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L'Ultime Infamie.

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Cdt. Alderak
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15/07/1019 ETU 20:49
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https://www.youtube.com/watch?v=nGLGxjXYuKI
La salle est prête, tout le matériel est en place. Il ne manque plus que l...
Bien, cruellement parfait... commençons... à 15 cruels cycles précis.
L'homme acquiesce et s'en va. Quelques cycles plus tard, à l'assemblée, ils sont prévenus. Il arrive. Maintenant.
Odieuse Galaxie... quelle cruelle chance pour vous que d'avoir l'infâme honneur d'écouter ma toute première déclaration publique dans cet odieux lieu. Il faut croire que vous n'êtes même pas capables de prendre les douloureuses dispositions nécessaires pour empêcher les monstres d'atteindre votre odieux lieu de vie... cela n'a pas été faute d'essayer douloureusement pour certaines d'ailleurs
Mais qu'importe, je ne suis pas là pour vous rappeler votre odieuse médiocrité... car le mot "rappeler" serait douloureusement insuffisant.
Ce n'avait pas été long. Le spectacle que certains connaissaient maintenant bien s'était achevé au centre de l'assemblée. Cette condensation de ténèbres, cette accumulation d'ombres mouvantes convergeant toutes vers cette terrible silhouette haute de trois mètres, pour enfin finir par laisser paraître dans cette pénombre les traits d'un corps rachitique dissimulés sous une toge sombre.
Si je suis ici... c'est pour cette odieuse porte. Je ne pensais pas que le genre "humain" pouvait se montrer aussi douloureusement incompétent quand il ne disposait plus d'un cruel maître pour lui dispenser quelques odieuses souffrances. Non seulement vous ne savez pas faire... mais surtout... vous ne savez pas tout court. Douloureusement pathétique.
Sans quoi, cette porte serait soit déjà douloureusement ouverte, soit déjà douloureusement condamnée à la fermeture... mais surtout... vous auriez débusqué le douloureux menteur. Pour chercher à comprendre ce que votre douloureuse décision vis à vis de cette infâme porte impliquera. Quand je vois que certains qui ignorent tout souhaitent ouvrir cette douloureuse porte juste par cruelle curiosité... un immonde sentiment de dégoût me monte au corps. Pas étonnant que votre cruel rôle soit de servir de piteux esclaves aux cruels Seigneurs.
Je n'ai pas envie d'attendre plus longtemps. Voyez douloureusement par vous même.
La silhouette reste toujours dans ces ténèbres ondoyants. Un léger "clic" s'entend. Un Holo-gramme apparaît alors dans une coruscation.
Cela devrait sauter aux cruels yeux de tout le monde, mais je préfère douloureusement vous expliquer compte tenue que la cruelle intelligence semble faire défaut à l'odieuse majorité d'entre vous. Ce que prouve cette douloureuse défense... c'est que vous avez devant vous... la plus grande "construction" de douloureuses infrastructues jamais connues dans l'univers entier
Même en disposant des meilleurs douloureuses capacités défensives de la cruelle civilisation la plus à la pointe dans l'odieux domaine... 
il vous faudrait environ 1 000 Ma d'énergies pour construire une telle quantité d'odieux bunkers pour atteindre un si douloureux potentiel défensif... et ces cruels défenses n'étaient pas présentes avant... alors ai-je vraiment besoin de cruellement vous en expliquer plus ?
Deux "yeux" rouge finissent par apparaître au milieu de ces ténèbres, se dessinant sous une capuche. Le regard est mauvais et méprisant.
Vous avez la douloureuse preuve... que le cruel Dieu existe... celui que beaucoup accuse d'être odieusement responsable de toutes ces apocalypses. Oui, il existe car il est le seul à avoir pu faire... "apparaître" tant de moyens sur l'odieuse Capitale. Il n'y a aucune autre douloureuse explication possible. Et non... ce Dieu... il n'est pas douloureusement indifférent.
Si il est capable d'interagir directement avec cet odieux univers... et qu'il le fait... c'est qu'alors... il dispose d'une douloureuse volonté.
La même dont dispose n'importe quel douloureux être vivant se targuant d'avoir une âme. D'ailleurs... je pense que vous trouverez douloureusement amusant de savoir que cette cruelle "apparition miraculeuse" de défenses a eu lieu peu de temps après que les cruels Seigneurs approchent de l'odieuse Capitale... à croire... que même un Dieu... pourrait avoir... peur ?
La créature lâche un infâme ricanement qui résonne dans l'hémicycle.
Maintenant que vous savez douloureusement tout cela... commencez-vous cruellement à comprendre ? Si ce Dieu a agi, c'est qu'il ne souhaitait pas voir cette Capitale tomber, dans le cruel but de laisser la possibilité à cette douloureuse porte d'ouvrir
Telle est sa douloureuse volonté. Et moi je vous pose à présent une douloureuse question... quelle est la vôtre ?
En avez-vous une seulement d'ailleurs ? Comme je disais cruellement, certains accourent douloureusement pour ouvrir cette odieuse porte, juste pour résoudre un douloureux mystère... en ignorant tout cela... en ignorant qu'ainsi... vous suivez les douloureux plans de Dieu. Cela pourrait être un cruel choix délibéré en connaissance de cause à présent... 
Le cruel rôle d'un esclave a toujours été de se soumettre à son odieux maître, alors que celui-ci soit une immonde créature tortionnaire et sadique, ou bien un cruel Dieu détruisant Galaxies sur Galaxies... aucun des choix n'est douloureusement incohérent. Il existerait bien quelques cruelles solutions, mais la lâcheté vous caractérisant bien vous les ont interdites... sans quoi je ne serais douloureusement pas ici.
Le regard du cruel Seigneur tourne dans l'hémicycle.
