma mort...
Voilà votre cruelle opportunité... qui ne vous coûte presque rien... presque..."
A la fois les propos de sa phrase... mais aussi... oui, ça... cette étrange et cruelle assurance toujours aussi provocante... et inquiétante.
"... un simple et tout petit sacrifice... douloureusement délicieux. Car à la fois cruellement hypocrite... mais douloureusement si sensé. Un de plus... ou un de moins... que vous laisseriez odieusement passer... devant vos yeux... qu'est ce que cela changerait... alors que vous recouvrerez pour tous... cette odieuse liberté... en mettant à bas la créature... qui se joue de tous vos maux... depuis si longtemps. Et continuera de le faire encore plus... affreusement encore... si elle perdure... parmi vous... car si vous croyez... avoir tout vu... soyez certain que les cauchemars que vous avez vécu jusqu'ici... n'aurons que peu de sens face... à la terreurs des suivants..."
... et le Seigneur le sait aussi, car le pas qui avait été fait d'un sens et a présent fait dans l'autre...
Alors... à présent, place enfin au cruel jeu, et la à la fatidique question, échéance 5 cycles :
... pour retourner à l'ombre, et enfin pouvoir relever la tête, pour afficher ce plein sourire monstrueux et ignoble...
Le Dar'Sol Nahpokt doit-il mourir ?
https://www.youtube.com/watch?v=5AMIA-5Op4c 
... encore plus fréquent qu'avant encore. Comme si sa provocation infâme disait... qu 'il savait
"Alors mes chers amis, si tel est le choix qui nous est offert, vous savez très bien ce qu'il faut faire..."
Tels étaient les mots que le Dar'Sol lâcha dans un dernier soufflement douloureux.
Cdt. Alderak
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18/01/1019 ETU 12:03
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"Contre !"
 https://i.pinimg.com/564x/c3/0f/45/c30f45d64390598cf877f63413c40730.jpg
"Ah... ou non plutôt ! Oui, ma réponse est Non !"
L'irruption impromptue du personnage n'a maintenant plus rien d'étonnant pour l'Assemblée.
"Pour ce jeu très amusant, le Seigneur Alderak m'a cruellement offert le droit d'utiliser son second vote publique à sa place, quand je vous disais que c'était vraiment quelqu'un d'odieusement sympa..."
Son air hautain et provocant non plus.
"D'ailleurs ça a pas l'air de beaucoup se presser ici pour en profiter, mais ce n'est pas grave, tant mieux... pour moi !
Je vote contre la mort du Dar'Sol, non pas que l'idée de débarrasser la Galaxie de ce gros vilain me soit douloureusement dérangeante; si si c'est un vilain, souvenez des armes chimiques qu'il a utilisé, c'même lui qui l'a dit; mais car j'ai crainte qu'après le départ du Seigneur Alderak, je ne puisse jamais retrouvé un patron qui jugerait mon travail à sa juste et cruelle valeur ! Donc je vote pour qu'il reste !"
Il conclue par un petit murmure.
"Les médisants diront que c'est parce-que j'ai peur de me faire raser... mais c'est faux, la boule à zéro m'irait très bien, enfin... je crois."
Cdt. Alen
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18/01/1019 ETU 19:06
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Alen se leva et s'approcha sur le devant de sa loge.
Et bien, il semblerait qu'on a fondu les plombs chez les seigneurs... Dis moi mon grand... Tu te prends pour Dieu ?
Alen ricana.
La fatidique question que je me pose est : Pourquoi est-ce que tu nous demande notre avis ?
Alen passa du sourire au soupir.
Franchement ça fais des dizaines de cycles que tu nous pompe l'air avec tout ton cirque. Je suis sur que ça t'amuse beaucoup mais moi j'en ai marre de la cruelle rengaine . Si tu veux le tuer, tue le et finissons-en.
Par contre si  tu souhaites l'avis d'une tierce personne, demande le-lui. Il est ton prisonnier, si tu n'en a que faire de son sort, et bien exauce le. C'est quand même pas si compliqué. Non il faut que tu viennes nous faire ton grand cirque de terreur en te prenant pour Dieu. Et le pire c'est que tu diras que c'est la galaxie qui a choisi sa sentence... Et tu n'auras même pas tord, c'est ça le pire.
