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Naissance, exil, pouvoir...

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Cdt. Mediagarde
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05/07/1019 ETU 14:42
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RP privé, merci de ne pas intervenir :
Un jour, pendant un orage, la reine n°396 025 836 pondit un œuf des plus bizarres, énorme par rapport aux autres, on cru qu'il avait subit une malformation et qu'il allait pourrir.
Mais deux jours plus tard, il se transforma en larve ce qu'il y a de plus anormal car normalement, cela prend 15 jours.
Elle grossissait à vu d’œil, et sans qu'on la nourrisse !
3 autres jours passèrent et elle se transforma en cocon.
On la plaça alors dans la salle sacré, là où les événements des plus importants de déroulaient.
La colonie était impatiente, certain disait qu'il allait être un grand soldat, d'autre, une princesse ou encore, un héros.
10, puis 15, puis 30 jours s'écoulèrent sans qu'il se passe quelque chose. Tout l'espoir qu'on avait donné en ce cocon était maintenant des plus moindre. Et on finit par le jeter au dépotoir.
8 jours et 8 nuits, 1 orage et 2 tempêtes de grêles passèrent. Et, le cocon, contre toute attente, s'ouvrit enfin. Il laissa alors entrevoir... une petite et fébrile fourmi. Encore plus infime que la moyenne.
Celle-ci fit alors un pas vers une autre ouvrière. Cette ouvrière en fit deux en arrière. Elle se retourna vers un groupe d'artilleuse, celui-ci déguerpi.
Elle se sentit seule, désarçonnée, et dénudée. Elle se rendit compte aussi que ce n'était pas elle, mais il.
Ainsi, il se renomma Mediagarde. Et il partit alors en exil, loin du territoire de la colonie, pour affronter les pires dangers et revenir plus grand, plus fort et surtout, pour assouvir sa vengeance.
Il découvrit, dans la forêt, une fourmi semblable à lui, une fourmi faible, que tous le monde ignorait et fuyait à cause de sa laideur. Et qui elle aussi, partit en exil pour revenir plus puissant. Et elle réussit, elle a même détrônée le commandant au pouvoir à cette époque. Elle se fit alors nommée Scarmouche. Mediagarde pensa alors de suivre son exemple, et il partit affronter les plus grands dangers, jusqu'au tout puissant, l'humain.
Mais pour commencer, il devait trouver un abri pour la nuit... des prédateurs rôdent et il n'avait aucune expérience pour les défier...
Soudain, le sol se mit à se dérober sous lui, puis, il sentit une matière molle sous ces pieds... Ce n'était qu'un vers qui ne cherchait juste qu'à remonter à la surface.
Il prit ce vers pour une occasion inespéré... il attendit qu'il sorte entièrement de son tunnel pour s'enfoncer dans la caverne.
Il faisait noir, très noir, mais au moins, il sera à l'abri pour la nuit et il commença donc à tasser un peu la terre pour se faire comme un semblant de lit. Et il s'endormit.
Au petit matin, il sentit que des antennes le tâtaient. Il regarda et il vit un pince-oreille géant ! Il sursauta et il essaya de se montrer impressionnant face à l'adversaire.
Le pince-oreille avait du lui aussi chercher un abri pour la nuit... et il ne fut nullement impressionner par cette insecte se gigotant et se tortillant dans tout les sens, mais n'étant pas un guerrier, le pince-oreille fit demi-tour et ressortit de la caverne.
Mediagarde, satisfait de sa soi-disant victoire, sentit comme un gargouillement dans son estomac... il avait faim, et il allait devoir chasser.
Il sortit et la lumière du soleil l'éblouit... mais sa douce chaleur l'emplit jusque dans le centre de son cœur. Il vivait un moment de bonheur unique.
Mais, au lieu de se satisfaire, son estomac gargouilla encore plus fort et pressa Mediagarde de se nourrir.
Il vit une belle marguerite ou était installé un troupeau de puceron... il grimpa dessus et alla déguster le délicieux miellat. 