Envahir cette douloureuse Capitale pour contre-carrer les douloureux plans de Dieu et détruire cette porte ? Douloureusement impossible, même toutes les ressources de l'odieuse Galaxie n'y suffiraient pas. A moins que Dieu soit un cruel farceur, et qu'il ait pris peur d'être démasqué et n'efface donc les douloureuses preuves de son intervention après ma cruelle déclaration... Ou bien alors que nous trouvions un douloureux moyen de faire détruire ces cruels bunkers invoqués... car il se pourrait... que... nous verrons bien.
Alors quoi donc ? Ouvrir cette odieuse porte ? Douloureusement faire en sorte de la laisser cruellement scellée à tout jamais ? Nous parlons là quand même d'un cruel "cadeau" d'une entité toute puissante qui s'amuse cruellement à détruire bien plus que ce que les cruels Seigneurs ne pourront jamais détruire... alors prendre une douloureuse décision dans un sens ou dans l'autre serait cruellement déraisonnable. 
Cette porte pourrait contenir une cruelle calamité qui mettrait définitivement fin à l'odieuse existence... ce que je trouverais douloureusement dommageable... car ce qui n'existe pas ne peut pas souffrir. Mais elle pourrait tout aussi bien contenir un cruel fléau de douleurs et de supplices, qui vous ferait regretter à tout jamais d'avoir pris l'odieuse décision de l'ouvrir, et vous ferait haïr par toutes les cruelles générations futures qui auront à subir les conséquences de votre cruelle erreur... j'adorerais.
N'ayant aucun indice sur ce qui se trouve douloureusement derrière... les deux odieuses décisions se valent... à moins que...
... le cruel regard se tourne lentement vers une loge...
... quelqu'un nous ait menti. Qu'une douloureuse personne soit au courant de plus de choses qu'elle ne le prétend sur cette odieuse porte... mais qu'elle ait préféré les garder pour elle. Refusant ainsi à toute une odieuse Galaxie de prendre la douloureuse décision en cruelle connaissance de ce qu'impliquera cette odieuse ouverture. Et si en plus de ça... ce cruel menteur... était à l'origine de la cruelle situation ?
Et si ce cruel menteur cachait volontairement cette douloureuse information... juste car ce dernier souhaite orienter notre cruelle décision vis à vis de cette odieuse porte, et qu'il savait que nous révéler ce qu'il sait nous amènerait forcément à prendre celle qui ne lui convient douloureusement pas ? Est-ce que vous commencez à douloureusement comprendre ?
Ne serait-il pas douloureusement judicieux... de douloureusement démasquer ce douloureux menteur... pour lui extorquer ce qu'il refuse de douloureusement nous dire ? Nous parlons quand même là d'une cruelle situation qui risque de concerner le douloureux univers entier... alors le simple fait que vous n'y ayez pas pensé me confirme bien la cruelle nécessité de l'odieuse décision des cruels Seigneurs.
Regardez bien... car ce que je compte faire... quelque chose que vous auriez dû faire douloureusement vous même.
... et un doigt monstrueux, semblable à une griffe squelettique, est pointé en direction de...
Lee. 
Sortez donc de votre odieuse cachette. Oui, c'est vous que j'accuse cruellement d'être le douloureux menteur. Il ne peut y avoir que vous. Vous êtes le cruel instigateur de cette douloureuse découverte... l'odieuse personne ayant... "comme par hasard"... découvert cette odieuse porte. Mais surtout... vous semblez douloureusement  être au courant de choses... douloureusement anormales.
J'ai pu consulter les odieuses archives Galactiques qui ont douloureusement survécu au cruel temps... ainsi que les cruels fichiers administratifs de l'odieuse Capitale... Cassandre. Cela vous dit douloureusement quelque chose n'est ce pas ? Enfin... je veux dire... bien plus qu'au reste de toute l'odieuse Galaxie.
De toutes les informations que j'ai pu douloureusement recouper, vous êtes le premier à avoir pu interagir douloureusement avec elle, au point d'avoir pu ramener la cruelle Capitale à sa douloureuse situation d'origine en transférant la cruelle souveraineté à cette cruelle entité, qui, d'après les douloureuses archives, est directement liée à Dieu, si elle ne l'est pas douloureusement elle même.
Le Seigneur fixe pleinement la loge de son regard monstrueux.
Vous savez... je ne crois pas aux cruelles coïncidences. Prendre le moindre risque à votre cruel égard maintenant que nous savons que le douloureux Dieu est capable d'agir, et que vous avez douloureusement interagi avec ce dernier serait douloureusement stupide. Vous savez forcément quelque chose que nous ignorons douloureusement. Que la cruelle Galaxie ignore.
Et le douloureux problème est que nous ne pouvons aucunement vous faire douloureusement confiance, que vous nous juriez nous dire toute la douloureuse vérité ne sera jamais cruellement suffisant... d'autant plus au vu de la cruelle situation. Alors il n'existe qu'une douloureuse solution... l'unique en laquelle croient les ignobles Seigneurs :
J'exige que vous vous rendiez douloureusement à ma personne, pour que je puisse vous faire subir un cruel interrogatoire... jusqu'à que douloureuse mort c'en suive. Inutile de vous prévenir que celle-ci ne sera douloureusement pas tendre. Mais à la fin, nous aurons enfin la douloureuse certitude de connaître cruellement tous les secrets que vous auriez pu dissimuler... c'est l'unique douloureuse solution.
Le cruel regard ne bouge pas.
Car je sais douloureusement ce que vous voulez par dessus tout, vous. Ouvrir cette odieuse porte. Impossible de douloureusement vous laisser faire avec l'idée que vous cachez de cruelles choses à son sujet. Alors si vous vous y refusez... je considérerais que ce que vous cachez est cruellement suffisant pour ne pas prendre le douloureux risque, et ainsi j'irai cruellement à l'encontre de votre odieux projet.
Ce cruel chantage est douloureusement nécessaire pour vous mettre douloureusement pied au mur... c'est ma manière de douloureusement participer à résoudre ce douloureux mystère... contrairement aux douloureux lâches, je m'assure de disposer de toutes les cruelles informations possibles. Donc refusez... et je m'assurerais que cette cruelle porte reste fermée.