Alen s'adressa au Dar'Sol.
Je suis certain qu'il va quand même nous emmerder pour voter, donc finissons-en. Je n'ai aucune envie de lui donner la satisfaction qu'il recherche. Alors dis moi, quel est ton souhait à toi, Nahpokt ? A travers ma voix les passeurs souhaitent que ce vote, pour ne pas l'appeler autrement, soit le reflet de ta propre volonté, et rien d'autre.
Cdte. Ludmila Marszalek
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18/01/1019 ETU 19:59
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« Il vous dira de le sacrifier, Commandant Alen. »
La voix de l'Amirale avait fusé du fond de la salle, à l'emplacement où se trouvait son hologramme. D'ordinaire elle laissait sa loge attitrée inoccupée. Elle détestait les petits jeux d'Alderak, ses petits simulacres d'exécutions. Elle avait l'impression d'écouter des guérilleros zafirites, qui juraient sur le prophète de tuer leurs captifs si telle ou telle condition n'était pas remplie — et comme personne n'y prêtait jamais attention, ils finissaient par trouver un prétexte pour reporter l'exécution. (Pensée fugace : Nahpokt avait-il développé un syndrome d'attachement à ses geôliers ?)
Mais comme il s'agissait, cette fois, soi-disant, de la vraie vie définitive cette fois du Dar'sol Nahpokt, elle avait jugé bon d'intervenir.
« Vos petits jeux sont inutiles et dérisoires, Seigneur Alderak. Ce que vous nous pourriez nous faire aussi. Fut un temps où je vous ai craint, peut-être vous crains-je encore. Mais vos petites difficultés en secteur XXV, votre véritable apparence dont on dirait presque qu'elle véhicule un message implicite, et la proximité toujours plus galopante de l'Apocalypse m'ont rappelé qu'il y avait plus redoutable que vous dans cet univers.
Il y a Dieu.
Et vous n'êtes pas Dieu. »
Elle jeta un regard à Nahpokt et ses lèvres se muèrent en une ligne fine et blanche en voyant sa carcasse. Le voici, trop résigné pour espérer vivre, mais par on ne savait quel miracle encore plein d'espérance. À moins que ce ne fût la proximité certaine de la mort qui lui donnât cet esprit rebelle… Et peut-être que c'était la même chose pour elle, là tout de suite.
« Au diable sa stupide volonté. Sa vie apportera plus que votre mort. Je vote contre. Deux fois. »
Cdte. Lyra
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18/01/1019 ETU 23:17
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La démonstration d'Alderak avait été longue. Éprouvante. Insoutenable. Lyra avait encaissé chaque coup porté au Dar'Sol comme s'ils lui avaient été adressés personnellement. Elle était d'abord restée muette d'horreur en voyant l'apparence du Dar'Sol, lorsqu'il était entré dans l'hémicycle. Lorsqu'il était tombé, sous l'action d'un garde, elle s'était levée d'un bond. Une rage sourde l'avait saisie, et elle aurait été prête à rejoindre l'estrade pour... pour faire quoi, au juste ? Leur cogner dessus ? Peut-être, sans doute, mais c'était sans compter la vigilance de ses assistants et surtout de ses gardes qui avaient anticipé la réaction de leur reine et qui l'avaient vigoureusement fait rasseoir sur son siège en plaquant leurs mains sur ses épaules.
Chaque minute qui s'était ensuite écoulée avait été une torture. Mais Lyra n'avait pas détourné les yeux. Elle s'était forcée à écouter, à regarder. Par respect pour lui. Alors la nausée s'était peu à peu effacée pour laisser place à un sentiment étrange, violent. Presque inconnu. La haine.
Elle balaya du regard l'assemblée. Tous ces regards tournés vers l'estrade, comme hypnotisés... Puis son regard glissa vers le Dar'Sol. Vers Alderak.