Il sentit ce doux liquide traverser à un à ses boyaux pour aller satisfaire son estomac. Il profita même de cet instant pour le prolonger en remplissant son jabot-social...
La vigueur et la bonne humeur envahit tout par un coup Mediagarde, elle il se dit tout au tout fort "C'est pas si dur que ça l'exil !!!" . Bête erreur, une araignée sauteuse capta son message phéromonal et alla tout doucement à côté de la fleur sans se faire voir, puis, dans un moment de distraction, elle sauta sur Mediagarde !
Celui-ci était soul à cause du miellat trop concentré en sucre et ne vit rien venir.
Au même instant, un bourdonnement énorme se fit entendre et une lucarne fonça droit sur l'araignée et la projeta au seul durement. Un court combat s'engagea et se finissa par la fuite de l'araignée.
La lucarne, dirigea un regard presque attristé à la vue de la fourmi complètement soul... il alla la recueillir dans ces mandibules et il se posa plus loin sur un arbre. A sa grande surprise, la fourmi ne se débattait pas. Elle s'était en fait endormi... 
Plus tard, au milieu de l'après-midi, Mediagarde se réveilla sur un lit en mousse. Il avait la gueule de bois et il vit une bête énorme le surveiller. Il se dit "Mon dieu, elle attend le moment opportun pour me dévorer ?!
Elle s'approcha et se présenta :
-Bonjour, petite fourmi, je suis lilmée, la lucarne. Je t'ai sauvé d'une mort certaine pendant que tu te soûlais sur ta pauvre marguerite.
-Bonjour lilmée, mais, où suis-je ???
-Tu es chez-moi... dans ma modeste maison... j'espère qu'elle te conviendra mais il faudra que tu partes, son propriétaire est une autre lucarne bien moins accueillante que moi...
-Je te remercie pour ton aide, lilmée, et si jamais je te rencontre à nouveau, tu auras une maison de luxe !
Mediagarde se releva, salua la lucarne, et repartit à l'aventure.
Il faisait presque nuit, et Mediagarde n'avait pas trouvé d'abri... Et pour ne pas rassurer le tout, des brindilles ne cessaient de craquer autour de lui, une dizaine d'individus devaient le suivre et attendaient le bon moment pour attaquer...
Mediagarde ne pourrait se défendre, il accéléra donc le pas mais un coup derrière la tête l'assomma... Puis, on le traîna dans un ancien trou de souris...
Le matin, Medagarde se réveilla avec autour de lui 1 guêpe, 2 abeilles, 3 fourmis, 1 araignée, 2 scarabées et 4 pinces-oreilles... Il les regarda ainsi que eux le regardaient... 
-Vous... vous... vous allez me dévorer ? demanda apeuré Mediagarde ?
Toute la troupe éclata de rire. Au plus grand désarrois de Mediagarde.
-Tous les mêmes !!! dit une abeille.
-Et un repas, un ! se moqua un pince-oreille
Tout se calma, et Mediagarde demanda alors :
-Que voulez-vous de moi ?
Une fourmi s'avança, elle devait être à son allure la chef de la troupe... Grande et musclée... tous ce qui manquaient à Mediagarde.
-Nous ne voulons rien, simplement toi dans notre mini-armée...
-Une armée ???
-Oui, enfin non... on est en fait tous des exilés et en formant une alliance entre espèce, nous réussissons à survivre. Si on t'avait pas récupéré hier soir, quelqu'un d'autre l'aurait fais mais il n'allait certainement pas te maintenir en vie...
-Je vous dois donc la vie... je rejoins votre troupe mais je serai plus un boulet qu'autre chose...
-T'inquiète, on t'apprendra tous les rudiments de la survie.
Mediagarde se releva, et rejoignit la troupe qui commençait à partir pour chasser de la nourriture.
A un moment, on vit une lucarne au sol... La fourmi chef dit à Mediagarde :
-Grimpe sur cet branche et observe notre plan d'action...
Mediagarde fit ce qu'on lui demanda et il grimpa sur la branche.
La troupe commença à encercler la lucarne qui ne se doutait de rien. Les abeilles et la guêpes s'envolèrent, prêtes à l'attaque...