Car la preuve sera pour moi odieusement évidente. Vous cacherez quelque chose qui justifiera de ne pas prendre de douloureux risques.
Silence.
Acceptez... et à votre mort, je m'engage cruellement à révéler à l'odieuse Galaxie toutes les douloureuses informations que j'aurais pu horriblement vous extorquer. Si il s'avérait que rien de douloureusement concluant n'ait pu être odieusement trouvé, à savoir que vous n'ayez été "choisi" que par un cruel signe du destin... alors il n'y aura plus aucune cruelle raison de douter de vous et de votre cruelle découverte.
Je ferai alors en sorte de cruellement laisser ouvrir cette porte, en fournissant même l'énergie douloureusement nécessaire si il le faut.
Le cruel regard se tourne vers le reste de l'hémicycle.
Voilà ce que vous auriez douloureusement dû faire. L'univers tout entier risque d'être douloureusement impacté par ce qui se trouve derrière cette odieuse porte. Alors c'est une cruelle question de bon sens que d'enquêter au cruel maximum. Je mets un Homme face à ses cruelles responsabilités, et tant mieux si il doit douloureusement mourir pour cela.
Si vous n'êtes douloureusement pas content et souhaitez tout de même ouvrir ou faire fermer cette cruelle porte aussi stupidement qu'avant en vous basant sur de simples cruelles intuitions, vous continuerez de faire le jeu douloureux de Dieu. Ce sera votre cruelle décision, mais soyez en tout simplement odieusement conscient. Vous aurez choisi votre cruel maître. Et vous vous battrez pour ses douloureux projets.
Malheureusement... j'ai un cruel litige avec ce fameux Dieu. Car si il y a bien quelqu'un je rêve de faire souffrir... et que je sais maintenant qu'il le peut... c'est lui. Alors vous devrez douloureusement combattre contre les odieux Seigneurs. Peut-être qu'il s'agit là d'une odieuse solution, mais j'ose cruellement vous prévenir qu'il s'agira d'un cruel enfer car les Seigneurs sont prêts à donner beaucoup pour déjouer ce cruel Dieu.
Et par beaucoup... j'entends dire : Tout.
L'ignoble regard se tourne vers la loge de Lee.
Et vous... qu'allez-vous douloureusement donner ?
Peut-être que l'ignoble Galaxie se souviendra de vous comme le cruel héros ayant choisi de douloureusement se sacrifier, juste pour que l'odieuse Galaxie puisse mener cette ignoble découverte jusqu'au bout. Ou comme un ignoble monstre si ce qui se trouve derrière cette odieuse porte détruisait tout sur son odieux passage. Ou comme un cruel lâche peut-être.
Ou peut-être que cela vous forcera à douloureusement vous révéler... après tout, si Dieu est capable d'invoquer littéralement plusieurs centaines milliards de ressources, vous et tous ses cruels partisans ne devriez avoir aucun mal à vaincre douloureusement les Seigneurs, vous n'aurez qu'à le prier. Enfin, quelle que soit votre cruelle décision... cela promet d'être douloureusement intéressant. 
Car nous aurons enfin la cruelle vérité quant à ce cruel Dieu.
Cdt. Bazaroff
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15/07/1019 ETU 21:56
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Soudain une ombre sortie de nulle part apparue, vêtu d'une longue gabardine en queue de pie noire , d'une cape noire flottant comme si un vent fort lui soufflait dessus, une chemise blanche, un pantalon noir très bien taillé et des guêtres, très maigre de figure une bouche fine lui donnant un air sévère, le teint blanc mais des yeux cernés de noir et portant un chapeau haut de forme lui faisant ressembler à un financier, portant dans sa main droite squelettique, une serviette de cuir, les pieds sur une grande carte horizontale, une carte d'as de pique, flottant a 2 mètre du sol,  l'individu s'avança comme sur un tapis volant, grâce a la carte de jeu géante tout en faisant d'une voix qui résonnait en écho....... 
BLAAA......BLAAA.....BLAAAA .....BLAAA .....BLAAA ! Ne croyez vous pas, que cette galaxie en ai douloureusement rien a faire de vos douloureux  propos ? ils ont infiniment mieux a faire que d'écouter vos palabres, INUTILE DU RESTE ! Qui de toute façon, ne mènerons a rien, sinon qu'a la conclusion évidente de votre échec, Là n'est d'ailleurs pas la question !!
Rendus a une extrême limite de temps qui nous séparent du grand changement de vies ! ....Et quand je dit vies, je ne parles pas du changement de situation mais bien de nouvelles civilisations qui vont apparaître ailleurs !  Là est toute la cause, les anciens qui savent comment survivre, expliquerons a des ignares qu'une apocalypse arrivera, quand ils les rejoindrons, et bien sur, ceux ci dont leurs cervelles étriqués n'en saisirons pas l'importance refuserons d'y croire et cela continuera éternellement et tout recommencera INDEFINIMENT  ! Sachez cependant cher Maître ! .....
Que la vie elle même ne peut être réduite a Néant car la vie elle même est immortelle, et si la vie est immortelle, la mort l'est aussi ! vous faite disparaître la vie d'un endroit et elle renaîtra de ces cendres ailleurs, quelque part dans l'univers et ceci ....Est la seule chose importante, la règle même, la grande vérité de l'univers ! Réduire a néant pour tout recommencer, 
A quoi bon alors s'y opposer ? Cela serait puérile et malvenu, même le mal le plus absolu ne peut rien contre cette règle générale de l'éternel recommencement, dès lors il ne sert a rien ni de menacer ni de promettre ni de ceci ni de cela et patati et patata  car il est dit 
Là l'individu ouvrit sa serviette, en prit un parchemin et lu a haute voix d'un air particulièrement aigre 
Tu ne te soulèvera point contre ton Dieu et éternel Maître parce que .....Telle est la volonté .....
IN NOMINAE PATRIS ES FILI ES SPIRITUS SANCTI  ! .....
Ainsi l'équilibre selon la proclamation du  365eme bureau se doit d'être maintenu entre l'existence même du bien et du mal ! Tel est la volonté de la règle du Destin toute puissante soit elle !  
