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> Colère divine
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Cdt. Dieu
Respect diplomatique : 207 
23/01/1019 ETU 16:24 
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Score : 2
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 Ce message a été supprimé durant la partie.A l'horizon, de puissants flashs blancs illuminent les cieux. pppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppp Au loin, un roulement sourd. ppppppppppppppppppppppppppppppoooooooooooooooooooo Le tonnerre ? Ou plutôt, une voix grave et puissante criant du lointain. oooooooooooooooooooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuu D'une trombe violente, le vent se joignit au cœur... uuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuullllllllllllllllllllllllllllllllllll ...bientôt rejoint par une pluie noire d'obsidienne... llllllllllllllllllllllllllllllllllllllllpppppppppppppppppppppppp ...puis tout s'assombrit. ppppppppppppppppppppyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy Et vint le silence.
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Cdt. Dieu
Respect diplomatique : 207
23/01/1019 ETU 17:52
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Score : 5
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A l'horizon, de puissants flashs blancs illuminent les cieux. pppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppp Au loin, un roulement sourd. ppppppppppppppppppppppppppppppoooooooooooooooooooo Le tonnerre ? Ou plutôt, une voix grave et puissante criant du lointain. oooooooooooooooooooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuu D'une trombe violente, le vent se joignit au chœur... uuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuullllllllllllllllllllllllllllllllllll ...bientôt rejoint par une pluie noire d'obsidienne... llllllllllllllllllllllllllllllllllllllllpppppppppppppppppppppppp ...puis tout s'assombrit. ppppppppppppppppppppyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy Et vint le silence.
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Cdt. Poulpy
Respect diplomatique : 48 
23/01/1019 ETU 20:28 |
Score : 5
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Du fin fond du secteur 25, on entendit raisonner le son de l'orage. Des flashs lumineux traversaient le ciel, un murmure ce changea en grondement et on y entendit clairement un nom ,"Poulpy" ! Le calme retomba aussi vite qu'il était parti. Un silence pesant s'installa dans la nuit. Que venait-il de se passer ? Commandant, commandant ! Un petit homme hors d'haleine apparue à l'encolure d'une porte. Il transpirait à grosse goutte et peinait à reprendre son souffle. Il se tenait les genoux, recroquevillé sur lui même. Il se releva, le visage sombre, les yeux rouges et tremblant de peur. Commandant ! Le ciel, Dieu ! Vous avez entendu ?!? Calme toi Roger, reprend ton souffle. Evidemment j'ai entendu, qui ne l'a pas entendu... Cette voix venait du fond de la pièce. On pouvait y apercevoir un petit nuage qui se tenait la, dans l'obscurité. Aucun signe ne pouvait trahir ce à quoi le commandant pensait ou ressentait. Mais tous cela ne présageait rien de bon. Calme ?!? Comment je pourrais être calme ! Il vient pour vous ! Qu'avez vous fait pour déclencher une telle colère ? Mon crime Roger ? C'est simple, je vis ! Et je dirais même, je vis comme je l'entends ! Ce doit être le fait que je sois libre, libre de son emprise, libre de cette prison de chaire qui doit déclencher sa colère. Qu'importe les esclaves, les commandants, ou même les dieux, je suis le seul maître de mon destin ! Alors je le crie haut et fort, si tu m'entend, dieu, sache que je t'attends ! Réglons nos comptes, je ne te crains pas ! Je ne crains rien ni personne !
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Cdt. Dieu
Respect diplomatique : 207
24/01/1019 ETU 11:03
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Message édité -
Score : 6
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Dieu apparut à la vue de tous, figure majestueuse surplombant l'univers. Impassible, la déité pointa un doigt inquisiteur sur une galaxie. L'espace se mit à défiler, traversant nébuleuses et constellations. Alternativement aveuglé par l'éclat d'un quasar et perdu dans les ténèbres d'un trou noir, votre vision finit par se porter sur un petit amas stellaire familier. Aux étoiles se substituèrent des planètes, innombrables, toutes arborant les couleurs d'un empire uni. Aux planètes se substituèrent des yeux, ceux d'un peuple qui s'est oublié dans la routine du quotidien. Heureux néanmoins, l'individualité noyée dans un royaume de milliers de milliards d'êtres, écrasés par un système toujours plus lourd, comme croulant sous le poids des mondes sous sa coupe. Un empire stable... anormalement stable... Un claquement de doigt retentit, un sourire plein de mallice se dessina. L'ordre est rétabli.