La chef fourmi allait abaisser son bras quand Mediagarde reconnu lilmée ! Il tomba de sa branche et alla se mettre à côté de lilmée.
-Stop !!! Arrêtez tout, cette lucarne m'a sauvé la vie ! Ne la touchez pas s'il vous plaît !!!
La lucarne se retourna et reconnu Mediagarde, il lui avait sauvé la vie, ils s'étaient rendu l'appareil...
Les deux amis s'entrelacèrent sous l’œil incrédule de la troupe.
Au bout s'une longue minute de calîns, Mediagarde demanda :
-Mais pourquoi t'es pas chez toi lilmée ?
-Hier, le propriétaire m'a viré de l'appartement, il avait détecté tes traces phérémonales et m'a accusé de t'avoir accueilli pour le tuer...
-Mais, c'est complètement stupide !!!
-Je sais... Je sais... en attendant, je suis SDF...
-Tu ne l'es plus maintenant !!! Si tu acceptes notre demande d'alliance, nous t'offriront abri et nourriture. cria la chef
Lilmée regarda Mediagarde qui lui, acquiesça pour lui dire qu'il n'y avait pas de piège et la lucarne accepta.
-Parfait !!! Mais bon, un allié remplit pas nos estomacs, repartons à la chasse, tu sais chassé lilmée ?
-Oui, un peu...
-Très bien, tu feras partie donc de la troupe aérienne ! Il t'expliqueront tout !
-Très bien...
Et la troupe repartit alors à la chasse.
Cette fois, il tombèrent sur une grosse araignée, Mediagarde remonta sur une branche d'arbre et observa l'attaque.
Quand le bras de la chef s'abaissa, les deux scarabées se mirent en boules et foncèrent sur l'araignée. Sous l'effet du choc, l'araignée tomba sur le dos.
A ce moment, les troupes aériennes foncèrent droit sur l'araignée et la guêpe et les 2 abeilles plantèrent leurs dards. Elles se retirèrent et lilmée envoya envoler au loin l'araignée.
Celle-ci était maintenant prête à ce défendre. Mais les 4 pinces-oreilles ouvrirent leurs pinces et comme pour les serpents, coincèrent la tête de l'araignée au sol. Ainsi, elle se pourrai se battre convenablement.
C'était maintenant au tour de l'araignée de jouer, elle grimpa sur le postérieur se l'autre et lui planta ses crochets dans celui-ci. Elle injecta alors un lourd ramollissant des chaires.
L'araignée tenta alors de s'échapper et poussa très fort en arrière avec ses pattes. Mais, les fourmis, lui coupèrent une à une ses pattes.
Le venin des guêpes et abeilles ainsi que le ramollissant des chaires de l'araignée firent leurs effets et elle succomba.
Mediagarde était abasourdis par cette rapidité d'action... il n'avait jamais vu ça ! Mediagarde redescendit de l'arbre et alla applaudir la troupe.  
-Tu as compris ? Ton rôle sera le même que pour nous trois, tu seras coupeurs de pattes.
-Très bien mais quand c'est des unités volantes, comment faisons nous ?
-Eh bien, nous avons le premier rôle, on court immobilisé l'adversaire, les abeilles prennent chacun un scarabée et elles les lâchent sur l'adversaire afin de l'écraser.
En attendant, à table !!!
Tout le monde sauta sur l'araignée et la dévora en un rien de temps.
-Mais vous les abeilles, vous n'avez pas le même régime alimentaire que nous ???
-On c'est habitué, t'inquiète !
-Et pour vos dards, comment faîtes vous pour ne pas les perdre lors de piqûres ?
-On a suivi la méthode des guêpes, on les a limés afin qu'ils soient lisses pour pouvoir piquer plusieurs fois.
-Intéressant...
Et ainsi, pendant 2 ans et demi, Mediagarde gagna en expérience et commença à prendre confiance.
Un jour, Mediagarde se sentit assez bon pour pouvoir affronter un humain, mais pour ça, il devait se renforcer mentalement et physiquement.