Tout le reste ! n'est que sornettes ! 
Il rangea son document, referma sa serviette de cuir, traça de son index squelettique une ligne jaune lumineuse et avança avec sa carte,droit et raide comme un piquet  il fut absorbé par cette luminosité qui disparue ensuite ne laissant que le silence 
Cdte. Lyra
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16/07/1019 ETU 19:47
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Mais vous n'avez rien à exiger, Alderak.
L'hologramme s'était lentement matérialisé dans la loge galathéenne. Lyra était assise dans un fauteuil de son bureau, un verre à la main. La semi-pénombre de la pièce depuis laquelle elle émettait ne permettait pas de voir l'expression de son visage avec certitude, mais elle avait pris la parole d'une voix calme. Vous n'avez aucun droit sur la vie de Lee ni sur celle d'aucun d'entre nous. Vous n'avez aucun droit à décider seul de l'avenir de cette Galaxie ou de notre Univers - si tant est que les implications de nos découvertes pourraient s'étendre si loin.
Lyra posa délicatement son verre sur une petite table devant elle et s'adossa contre le dossier de son fauteuil.
Cela ne vous surprendra donc pas, mais bien sûr je m'oppose à ce que Lee soit torturé et encore moins mis à mort, pour quelque raison que ce soit. Bon sang, vous ne pourriez pas commencer par parler aux gens et attendre de voir ce qu'ils ont à dire, sans toute suite les menacer, les torturer ou les mettre en esclavage ? C'est dingue, ça...
Elle ferma les yeux quelques instants, sa voix se fit plus chaleureuse, sans parvenir à masquer une pointe d'inquiétude.
Lee, je vous en conjure, ne cédez pas et ne vous livrez pas. Je vous connais assez pour savoir la passion dévorante qui vous anime autour de ces recherches, je sais que cela occupe toute votre énergie et votre temps, mais rien ne justifie d'en arriver à de telles extrémités...
Elle fit une pause, sembla hésiter à ajouter quelque chose puis se ravisa avant de reporter son regard sur l'immense silhouette encapuchonnée au centre de l'hémicycle.
Alderak, vous dites que vous nous révéleriez les informations obtenues... je comprend donc que vous aviez l'intention de mener cet "interrogatoire" à huis clos. Torture mise à part, je ne vous reconnais aucune légitimité pour mener seul des interrogatoires, et je n'accorde aucune valeur aux informations que vous nous transmettriez ensuite. Je ne dit pas que vous êtes un menteur, mais je connais votre goût pour la manipulation de l'information et l'omission volontaire.
Cette porte - et ce qu'elle cache - nous concerne tous, les décisions doivent donc être collectives et les informations partagées.
Il faut arrêter de croire que vous êtes le seul à faire bouger les choses. Nous ne vous avons pas attendu pour nous poser des questions, nous ne vous avons pas attendu pour agir autour de cette Porte. Au contraire même, si vous n'entendez plus rien à son sujet et avez l'impression que plus rien ne bouge, c'est principalement à cause de vous. Disons que vos copieux bombardements autour de la Capitale et les appétits de certains renégats nous ont poussé à plus de discrétion. Mais bien sûr, les choses ont avancé. Et très bien avancé même.
Lyra marqua une nouvelle pause, se mordilla légèrement la lèvre puis finis par se pencher légèrement en parlant plus bas, sur le ton de la confidence. 
Et d'ailleurs, je glisse ça comme ça, mais votre exploration de la Capitale, elle date un peu. Elle est complètement obsolète, même. Chacun son métier, Alderak, et pour ce qui est de la prise d'informations, vous devriez faire confier ça à un alliantiste. Ou alors au moins, datez vos données quoi, parce que là c'est pas très pro de le présenter comme ça. 
Elle se redressa sur un léger soupir. 
Bref.
Quand je dis que vous avez un talent certain pour manipuler les informations, laissez-moi vous livrer le fond de ma pensée.
Je crois que votre soudain intérêt pour la Porte n'est qu'un prétexte pour ajouter un nouveau trophée à votre tableau de chasse. Votre discours sur les risques que représente l'ouverture de cette Porte, ces soit-disant précautions, votre enquête pour savoir ce qu'il y a derrière... je n'y crois pas une seconde. Au pire, ce qu'elle cache vous laissera indifférent. Et si cette Porte pouvait au contraire libérer sur nous les pires fléaux et les pires souffrances, vous nageriez en pleine félicité. La seule chose qui pourrait vous faire frémir effectivement, c'est une destruction totale de toute forme de vie, donc de matière à torturer... Mais en suivant votre propre raisonnement, cela ne se produira pas. Parce que si le Dieu que vous décrivez existe, il ne détruira pas sa création. Il ne réduira pas en poussière son terrain de jeu. Sinon... à quoi s'occuperait-il ensuite ?
Non. Pour moi, vous vous emparez d'un sujet qui occupe notre attention, pour lequel nous sommes quelques uns à vouloir lutter, et vous voulez l'utiliser comme moyen de pression pour obtenir ce que vous voulez vraiment. S'il existe, ce Dieu vous nargue et vous fait de l'ombre. Vous n'avez pas de prise sur lui et cela vous obsède.
Mais vous êtes en plein délire mystique, Alderak. Vous croyez quoi ? Que Lee est le représentant de Dieu ? Qu'en le torturant, qu'en le tuant, vous pourrez l'atteindre et... le faire souffrir ?
La voix de Lyra se fit plus basse et plus grave, comme l'expression d'une pensée formulée à haute voix.
Votre ambition amorale et démesurée, les anciens lui avaient donné un nom : l'hubris. Elle secoua lentement la tête. Et vous êtes pris en flagrant délit...
Cdt. Mediagarde
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16/07/1019 ETU 20:54
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Le grandissime[...] commandant[...] Mediagarde s'avança dans l'ombre d'Alderak : il l'écouta en silence tout en se disant intérieurement : "Grand dadais va ! T'a beau être grand, T'a pas grand chose là-dessous..." Puis il alla s'installer tranquillement dans un coin de la salle afin de préparer son prochain discours.