L'intervention d'Alen la sortit de ses pensées. Elle ferma les yeux en entendant sa déclaration. Non, mon amour, ne fais pas ça... l'Amirale Marszalek avait raison, il y avait de grandes chances que le Dar'Sol présente son sacrifice comme le seul choix possible. Il l'avait déjà fait, et il y avait peu de chances que son avis ait changé depuis.
Lyra écouta silencieusement les votes d'Alen, puis Ludmila. Son propre choix était fait. Il s'était imposé comme une évidence. Elle ne ressentait aucun doute, aucune hésitation et un calme étrange se répandait en elle. C'était la seule voie possible. Mais avant de l'exprimer, elle avait une chose à faire. Une dernière chose.
Lyra se leva et quitta sa loge. Cette fois, personne ne lui barra le passage. Elle avait quelque chose dans le regard qui ne souffrait aucune opposition. Elle traversa d'un pas assuré l'Assemblée, sans prêter attention aux regards qui se tournaient vers elle et aux murmures sur son passage. Elle monta sur l'estrade et s'avança vers le Dar'Sol. Les gardes qui l'encadraient échangèrent un rapide regard mais leur hésitation ne dura pas longtemps et ils se mirent en position pour lui bloquer le passage. Pendant une seconde, qui sembla durer une éternité, ils se firent face, se toisant avec un mépris réciproque et semblant attendre de l'autre qu'il fasse le premier geste.
Puis sa voix retentit, brisant le silence dans un râle à glacer le sang.
Laissez ".
Le murmure s'évanouit dans un ricanement douloureux. D'un seul geste, les gardes baissèrent leurs armes et s'écartèrent. Lyra releva la tête et les toisa d'un air de défi. Puis elle posa les yeux sur le Dar'Sol et s'approcha lentement de lui. Autrefois, elle n'aurait jamais osé. Autrefois, elle se sentait comme une petite fille impressionnée à ses côtés. Que ce temps lui paraissait loin... Aujourd'hui, elle prenait conscience à la fois de son incroyable fragilité de mortel et pourtant, il ne lui avait jamais semblé aussi fort. Lentement, délicatement, elle le prit dans ses bras.
Pardon, Dar'Sol, murmura-t-elle. J'espère que vous comprendrez ma décision. Elle se recula pour le regarder, et sentit les larmes lui monter aux yeux. Je suis sûre qu'à cet instant, vous vous inquiétez pour moi. Vous auriez préféré me voir rester en retrait. Elle ne put s'empêcher de sourire et essuya du revers de la main une larme qui coulait sur sa joue. Il n'y a que vous pour continuer de vous préoccuper des autres alors que vous êtes à ce point en danger. Mais j'ai fait mon choix en pleine conscience, Dar'Sol, et je l'assume. J'espère que vous ne m'en voudrez pas. 
Lyra se retourna alors et fit face au Seigneur Alderak. Plus aucune émotion ne subsistait dans son regard, uniquement une détermination froide.
Je ne jouerai pas à votre petit jeu, Alderak. Ne comptez pas sur moi pour tomber dans le panneau une fois de plus. Vos dilemmes ne sont qu'une vaine manipulation pour nous empêcher de penser librement, et de voir réellement toutes les options qui s'offrent à nous.
Vous nous demandez de choisir entre la vie du Dar'Sol et votre départ ?  Lyra eut un rire froid.  Mais je ne vous reconnais aucune légitimité pour nous imposer un tel choix.
Des cycles que vous tentez de nous convaincre que nous sommes responsables de la disparition de tous ces commandants, des mauvais traitements que vous infligez aux réfugiés, les humiliations, les tortures... Nous sommes complices, par notre inaction, sans doute... mais pas responsables. Le seul et unique coupable, c'est vous. Vous qui vous nourrissez de toute cette souffrance et qui savez si bien tirer profit de ce que vous qualifiez chez nous de faiblesses.
Lyra fit une pause. Elle fixait toujours Alderak, sans ciller.
Votre odieux chantage ne mérite pas que je m'abaisse à participer à ce vote. Je refuse que le Dar'Sol soit sacrifié en échange de votre départ. Tout comme je refuse de conforter votre présence ici en réclamant que vous l'épargniez. Votre dilemme n'en est pas un et je ne serais pas une nouvelle fois complice passive de vos exactions.