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Cdt. Guzim de Glorantha
Respect diplomatique : 23 
25/01/1019 ETU 13:26 |
Score : 4
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Les vitres du palais de Pavis, la ville capitale de Glorantha où réside Guzim, tremblent de l'assourdissante colère de Dieu. Les prêtres des diverses religions courent dans tous les sens, prient et implorent leurs propres déités de leur venir en aide. Guzim regarde toute cette agitation d'un oeil inquiet. Entre son général Uz, du nom de Tzane, et son prêtre Darserian le Droit, vénérant le Dieu Issaries, Guzim est tiraillé entre augmenter les productions de bombardiers et de chasseurs, et faire une vaste campagne de sacrifices humains pour apaiser le tonitruant Dieu. Finalement, malgré la peur qu'il ressent, Guzim se redresse, - Non, nous ne nous préparons pas à la guerre, ni à la soumission. J'ordonne qu'on envoie un message de paix à Dieu et que nous priions pour qu'il passe son chemin sans nous éclabousser de sa puissance au passage.
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Cdte. Lyra
Respect diplomatique : 459 
25/01/1019 ETU 16:11
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Message édité -
Score : 3
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C'était plutôt une belle journée, le ciel était clair et dégagé. Installée à son bureau, Lyra était plongée dans ses dossiers lorsque la luminosité de la pièce baissa brutalement. Intriguée, elle leva les yeux pour apercevoir un paysage métamorphosé derrière sa baie vitrée. En quelques secondes, le ciel se couvrit de lourds nuages noirs, des éclairs déchirèrent l'obscurité et une pluie battante s'abattit sur les vitres. Ajay, son animus loup, renversa la tête en arrière et hurla, joignant sa voix aux rugissements lugubres du vent qui s'était levé avec force. Les sourcils froncés, Lyra se leva et se rapprocha de la baie vitrée. C'est alors qu'elle entendit sa voix. C'est alors qu'elle comprit ce qui était en train de se passer. Bouche bée, elle contempla la vision qui était apparue dans le ciel. Et qui s'évanouit aussi vite qu'elle était apparue, ne laissant derrière elle qu'un profond silence. Encore sonnée par la scène à laquelle elle venait d'assister, Lyra resta encore immobile et silencieuse quelques instants. Puis, reprenant ses esprits, elle fit volte face et retourna à son bureau. Elle le contourna pour venir s'y rasseoir, tendit la main vers le bouton de l'interphone qui la reliait à son assistante et attendit que celle ci décroche. " Vous voulez bien prévenir les membres du conseil restreint ? Je leur dois quelques explications sur ce qu'il vient de se passer... Vous voulez bien arrêter de pleurer ? Mais non, nous n'allons pas tout mourir... oui... non, promis, il n'y a aucun danger. Lyra leva les yeux au ciel. C'est ça, faites donc une prière. Oui, au cas où. Très bien. Et maintenant prévenez-les tous, je les veux dans mon bureau dans 10 minutes. " Lyra relâcha le bouton et se laissa tomber contre le dossier de son fauteuil. Elle joignit pensivement ses mains par le bout des doigts. Et attendit. L'ai parfaitement serein, rien ne trahissait ses pensées. A part... un petit sourire satisfait... qui était apparu au coin de ses lèvres. Et qui s'étirait de plus en plus largement.
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Cdt. Olorìn...
Respect diplomatique : 599 
26/01/1019 ETU 01:54 |
Score : 3
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Ruby prenait sa douche lorsque Dieu fit son apparition. Et tandis que Poulpy lui répondait, que Guzim priait ardemment pour qu'il ne lui arrive rien et que la commandante Lyra faisait venir son conseil restreint, la jeune femme sortit ruisselante de sa salle de bains au bruit effroyable que les vitres firent. Ses jambes fuselées la menèrent par la demeure qu'elle habitait pour le moment, passant de pièce en pièce, ne jetant qu'un bref regard dans chacune d'elle. Lorsqu'enfin, ses yeux mauves se posèrent sur sa raison de vivre, sa bien aimée qui fôlatrait avec son chat sur le lit conjugal, elle poussa un soupir de soulagement. Elle lui adressa un regard attendri, attrapa un peignoir d'un geste leste, et descendit au rez-de-chaussée. Elle se dirigea droit vers la porte d'entrée. Une fois sortie, elle explora les alentours, fit mentalement l'inventaire des dégâts au sein de leur douillette propriété, mais ne parvint pas à mettre un nom sur la chose qui avait pu provoquer de tels dégâts. Elle s'apprêtait à rentrer lorsqu'elle prit conscience de la baisse soudaine de luminosité. Elle pensa alors à lever enfin les yeux. Elle resta interdite un court instant, la bouche légèrement