Plus tard, il s'élança et déclara : 
Douloureuse manifestation d'un odieux personnage n'ayant que d'infâmes désirs...
Poufff... il y a pas grand chose à dire, excepté votre monovocabulaire basé sur la douleur... faut dire... le physique fait pas l'intelligence.
Il darda son regard sur Alderak
Vous vous attendiez à quoi ? Qu'après votre discours, on allait se jeter sur vos pieds pour vous lécher vos bottes ? Peuhh !!! Pathétique...
Un gars comme vous s'adressant comme ceci à une galaxie entière... il n'avait pas beaucoup de chance au niveau charisme... Si vous n'étiez pas si grand, je vous ferai sortir de la salle par la peau des fesses ou à grands coups de pied sur votre postérieur. Sauf que mère nature me le permet pas.
A quoi bon s'acharner sur un citoyen de notre chère galaxie ? Si il l'a trouvé par hasard cette porte, vous n'y pouvez rien. Par contre, vous, vous êtes pas le hasard des choses, un autre gars souhaitant réduire à l'esclavage une galaxie en la corrompant. En général, cette catégorie de personnes ne font pas plus de 2 apocalypses, ne connaissant pas votre parcours, vous avez peut-être dépassé la moyenne. J'ai bien dit peut-être...
Sachez odieux Alderak que si je devais faire un choix entre vous et l'apocalypse, je choisirai l'apocalypse car c'est dieu qui la crée et que si elle n'existait pas, les seuils de population dégénéreraient et les plus faibles se verrai anéanti dès leur arrivé par une force assoiffée de pouvoir. J'ai plus confiance en une entité qu'un cruel crétin voulant mettre le bazar ! En parlant poliment...
Il se retourna puis il finissa :
Enfin bref, les demeurés seront, resteront, et mourront !
Il alla s'installer dans son coin chérie...
Cdt. Lee
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16/07/1019 ETU 23:43
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Les ombres de soie noire valsaient en une danse hypnotique autour du corps rachitique et encapuchonné de celui que l’on nommait Alderak. C’est ainsi la première image qu’eu Lee de cette race venue d’une autre galaxie. Il avait été loin, très loin ces derniers temps et être pris à parti l’avait décidé de revenir. Il avait de toute façon quasi-fini son dernier voyage extra-galactique, hasard total du calendrier, et se trouvait donc à proximité immédiate de la galaxie qui l’avait vu naître. Il avait renoncé depuis longtemps à tout titre et tout prestige personnel, poursuivant solitairement sa route et pilotant seul son vaisseau : explorateur perdu dans l’immensité de l’espace, maintenant des communications privilégiées avec quelques interlocuteurs rares mais précieux à ses yeux, car mus par la même envie de science et de connaissance de lui.
Il avait profité d’une orbite de Pürnell pour manœuvrer - dériver en fait plus techniquement parlant puisque les forces naturelles avaient suffi à le replacer sur une orbite d’interception de la grande bleuté qui abritait le monde capital. La rentrée dans l’atmosphère fut à l’image de ce que toute rentrée dans l’atmosphère d’une planète peut être : un instant qui serait mortel sans le revêtement d’alliage céramique du bouclier thermique de son vaisseau. Mais trêve de description, voilà que Lee apparaissait dans la salle du conseil, arrivant par-derrière son interlocuteur, entré par un recoin en apparence sans ouverture. Faut-il préciser que Lee était et serait toujours chez lui dans ces murs ?
Hum… Seigneur Alderak… prononça Lee pour gagner l’attention de son interlocuteur. Je suis Lee, c’est moi.
Il apparaissait vêtu de son veston habituel, sobre et élégant, cravate serrée, chemise blanche impeccable et manche retroussée : l’archétype même de son propre cliché. Cependant, il ne fallait pas être bien observateur pour voir qu’il était loin le temps de l’homme qui s’occupait du monde comme de ses enfants. Lee était fatigué, ses traits étaient creusés, et sa blancheur de sa peau contrastait dans les limbes ténébreuses d'Alderak. Les ombres noires du Seigneur lui tournaient autour et le caressaient, léchant sa peau comme une flamme aurait pu le faire. Une flamme glacée et sombre comme l’au-delà. Alderak avait faim, et il semblait attendre Lee en particulier depuis longtemps. Malgré la froideur et l’étrangeté de la situation, Lee pourtant ne tressaillait pas et la chair de poule n’apparut pas sur son cou : son regard était ferme et déterminé. On dit que les ombres vous happent de l’intérieur, qu'elles siphonnent votre âme et lui révèlent la noirceur du monde. Mais Lee semblait déjà la connaître, et le spleen l’habitait déjà.
Seigneur Alderak, dit-il d’une voix posée, que l’on aurait presque pu appeler amicale, bienveillante, ou en tout cas étonnamment détachée de la situation.
Je ne mens pas, Seigneur Alderak. Je n’en ai aucun intérêt.
Un long silence s’en suivit. Les deux s’observaient comme deux Némésis qui se découvrent.
Dois-je m’expliquer plus avant ?
(silence)
Où avez-vous vu Dieu ? Vous prétendez, ici ou à d’autres, savoir de cruelles vérités sur la porte, et sur Dieu. Vous semblez penser que tout ne peut finir que par ma mort et ma torture. Mais vous vous trompez. Une multiple de destins sont possibles… et vous n’en maîtrisez que quelques-uns seulement. Au cours de nos échanges, et par votre première intervention ici entièrement dédiée à votre envie de m’occire, je ne peux qu’être flatté de l’attention particulière que vous avez à mon égard. Mais à part le savoir et le raisonnement, je n’ai pas pour moi pas de grande qualité.