Il quitta la troupe qui était attristé de son départ et partit à la rencontre d'un mage mystérieux dont tout le monde parle, mais pour avoir ces services, il faut passer une épreuve éprouvante.
Arrivé vers l'antre du mage, il toqua à la porte. Il entendit un "Entreeeez !" Et il la poussa.
Ce qu'il vit à l'intérieur, c'était un cloporte en train de boire du thé au miel.
-Bienvenu cher Mediagarde.
-Mais, comment connaissez vous mon nom ?
-Je sais tout sur toi, tout sur les épreuves que tu as pu affronter, et je sais ce que tu veux. Tu veux un breuvage pour renforcer ta carapace pour qu'elle soit aussi solide que du métal. Un verre de thé ? Un petit biscuit ?
-Euhhh, non merci.
Maintenant que tout est dit, que dois-je faire pour l'obtenir ?
-Rapporte moi une plume de faisan. Mais pas n'importe laquelle, et pas à n'importe quel moment ! Il faudra que tu prennes sa plus longue plume entre minuit et 1 heure du matin.
-Très bien. Si c'est juste ça...
-Et il faut que tu me la rapportes dans 1 jour, il y a une ferme non loin d'ici, elle c'est justement un élevage de faisan. Tu prendras le plus beau de tous !
Mediagarde avala sa salive... il était juste midi et il y avait au moins 12 heures de marche pour atteindre cette ferme...
Il sortit dehors et réfléchit alors longuement pour savoir comment il pourrait être dans les temps... 
Soudain, il entendit un appel à l'aide et accouru vers l'individu l'émettant.
C'était une jeune mouche entouré d'au moins 5 araignées, elle ne pouvait décoller car ses ailes étaient liées par la toile de ces attaquantes.
Mediagarde alla alors la défendre et s'interposa entre la mouche et les araignées affamées.
-Laisse nous passer ! cria une araignée Si tu ne veux pas connaître le même sort que la mouche !!!
-Jamais !!! Vous devrez me passer sur le corps !!!
-Soit...
Les araignées entourèrent alors Mediagarde. L'une avait tissée un lasso et les autres tapaient des pattes pour impressionner Mediagarde.
L'araignée lança le lasso et ligota Mediagarde. Il était prit au piège, et ainsi, un peu comme un bourreau, une araignée s'approcha lentement sous l'encouragement des autres pour lui injecter un puissant venin.
Les crochets de l'araignée n'était plus qu'à 1cm de la tête de Mediagarde, l'araignée fit exprès de suspendre ce doux moment pour le plaisir.
Mediagarde vit sa mort proche et il ne voulait mourir ainsi, mais, dans un mouvement incontrôlable, son abdomen se contracta et laissa échapper son premier tir d'acide déjà assez puissant, concentré à 30%. Il transperça l’araignée qui mourra dans un râle roque.
Mediagarde coupa alors son lasso et fit face aux autres araignées... Elles étaient abasourdies par le fait que leur copine soit morte comme ça.
Mediagarde voulut tenter un coup de bluff, il n'était pas assez entraîné pour faire un tir d'acide précis. Il cria alors :
-A qui le tour ?!
Les araignées partirent en courant.
Mediagarde laissa échapper un soupir de soulagement, il se retourna vers la mouche qui elle, n'arrêtait pas de lui dire "Je te dois la vie, mon héros !!!"
Mediagarde libéra les ailes de la mouche et profita de cette occasion pour lui demander :
Puis-je t'engager dans un tout petit service ?
Une petite discussion commença.
La nuit tombé, Mediagarde se dirigeait à vive allure vers la ferme, ou plutôt, la mouche. Car le contrat était que la mouche emmène et ramène Mediagarde.
Arrivé au-dessus de la ferme, Mediagarde observa les faisans et commença à choisir le plus beau.
Sauf qu'un guêpier les a repérer et une course-poursuite s'engagea.
La mouche chercha alors le moyen de s'en débarrassé rapidement, sans avertissement, elle fonça dans les hautes herbes et tenta de semer l'oiseau.