Lyra se rapprocha un peu plus et sa voix se fit glaciale.
Je n'ai pas peur de vous, Alderak. Je ne vous laisserais plus influencer mes décisions.
Après un dernier regard, emplis de mépris et de dégoût, Lyra se détourna et, sans un regard en arrière, se dirigea vers les portes de l'Assemblée.
Cdte. Harley Quinn
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19/01/1019 ETU 21:17
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Je vote oui ! Deux fois !
L'esprit de contradiction ? L'envie d'emmerder le monde ? Marre de voir la tronche d'alderak ? Appelez ça comme vous voulez.
Hu hu hu hu.
Cdt. Ylios
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20/01/1019 ETU 20:58
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Sortit de sa retraite, il vînt en urgence à l'assemblée. Il avait la mine détendue; il etait habillé de façon totalement décontracté et les cheveux un peu ébouriffés.
Il y a bien longtemps que vous ne m'avez vu ici. En toute honnêteté je n'avais pas l'intention de venir. Il était dit que je me retirerais et je l'ai fait.
Ainsi donc pourquoi me présenter devant vous? Et bien par respect et égard envers le Dar'Sol... lui montrer mon soutien. C'est bien maigre mais je voulais le faire.
Deux de mes amies m'ont demandé mon choix. Après les avoir envoyé valser je n'ai pas pu m'empêcher de sauter dans un vaisseau. Je souhaite soutenir la démarche des opposants.
Comme a l'accoutumée je ne participerai pas au jeu de l'autre zinzin. Bien sûr si je devais choisir je chercherai à sauver le Dar'Sol mais je me refuse a cautionner cette politique abjecte.
Personnellement a part m'etre fait confisquer ma contrebande je n'ai pas eu à me plaindre des agissements de la capuche folle envers moi ou ma civilisation. Par contre dés le départ j'avais dénoncé l'absence totale de légitimité dans sa prise de pouvoir. Et pire que tout, chacun a ses raisons et il n'existe point de vérité; cependant avoir emprisonné et maltraité les réfugiés est une atteinte fondamentale à tous les principes de droiture politique.
Mon cher Alderak vous n'avez jamais fait preuve de courage. Pas de prise de pouvoir par la cruauté mais par un truchement entre amis. Les pauvres commandants tombés sous vos bombardements n'ont eu aucune chance dans un rapport de force déséquilibré; enfin vous avez enfermé les réfugiés pour éviter de vous retrouver avec des ennemis et des alliances qui vous auraient été fatales.
Je vous concède un certain talent militaire et je vous concède également de la cohérence et de la subtilité dans votre politique. Vous avez su jouer des dissenssions existantes, vous vous êtes maintenu au pouvoir sans grands efforts et avez réussi a tenir la galaxie à votre pogne et inspirez la crainte à de nombreux commandants.
Sachez que rien n'est immuable. Ce temps est révolu. Vous auriez du quitter le pouvoir en pleine gloire, au lieu de cela votre folie des grandeurs va provoquer votre chute. Je ne m'extasierai pas de vous contempler dans le fond du caniveau. Du coup je préfère prendre un peu d'avance... je vous avais prévenu...
Il lui fit un clin d'oeil. En repartant il se dirigea rapidement près de Nahpokt, s'accroupit près de lui et posa une main sur son épaule en lui souriant. "Ne vous inquietez pas cher ami, nous trouverons une solution pour vous sortir de ce mauvais pas". Il lui glissa discretement un petit pochon  de plante medicinale dans la paume de sa main, bien qu'il savait que le Dar'Sol se refuserait à les utiliser.
Cdt. Alderak
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21/01/1019 ETU 02:46
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  https://www.youtube.com/watch?v=9KAMgsDCc1E 
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Si pathétiques... si prévisibles...
La forme du Dar'Sol tombe à genoux, alors que son carcan vient d'être détaché. Le timing est étrange... une seconde même avant que les résultats du vote ne s'affichent selon certains, ou en même temps selon d'autres.