Alors Dieu... Ainsi donc. C’est Dieu que vous pensez rencontrer derrière cette porte ? Une longue barbe, un vieil homme ? C’est ainsi que vous l’imaginez ? Si Dieu pouvait souffrir, ce serait alors de l’arthrose de ses genoux... Ou peut-être de se rendre compte de la stupidité de ce que font les hommes font en son nom. Mais franchement… La souffrance, c’est un ensemble proprioceptif de messages physico-chimiques. C’est un réflexe primaire de survie d’un corps. C’est le moteur fondamental qui nous pousse à chercher autre chose et à évoluer. Peut-être que Dieu peut souffrir… mais franchement… vous vous voyez entrain de torturer ce que vous appelez Dieu mais que vous n’arrivez même pas à concevoir ? Si un tel être existe, il ne vous rayerait même pas de la carte, mais il pourrait simplement décider que vous n’êtes plus… point final.
Il y a bien Dieu oui, je le crois. Mais tout comme nommer votre race « les Seigneurs » et parler d’un ton seigneurial ne fait pas de vous un seigneur, s’appeler Dieu ne fait pas de lui… un dieu. Je l’imagine plutôt comme… j’ignore votre connaissance du monde ou non… Mais disons… une entité de type 4. Alors souffrir n’est même peut-être même pas un concept pour un être capable de manipuler un univers.
D’après vous… Cassandre est liée à Dieu ? D’après vous, Cassandre est peut-être même Dieu elle-même ? Scoop : je crois que Cassandre n’aime pas beaucoup Dieu au contraire. Une fois… une fois elle nous a mis en garde.
Lee eu un infime mouvement de poignet, balayant l’air du bout des doigts… Il n’était pas homme de théâtre et ce simple geste quasi-inaperçu suffit à être détecté par le système de l’assemblée qui lui redonna le contrôle sur la diffusion holographique.
Alors il montra : https://www.apocalypsis.org/archives/gamma2/galaxie4/forums/570/topics/4603/page1
Dieu nous a déjà piégés. Et je crois que nous sommes toujours dans son propre piège, subissant apocalypses après apocalypses. Vous croyez que me torturer vous apportera des réponses ? Mais comment saurais-je quoi que ce soit ? Vous croyez que Dieu me chuchote à l’oreille ? Ou que moi, je suis l’homme qui chuchote à l’oreille de Dieu ? Votre quête de gloire et de narcissisme vous pousse à me faire passer pour ce que je ne suis pas. Avez-vous besoin de vous créer une raison d’être ? Je vous la donne : ouvrez cette porte !
Alors parlons de mensonge à présent. Vous m’accusez de mentir. Pour cacher quoi ? J’ai donné mes mondes, distribué mes contrebandes - une à chaque guildéen des mondes connus. Libres à eux de les utiliser pour générer de la richesse pour s’entretuer comme tous l’ont toujours fait, ou au contraire à l’utiliser pour générer de la ressource pour changer les choses. J’ai dévoilé tout ce que je savais… me dépecer ne servira qu’à assouvir votre soif de cruauté… et encore, je ferais un bien piètre mort… Je ne sais rien de plus que vous. Enfin… disons rien de sûr de plus que vous, parce qu’effectivement nos recherches et nos déductions font qu’un petit groupe et moi-même avons des convictions profondes de ce qui est ou pourrait être. Mais nous pouvons nous tromper. Cela demande du temps vous savez la recherche de la vérité. C’est une démarche méticuleuse et scientifique. Ce n’est pas des discours et des analyses à la va-vite.
Lee eu de nouveau ce geste de poignet, et le rapport d’espionnage brandit par Alderak réapparu. Un léger mouvement de doigt et les métadatas se matérialisèrent, faisant apparaître la date.
Un espionnage… Un seul... À un moment précis...
Avez-vous pensé à vérifier vos données ? Recalibrer vos instruments ? Repenser votre interprétation ? Voir même vérifiez vos résultats ? Cela fait de nombreux cycles que la situation est revenue à la normale.
Vous espionnez une planète sur laquelle des phénomènes jusque-là inconnus se sont produits. Vous venez d’arriver et vous permettez des jugements à l’emporte-pièce. Mais savez-vous que la planète a connu une chute d’astéroïdes sans précédent récemment, d’une telle ampleur qu’elle a fait bugger la porte durant quelque temps ? Et savez-vous que dès les premiers jours de la découverte, Lyra et d’autres ont réussis à transférer de l’énergie dans cette porte. Juste assez pour la faire trembler au début, puis pour allumer un chevron. Qui dit que ceci ne génère pas des choses inconnues que vos capteurs interprètent mal ?
Lee leva la main, coupant la diffusion du rapport d'Alderak. A la place, un point venait d’apparaître au milieu de la salle. Il ouvrit les doigts, et le point s’éclata en une projection holographique 3D : le ciel, ses étoiles, et la planète capitale qui flottait en son centre.
Voilà une explication :
https://www.youtube.com/watch?v=MsLNZVyM5N8
Une météorite fonçait sur la capitale. Sa traînée longue de deux unités astronomiques traversait la salle dans une gerbe de fumée grise. Alors qu’elle se rapprochait de la planète, le caillou s’embrasa, rougissant sous la chaleur immense de l’entrée dans l’atmosphère. L’image vibrait, illustrant la puissance de l’impact qui se préparait. Au moment où l’objet céleste percutait la planète, le sol éclata à l’impact, propulsant des montagnes de roches. La caméra fit le tour de ce monde, plongeant de l’autre côté de la planète où se trouvait la capitale. Les lumières vacillaient, des gens couraient en tous sens. Plongeant droit sur le sol, la caméra pénétra le cœur de la terre, dévoilant la pièce souterraine où se trouvait la porte. Lyra, Olorin et bien d’autres étaient devant, comme à l’époque. Et comme dans les souvenirs, les symboles sur la porte se mélangèrent selon le glitch d'alors. La caméra, elle, continua à foncer sur la porte, pénétrant sa matière sans aucune résistance. Elle zoomait, zoomait jusqu’à ce qu’au niveau moléculaire, et l’on put apercevoir les atomes totalement inconnus dont la matière qui la constituait était faite. Ces molécules se mirent à vibrer elle aussi sous l’impact, et dégagèrent une sorte de rayonnement qui fut matérialisé par un halo bleuté. À son tour, ce halo se propagea en direction de l’espace en une onde de nature totalement inconnue, sorte de contre-réaction vibrionique du matériau qui se défendait à une agression extérieure, tout comme l’onde de choc qui avait désarmé Sarkome et sa grande armure lorsqu’il avait tapé dans la porte. Cette vibration s’étendit et la caméra dézooma à nouveau, ressortit des entrailles de la terre, ressortit de l’atmosphère, dézoomait encore et encore jusqu’à ce que des sondes apparaissent sur la simulation. Leurs capteurs s’affolèrent, les instruments de mesure débloquèrent devant cette énergie inconnue, et les résultats furent complètement faussés.