Mais celui-ci ne les perdit de vue nullement et continua à les pourchasser.
La mouche s'enfonça alors dans la forêt. Et grimpa au niveau des hautes branches des arbres et slaloma entre elles. Mais le guêpier lui, réussissait malgré sa grande taille toute les esquives et la mouche s’essoufflant, il commençait à les rattraper. 
Mediagarde devait intervenir... il décida de se retourner et de viser le guêpier avec son tir d'acide dans le nez ou l’œil...
Premier tir : Pile à côté
Deuxième tirs : Idem
Troisième tirs : Idem
Quatrième tirs : Sur le dessus de la tête
Cinquième tirs : Pile à côté
Sixième tirs : Sur une aile
Septième tirs : Dans un œil !!!
Mediagarde avait réussi, le tir avait déconcentré l'oiseau et il se cogna brutalement contre une grosse branche, il fut assommer aussitôt.
Fier de sa victoire, il regarda l'heure qu'il était et il vit qu'il était déjà minuit !!! Le temps presse !!!
Ils retournèrent alors vers la ferme et Mediagarde repéra le plus beau des faisans, il était entouré de plein d'autres individus et l'accès allait donc être difficile.
La mouche, ne pouvant faire du vol stationnaire, tourna autours du faisan et Mediagarde s'apprêta à sauter sur lui.
Il sauta, mais le faisan avait choisit ce moment pour ce décalé et Mediagarde qui croyait réussi une chute héroïque s'écrasa comme une bouse sur le sol.
Les autres faisans, l'ayant repérer, commençait à piquer autours de lui.
Mediagarde dut s'empresser avant de finir dans l'estomac d'un de ces oiseaux, et il monta tout en esquivant les coups de becs sur le plus beau des faisans.
Il était 00 : 45, il fallait couper la plume et au plus vite.  
Arriver vers l'arrière train, il commença à entailler la plume, mais, le faisan ayant manger des grains d'haricots il y a 1h, lâcha un fumet étouffant.
Mediagarde devait se dépêcher si il ne voulait pas mourir étouffé. Et il envoya un jet d'acide pour sectionner en plein la plume.
Ceci étant fait dans les temps, il attendit la mouche mais elle ne vint pas... Mediagarde découvrit son cadavre un peu plus loin sur le corps du faisan... elle était morte étouffée...
Comment maintenant rejoindre l'antre du mage dans les temps et sans ce faire dévoré.
Soudain, des pouillons s'approchèrent de Mediagarde, et, ils demandèrent : 
-C'est un joli cadavre que vous avez là, en échange de services, pouvons-nous le dévorer ?
Mediagarde eu une idée de génie, il accepta l'offre des pouillons et leurs demandèrent si ils pouvaient le transporter hors du parc.
Chose dîtes, chose faîtes, et Medigarde fut transporté lui et sa plume par "pouillons express".
Arrivez loin du parc, il remercia les pouillons et s'empressa de rejoindre l'antre du mage, mais avec sa plume, il est bien plus embêté et bien plus alourdis... 
Il était 11h00 du matin, et Mediagarde arriva à grande peine chez le mage.
-Je l'ai apporté votre plume, mon breuvage maintenant s'il vous plaît !
-Bravo, jeune homme, peu de gens ont réussit l'épreuve. Vous l'avez bien mérité !
Le mage donna donc une bouteille avec un liquide jaunâtre à l'intérieur.
-Bois ça ! En prime du renforcement de ton armure, tu seras plus fort mentalement et physiquement !
Mediagarde avala d'une gorgée le liquide.
Son estomac commença à gargouiller, puis, il fut pris de convulsions et une douleur vive se fit sentir vers le thorax.
Ils se tortilla de douleur sur le plancher du mage. Il pensa alors que c'était un piège et qu'il allait mourir...
Mais, après 3 longues minutes de torture, il put se relever et il se sentit en pleine forme, comme si rien ne s'était passé.
-Ohhh...
Le mage tomba en arrière, sa carapace grise devint noir puis blanche, il était en état de transe.