ouverte, devant le spectacle qui s'offrait à elle. Dieu en personne, pointant du doigt un endroit qu'elle ne distinguait pas. Elle se cala alors sur ses deux pieds, posa les mains sur ses hanches et se mit à l'invectiver. "Alors c'est toi qui fout tout ce bordel ?!! Pourquoi j'suis pas surprise, hein ? D'toute façon, dès qu'tu t'pointes, faut qu'y ait des calamités ou autres bizarreries. En plus la dernière fois qu'on s'est parlé, tu m'as même pas rendu mon peigne. Alors faudrait p'têt' y penser maintenant. Et fissa, parce que j'ai pas toute la nuit." Mais cela ne sembla pas impressionner Dieu outre mesure, celui-ci ne se retournant même pas et ne lui prêtant visiblement aucune attention. Elle décida de se signaler autrement. Et émit un long sifflement. Et y mit toute la puissance qu'elle put. Cela ne suffisant apparemment pas à ses yeux, elle ajouta encore : "Oh !! Fait pas semblant de pas m'entendre, hein. Faut pas m'prendre pour une cruche. 'fin, pas plus que je ne le suis, steuplait." Devant l'absence de réaction, elle ajouta... Euh... Elle ajouta... Nan, ben rien, en fait. Parce que quand Dieu vociféra, elle était même pas dans la bonne galaxie. Donc, elle a rien entendu. Pis elle était en train de se laver les cheveux, donc même si y avait eu un petit écho, elle aurait pas pu entendre. Non, pis c'est ridicule, il n'y a pas d'étage dans la demeure d'Harley. Bon, disons qu'elle prenait sa douche et puis point. On va dire que j'ai rien dit. Je vous laisse discuter entre vous.
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Cdt. IstalrI
Respect diplomatique : 277 
26/01/1019 ETU 16:50
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Message édité -
Score : 3
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Le commandant IstalrI méditait, les pieds joint, les mains sur son genoux, le dos parfaitement droit. Quand il commença a entendre tout ce joyeux bordel, il ouvrit simplement les yeux. Et, sourit. Un sourire qui semblait petit, avant de s'étirer sur pratiquement toutes la largeur de son visage. Silencieusement, il écouta le long nom que Dieu annonçait. Qu'avais donc fait ce cher Poulpy pour mériter une fessée...Divine, oui, c'est le mot. Une fessée qui se solderais probablement par la mort. Lentement, IstalrI sort un petit appareil, et le place non-loin de sa bouche : " Mes doutes était donc fondé. J'avais raison. Il est temps de savoir si j'ai raison sur la deuxième partie de mon raisonnement, où découlera la troisième." Puis, il rangea cet étrange appareil. Soupira. La séance méditation allais attendre...Il se leva, et, en sortant, il dit a un secrétaire qui attendait ses ordres, assis confortablement : " Que toutes la population se réunisse a la place publique. Si vous n'avez pas assez de place, activez les Holo-Transmetteurs. Il faut que toutes la population sache. Il lève les yeux au ciel, semble regarder loin...Très loin... " C'est pour très bientôt. Commencez les préparatifs." Tandis que le secrétaire partait, IstalrI ne bougeait pas. Il continua plus bas : " Il serait peut-être temps que je La revoit..."
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Cdt. Poulpy
Respect diplomatique : 48
01/02/1019 ETU 19:40 |
Score : 3
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Commandant, les insurrections continues ! Nous avons déjà perdu énormément. Pourtant plus aucun signe de celui qui se fait appeler "dieu". Depuis sa petite mise en scène, ses chiens ont peurs ! Alors qu'il n'est rien, il l'a démontré, il a beau être dans la démesure, il n'a rien fait d'autre que rugir. Que le peuple peut être stupide et lâche... Envoyez les kamikazes leurs montrer qu'il n'y a aucune indépendance possible, soit ils sont avec moi, soit ils disparaîtrons. Commandant, ne faites pas cela... Ils ont juste peur, et surement à juste titre d’ailleurs. Vous... Un grondement se fit entendre ce qui coupa Roger dans sa phrase. Le bruit était sourd. Le nuage était devenu gris, non, noir. Tellement menaçant que Roger se figea n'osant plus bouger. Les ordres étaient les ordres... Poulpy avait changer depuis quelques cycles, plus radical, plus noir. Et cela empirait, peu à peu il s’engouffrait dans les ténèbres. Quand le calme retomba, Roger s'inclina légèrement, et partie précipitamment de la pièce. Il est de plus en plus instable, et la situation n'arrange rien... Qu'allons nous devenir ? Les manufactures, en stand-by depuis longtemps, se remirent en marche. Des vaisseaux en sortaient par millions. L'heure n'était plus à la léthargie, toute sagesse, aussi minime fût elle, avait disparue. Voici donc venir le temps de la folie et de la guerre.
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