Lee referma le poing et le son et l’image disparurent aussi sec.
Pas convaincu ? Et pourquoi pas ça ?
Lee ouvrit à nouveau les doigts, et cette fois, ce fut une matérialisation de l’énergie transférée par Lyra qui s’afficha. 
L'énergie courait le long des parois des bâtiments, serpentant par un enchevêtrement de câbles que suivait à présent la caméra. Une lueur verdâtre symbolisait l’énergie qui courait le long de ces alimentations qui se resserraient en un maillage qui aboutissait à la porte. Depuis la porte, des murs épais se matérialisèrent en su-impression verdâtre. Ils se prolongeaient sur tout l’intérieur de la planète, formant une immense sphère surlignée en vert. Cette énergie venait de réactiver une sorte de bouclier de protection autour de la structure souterraine. Et à ce moment même, les sondes vues plus tôt envoyaient leurs fréquences d’analyse - représentées en orange - qui fonçaient droit sur la planète. Ces dernières rebondirent sur la surface du déflecteur énergétique verdâtres et repartirent vers l’espace, capté à nouveau par les instruments de mesure. Ceux-ci en conclurent à un béton impénétrable recouvrant la totalité de la planète. Bref, un réseau de bunkers jamais vu auparavant. Les sondes calculèrent alors une défense purement aberrante.
Lee referma encore le poing : moins épique, mais tout aussi viable scientifiquement comme explication n’est-ce pas ? Et ça ? La simulation repris.
Cette fois, le peu d’énergie apporté réveilla une sorte de machinerie à l’intérieur d’une immense sphère ensevelie derrière la porte. En son centre, un condensateur immense s’illumina de bleu et dégagea un signal radio d’une intensité remarquable, destiné à traverser la galaxie, à traverser l’immensité trans-galactique, à avertir un correspondant à l’autre bout de l’univers que la porte avait été découverte et commençait à être alimentée. Là encore, l’onde électromagnétique heurta les sondes en orbite, grillant leurs systèmes, et conduisant à nouveau à un faux calcul.
Quelques fois encore, le manège continua.
Petits à petites, les explications se faisaient plus prosaïques, selon le principe du rasoir d'Ockham : un simple système électrique endommagé à bord des sondes, un technicien qui se trompe d’un zéro en tapant le rapport, l’explosion d’une étoile à neutron dans une galaxie voisine, les possibilités défilaient de plus en plus rapidement.
Lee ferma le poing brusquement et l’hologramme disparu. Il plongea son regard dans celui d’Alderak, et dit d’une voix calme.
Mais vous… vous avez décidé d’imaginer ça :
https://www.youtube.com/watch?v=GXFSK0ogeg4
Cette fois, lorsque les doigts s’ouvrirent, ce fut sur une vue de la planète. Loin des bâtiments principaux : des champs, des collines, un paysage flamboyant sur un soleil couchant magnifique. Le vent caressait les herbes et les oiseaux gazouillaient. Le ciel bleu azure resplendissait d’une couleur profonde. Seuls quelques nuages à l’horizon venaient à se rassembler, poussés par le vent.
Lentement, la masse de nuage s’amoncela, devenant un voile blanc qui recouvrait à présent le ciel. Le vent se leva tandis que le voile s’épaississait. Le ciel était devenu une masse informe et cotonneuse de moutons de nuages roulants sur eux-mêmes et grisonnant tel une barbe.
Les herbes étaient à présent couchées par le vent, et des feuilles tempêtaient, virevoltant dans la pièce tandis que la simulation se faisait de plus en plus menaçante.
Les nuages se changèrent en cumulus, et la tempête se levait. Des éclairs jaillirent, zébrant le ciel, déchirant le paysage.
Et soudain il apparut : un index. Immense. Gigantesque Déchirant le ciel et traversant les nuages. Inexorablement, il descendait vers le sol. À l’instant où le bout de l’ongle blanc toucha la terre, une vague d’énergie se libéra. Telle une onde de choc, elle se propagea en cercle depuis l’emplacement du doigt qui remontait vers le ciel. L’onde brûlait tout sur son passage, déchirait les arbres des forêts, avalaient les collines, le sol tellement chaud se mit en fusion. La lave, doucement, se refroidit. Elle prenait la forme de bâtiments plats d’où s’ouvraient seulement des meurtrières. Le sol était devenu une sorte de pierre volcanique noir brillante, dure, extrêmement dure même, devenant un immense champ de bunkers à la résistance divine. Dieu venait de recouvrir la planète de bunker… comme ça… parce qu’il l’avait décidé.
Sur cette vision cataclysmique d’un monde de ténèbres, mort et recouvert de bunkers, la simulation s’estompa.
Les secondent parurent des minutes avant que Lee ne reprenne.
Tout ce long exposé pour vous montrer que vous vous trompez. Votre raisonnement s’apparente à faire exploser un bâton de dynamite dans un lac pour voir s’il y avait du poisson. Vous lancez des allégations sur la base de rien et regardez ce qu’il en sort. Mais en sens inverse : n’est-ce pas vous qui mentez ? Car le raisonnement est tout aussi fallacieux en sens inverse…. et souffre aussi d’odieuses coïncidences.