-Mediagarde, je détecte en vous un grand pouvoir ! dit-il dans une voix caverneuse Mais il va vous falloir faire un grand combat pour qu'il se révèle !
Le cloporte se réveilla, il ne souvient plus de ce qu'il a dit.
Mediagarde salua le mage et s'empressa de quitter son antre. Il réfléchit sur la déclaration du mage. Un grand pouvoir ? Un grand combat ? Peut-être étais-ce contre un humain que son pouvoir se révélera...
Il décida alors d'aller affronter le fermier s'occupant des volailles.
Il marcha, il marcha, longuement, mais il marcha. 
Il vit enfin la ferme. Le fermier devait être à l'intérieur.
La porte de la ferme était fermé, Mediagarde rentra par la serrure et poussa la clé qui était à l'intérieur... Il voulait attirer l'attention du fermier.
Chose réussite, il vit le fermier et engagea le combat.
Il piqua sur la jambe le fermier mais celui-ci le renvoya plus loin et il allait l'écraser sur le carrelage.
Mediagarde vit sa vie défiler, il se dit que c'était trop bête de mourir ainsi.
Puis, tout un coup, le temps ralentit, ralentit, ralentit... jusqu'à atteindre qu'un millième de seconde devient 1 minute.
Le subconscient de Mediagarde se sépara de son corps et rentra en contact avec celui du fermier.
Tout était blanc. Mediagarde vit le fermier et il se dit : 
-Si je pouvais être plus grand pour l'affronter...
Soudain, il grandit d'environ 15 mètres ! Il profita du moment de stupéfaction du fermier pour le grillé avec un jet d'acide.
Le subconscient étant mort, le fermier le fut aussi.
Mediagarde réintégra brutalement son corps et il vit le fermier à terre, mort...
Il avait gagné son combat, mais culpabilisa pour les bêtes du fermier. 
En fait, Mediagarde ne le savait pas, il avait juste immobilisé le fermier pendant 24h.
Il se dit qu'il avait réussit l'étape d'exil, et qu'il allait pouvoir se venger.
Une longue marche fut entreprit afin d'aller exterminer le commandant de la colonie.
3 ans s'était écoulé, cette histoire de larve géante était maintenant révolu. Et on avait oublié ce Mediagarde.
Mais un jour, l'alerte général a été donné, la reine fut alors repliée dans les profondeurs de la fourmilière, tout en rebouchant les tunnels derrière elle.
L'ancien commandant, à la tête de la colonie déclara alors :
-Que ce passe t-il colonel !
-Un ennemi, un, s'est introduit dans le territoire sacré !
-Un seul !? Mais pourquoi avoir donné l'alerte général pour un seul ennemi ?
-Il a détruit la ronde qui passait à ce moment là. Soit 25 artilleries légères, 10 artilleries lourdes, 1 cavalerie, 1 cavalerie lourde, 20 tanks et 50 fantassins !
-Comment ?! Il fait quelle taille cet ennemi !?
-Pas plus grand que nous commandant !
Il était perplexe, ce commandant, mais il n'eut pas le temps de faire un rapport que dans le couloirs, un soldat cria : 
-Intrusion dans la tour Ouest !!!
-Mais, la tour Ouest, c'est la nôtre !
Cet ennemi n'était ni plus ni moins Mediagarde, il avançait, tuait, et déchiquetait chaque adversaire qu'il trouvait sur son passage. Ceux-là étaient moindre par rapport à ce qu'il a put affronter, mais ils restaient quand même dangereux.
Il passa dans une intersection mais un groupe de tanks lui barra la route. Il sauta par-dessus, atterrit non-loin d'eux, tira plusieurs jets d'acide, ce qui les carbonisa. Son acide était des plus puissants, concentré à presque 100 %. Il souffla sur le bout de son abdomen à la cow-boy et continua sa route.
Il arriva devant une sorte d'escalier. Celui-ci le mènera directement au plus haut de la tour, c'est-à-dire, la salle où le commandant en exercice se trouvait. Il grimpa mais il ne fit pas trois pas qu'un piège s'enclencha. Une pluie de dard s'abattit alors sur lui... mais rebondit sur sa carapace. Durant son exil, il apprit tout sur le moyen de se fortifier autant mentalement que physiquement, et sa carapace faisait parti de son apprentissage.