Ne pas saisir une si douloureuse opportunité... donner la cruelle preuve publique de mes dires... et oser prétendre que vous êtes douloureusement maître de votre destin, voilà ce qui m'a toujours douloureusement amusé avec les êtres tels que vous. Il n'y a pas plus à cruellement en dire... peut-être qu'un jour vous vous souviendrez de ce douloureux instant... quand vous comprendrez enfin.
Mais au moins, vous avez tous cruellement raison sur un point : Je ne suis pas un Dieu.
Un Dieu n'est par définition pas compréhensible ni présent parmi les êtres qu'il dirige... or la simple idée que de m'imaginer distant de vous autres et incapable de pouvoir goûter fraîchement à toute votre souffrance... m’écœure. Je passe un si agréable moment parmi vous que pour rien au monde je n'échangerai ma douloureuse place avec celle d'un Dieu... oh non...
Le regard de la créature se tourne alors vers Lyra quittant l'Assemblée... et commence à sourire.
Et pourtant, c'est exactement ce que vous subissez, vos décisions n'ont jamais été libre... comme celle d'aujourd'hui. Douloureusement suc-cu-lent. Les seuls choix qu'impose un Seigneur sont ceux qui sont douloureusement méconnus de leur victime...  et quand je vois votre douloureuse réaction, je ne peux m'empêcher de me demander... ne représenteriez-vous pas parfaitement l'image de cette odieuse Galaxie en dédaignant une vérité que vous niez ? Ce qui devra arriver arrivera. Mais ne croyez pas un seul douloureux instant que j'en serai surpris.
Car je sais.
Le cruel sillon a déjà été tracé depuis longtemps... et tous ne font que le suivre... comme prévu.
Le terrible regard se tourna vers Ylios.
Et vous n'échappez douloureusement pas à la règle. Inutile de me prévenir de ce dont je suis déjà odieusement au courant. Bien sûr que rien n'est immuable. Et bien sûr que tout finira par changer un douloureux jour... mais vous serrez assez stupide pour croire que vous y êtes pour quelque chose... minable... je ne croyais pas la vermine si prétentieuse de nos jours. Pour la peine, vous vous tairez quelques cycles... cela ne changera pas grand chose à votre couleur politique... n'est ce pas ?
Le Seigneur affiche maintenant son sourire à pleine dent à ses deux derniers interlocuteurs.
Inutile que vous me croyiez odieusement... quelqu'un dans cette douloureuse Galaxie est cruellement au courant, et sait que ces douloureux mots expriment une cruelle vérité que tous ignorent... et préféreront toujours ignorer, plutôt que d'admettre combien j'ai douloureusement raison. Quoi qu'il en soit, permettez moi d'odieusement terminer, car je n'ai plus besoin de mener ce petit jeu là...
... je laisserai à cette Galaxie en tirer la conclusion qu'elle voudra... car cela n'y changera maintenant plus rien...
Alderak continue d'afficher ce sourire monstrueux et entier alors qu'il donne les murmures suivants...
Il est douloureusement temps que je retourne dans l'ombre, et me débarrasse de cette horrible Capitale... pour laisser cette odieuse Galaxie aller là où elle doit cruellement aller. De même, les Seigneurs renonceront vraisemblablement à leurs cruautés dans la majorité des secteurs, quittant ces derniers pour douloureusement vous y laisser... libre... vous savez, ce cruel concept depuis longtemps oublié.
Ma prochaine et dernière annonce avant de retourner dans l'ombre... concernera le sujet du cruel lègue de la Capitale... cette cruelle Galaxie mérite bien de recouvrer son douloureux dû... n'est ce pas là ce qu'elle demande... ou demandera ?
... et... celui-ci reste. Plus longtemps que prévu... 
Après tout, il serait vraiment douloureusement étonnant que je devine la suite... n'est ce pas ?
Car il ne part plus. L'infâme ricanement suit.
Douloureuse Galaxie, merci d'avoir participé à mon odieux jeu... malgré vous. Une page se tourne, mais l'histoire continue... et nous verrons bien si vous serez douloureusement assez intelligent pour deviner... laquelle...
Les ombres se dissipent... et le regard du Seigneur disparaît alors alors dans les ténèbres qui se retirent de la pièce.

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