10 minutes plus tard, et 56 pièges, il arriva vers cette salle. Fermé et bouché par un gros caillou, bien sur. Mediagarde fit alors trois pas en arrière et fonça sur cette pierre tête baissée et l'éclata en mille morceaux. A l'intérieur, deux officiers, un colonel et le commandant. Les deux officiers tirèrent alors sur Mediagarde mais celui-ci esquiva et répondit par la même chose, mais sans les louper. Le colonel, lui opta pour du corps à corps. Il sauta sur Mediagarde et tenta de lui couper le pétiole.
Ce qu'il réussit à faire, c'est à ce rompre les mandibules dessus. Mediagarde rua et se dégagea de l'emprise du colonel, en une seconde, le colonel n'eut pas le temps de se remettre debout que Mediagarde lui trancha la gorge. Du sang translucide gicla alors sur ses mandibules.
Une véritable scène de mort ce dessina devant le commandant, mais contre toute attente, il applaudit... longuement.
-Pourquoi vous m'applaudissez !?
-Pourquoi je t'applaudis ? Parce que ce que tu viens de faire de toi un héros. Tu as réussi à mettre un quart de fourmilière en déroute. Tu mérites beaucoup. Plus que ce que je peux t'offrir.
-M'offrir quoi ?! Un verre de lait ?
-Oui, enfin, si tu veux, je peux t'offrir tout ce que tu veux, mais hélas, il y a un héros de trop parmi nous, et c'est toi !
Sais-tu qui je suis, je suis Scarmouche ! Le grand Scarmouche ! Personne ne le sait, mais bientôt, je serait à la tête de tout l'univers. Et tout ceci avec à ma tête une armée de corrompus, de rebelles et de mafieux, tout ce que la colonie à rejeté. Maintenant, ils sont sous mon contrôle et prêt à en découdre.
J'ai envoyé la majorité de l'armée royale dans une expédition périlleuse et j'ai trafiqué les pièges qui sont maintenant HS. Plus rien ne peut nous arrêter !
Mediagarde s'avança devant la fenêtre, et vit une grande armée crier "Scarmouche ! Scarmouche ! Scarmouche !...". Toutes ces fourmis portaient une armure, un bouclier et une lance qu'elles tapaient sur le sol pour faire un bruit assourdissant.
-Mais, hélas, je dois vous quittez... j'ai une bataille à gagner !
Scarmouche passa alors dans une trappe et disparut à l'intérieur de celle-ci. Dehors, on le vit sortir par un trou de la colonie dans un "plop", il atterrit au sol et se pressa de rejoindre un pic ressortant du sol. Arrivé sur celui-ci, un renégat lui enfila l'armure sacré, et une cape noir qui se dressait telle un drapeau.
-Mes compagnons, le moment est arrivé de montrer que faire des différences et un crime ! Le moment est venu de montrer que nous sommes pas plus faible que eux ! Le moment est venu de vaincre !!! A l'attaque !!! Et pas de pitié.
L'armée chargea et les faibles troupes présentes qui s'étaient rassemblées pour les stopper partirent en volées, et ce qui en restaient fuyèrent dans la fourmilière et tenta d'activer les pièges. Tous ce qui ce passa, c'est qu'une pluie de pierre s’abattit sur la fourmilière. En détruisant ainsi le dôme et une autre partie de l'armée.
-Héhéhéhéhé...
Maintenant, dégagez moi tout ça et trouvez une entrée !
L'armée de Scarmouche s'activa alors de déblayer ce champs de ruines.
Mediagarde, était du haut de sa tour, à la fois fasciné et horrifié de cette attaque éclair. Comment la colonie a put se faire diriger pendant des années par ce commandant sans rien soupçonner ?
Mais l'heure n'était pas aux questions, il fallait qu'il fasse un choix. Celui d'aller aider sa colonie ou celui de laisser cette armée détruire ce qui l'a rejeté.
La tour se mit à trembler, une cavalerie lourde se dégageait de la tour pour mieux charger.
Mediagarde se fit projeter sur un des mur et se fit assommer par une armoire. Pendant ce temps, la cavalerie lourde avait finit sa tâche et la tour s'écroula...
10 minutes plus tard, un champ de désastre s'offrait aux survivantx, au loin, une armée cherchait une entrée dans les ruines, tout semblait désespéré.
Puis, tout à coup, une patte sortit du sol, puis une autre, et 4 suivirent encore, et enfin, le reste du corps. Mediagarde était encore en vie !
Il regarda alors les armées de Scarmouche d'un œil noir. Il se dirigea alors vers celle-ci afin de tuer le commandant en titre.
-Jeune homme, cria un allié, vous n'allez pas affrontez cette armée seul ! Je vais vous aidez avec ce qui reste de nos troupes. Je suis le colonel Minne, pour vous servir.
-Colonel, je pense que vous allez m'être d'une très grande utilité...
Scarmouche commençait à s'impatienter. Il n'arrêtait pas de crier "On se dépêche ! Aller !". Mais il allait avoir de l'action.
Une branche craqua, elle était en feu et tomba au milieu de l'armée. Brûlant ainsi tous ceux qui se trouvait à 50 centimètres à la ronde, en plus, avec leur armure, ils bouillonnaient de l'intérieur et étaient considérablement plus lent.
3/4 des troupes de Scarmouche y était passé. Et maintenant, c'est une pluie de pomme de pain elles aussi enflammées qui s’abattirent. Brûlant le dernier quart restant.
Scarmouche était impressionné par cette rapidité d'action, il ne lui restait plus rien... pas une seule fourmi.
Puis, il vu sortir des flamme Mediagarde. Il avait cru l'avoir tué tout-à l'heure en faisant tomber la tour.
-Alors, on accepte pas la défaite. Celle-là sera d'autant plus cuisante. Je veux vous combattre en duel.
Mediagarde était surexcité. Mais il le fut fois en voyant Scarmouche enlever son armure, sa cape, laissant ainsi percevoir son long dard.
-Toujours prêt ? Jeune inconscient ?
Scarmouche sauta sur Mediagarde à une telle vitesse que celui-ci ne le vit pas arriver. Une lutte s'engagea. Scarmouche tenta du couper une patte à Mediagarde mais celui-ci s'écarta et lui visa l’œil avec un jet concentré à 100%. Scarmouche l'esquiva habilement et il s'approcha de Mediagarde petit à petit en esquivant tout ses tirs,et au dernier moment, lui planta son dard entre ces 6 pattes.
Une douleur vive se fit ressentir pour Mediagarde. Il voyait maintenant flou, Scarmouche en profita pour injecter lui aussi de l'acide formique. Cette fois, Mediagarde était détruit par la douleur, des frissons violent lui parcouraient son corps. Tout semblait finit.
Scarmouche enleva son dard, tourna le dos, et avança avec une allure héroïque. Mais, Mediagarde, dans un dernier effort, tira un jet des plus acides et transperça le corps de Scarmouche.
-Arghhhh ! cria-t-il
Un spectacle horrifiant se dessina devant le colonel, d'un côté, Mediagarde tremblant, et de l'autre, Scarmouche respirant bruyamment.
-Ne jamais tourner le dos à son adversaire ! déclara Mediagarde
Un cocon de lumière blanche enveloppa  Mediagarde, selon la légende, les héros digne de ce nom se régénère comme ceci. Mais cela prenait du temps. Et il ne fallait surtout pas qu'on le touche sous peine d'être électrocuter.
-Mais pourquoi cela ne me le fait pas ! Arghhh !!!
-Tu n'es plus digne d'être un héros ! Tu es maintenant un héros déchu !
-Noooon !!!
Scarmouche partit dans un petit nuage de poussière.
La fourmilière se reconstitua, Mediagarde lui, soigné, devint le nouveau commandant de la colonie, et la vie continua.

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