Vous êtes arrivé au moment où nous découvrions la porte. Vous semblez en savoir plus que nous - du moins le faites-vous croire. Vous semblez entièrement diriger vos actions autour de cette Capitale et de cette porte. Vous agissez de manière bien curieuse et peu rationnelle à mon égard, comme quelqu’un qui a quelque chose à se reprocher ou à cacher et se sert d’un autre comme bouc-émissaire. Vous me fustigez en public exactement au même moment où une avancée considérable a été faite dans l’ouverture de la porte, avec quelqu’un qui a réussi le plus gros transfert enregistré vers la porte à ce jour... comme par hasard. Vous êtes peut-être Cassandre… Ou bien encore vous agissez pour le compte de Dieu contre elle…. Qui sait !
Ai-je été assez démonstratif dans tout ce qui ne se tient pas dans votre raisonnement ?
Lee se tourna vers Lyra : j’ai entendu vos propos et c’est parfaitement résumé. Se retournant vers Alderak : nous savons tous deux, rien qu’à la démarche, que tout ceci n’est qu’une mascarade. Si vous voulez savoir des choses et être intéressé à cruellement les révéler, alors pourquoi faire les choses en privé ? Et à quoi sert la torture là-dedans ? Imaginons que je cache effectivement quelque chose. Soit, vous n’êtes pas bon à la torture, et elle serait inutile puisque j’y résisterais. Soit, vous êtes bon, et… ma foi vous me feriez dire ce que vous voudrez, et ce ne serait donc pas la vérité. A moins que la vérité ne soit justement pas réellement votre motivation, car sinon l’idée n’a aucune utilité.
Vous souhaitez ma mort, vous vous en prenez aux planètes Sentinels. Continuez : elles vous vont comme un gant. Ce ne sont plus que des mondes sans vie, des cailloux désolés que nous n’habitons plus. Vous ne pouvez pas nous tuer. Nous sommes immortels et déjà morts à la fois. Le peuple Sentinel n’existe plus. Regardez à votre gauche et voyez… Regardez à votre droite et voyez… Nous sommes vos femmes et vos maris. Nous sommes votre voisin, votre mécanicien, votre médecin ou le mec du coin. Les Sentinels n’ont pas connus les étroitesses d’esprit et l’apathie. Nous avons changé, évolués, nous nous sommes mélangés à vos peuples à tous. Aujourd’hui nous sommes parmi chacun de vous. Je me suis fixé un idéal, d’honnêteté, d’ouverture, de tentative d’évolution… et de toutes mes forces j’essaie. Vous ne pouvez tuer cette idée Alderak.
Quant à la porte, quoi vous dire. Comme l’a dit Lyra : le seul préjudice qu’elle puisse vous causer, ce serait une destruction totale et intégrale. Pour le reste quoi… Si c’était souffrance, vous vous y sentiriez bien. Et si c’était au contraire la vie… Cela ne vous ferait que plus de vie à torturer n’est-ce pas ?
Alors oui, par mes voyages extra-galactiques, mes recherches, mes intuitions, j’ai des convictions, parfois étayées de faits. Mais non… je ne sais rien que je ne cache à ceux qui demandent. Ceux qui cherchent trouvent… Les obscurantistes eux, restent à l’obscurité.
Aujourd’hui… maintenant… je suis là. Devant vous, devant tout le monde. Alors posez-les vos questions, qu’on en finisse.
Cdt. Alderak
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23/07/1019 ETU 07:51
Ce(tte) commandant(e) soutient beaucoup Apocalypsis.  Ce(tte) commandant(e) soutient beaucoup Apocalypsis.
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https://www.youtube.com/watch?v=20XREf55X9E (Ambiance musicale)
Le regard sombre de la créature tourne entre chacun de ses interlocuteurs. Attentif, d'abord envers la Galathéene, puis envers cet insecte, pour ensuite finir par Lee. Guettant enfin quelques réactions dans l'Hémicycle, le silence s'impose durant un temps certain. Avant...
Et dire que je pensais que ce serait douloureusement plus... compliqué. Douloureusement magnifique.
... que ce dernier ne se fixe lentement sur Lyra.
Cruelle Lyra... j'ai toujours trouvé douloureusement amusant de comment vous étiez à la fois si proche de la cruelle vérité... tout en en étant si éloignée. Comme si il vous manquait la légère pointe d'infamie pour réellement comprendre les douloureux Seigneurs. Bien sûr que les douloureux Seigneurs sont cruellement friands d'illusion, bien sûr que tuer odieusement Lee dans la douleur me ferait affreusement plaisir... et bien sûr... que cette porte est un cruel moyen.
Mais là où vous vous méprenez douloureusement, c'est sur le sens profond de mes cruels projets. Si cette fameuse porte est devenue un douloureux moyen... c'est par le concours de Dieu lui même. Car ce dernier lui accorde une douloureuse importance. Alors quoi de plus normal que d'utiliser celle-ci contre lui... et quoi de plus normal que de douter cruellement des conséquences liées à cette odieuse porte ?
Mais j'ai aussi appris à douloureusement me méfier de ce qui importait pour mes cruels adversaires... alors vous vous trompez odieusement en pensant que je me contrefiche de ce que cache cette odieuse porte en elle même... car de fait... le douloureux moyen est aussi un but à la fois.  Mon douloureux doute existe vraiment. Et ce que vous interprétez comme une douloureuse tromperie...
Il lâche un petit ricanement.
... n'est que de l'art Seigneurial à son douloureux paroxysme, en soit, utiliser le but de Dieu... contre lui même. Un art dont vous ignorez douloureusement tout... et qui vous apprendrait pourtant tellement... sans quoi vous auriez déjà douloureusement compris pourquoi précisément j'implique cruellement Lee là dedans... pour preuve, vous n'auriez pas épilogué sur cette douloureuse torture promise...
L'infâme regard se tourne à présent vers Lee, et le fixe.
Car l'odieuse réaction est bien plus importante que l'infâme réponse.
Le simple fait que vous acceptiez mon offre aurait douloureusement donné tord à mon propos et m'aurait confirmé que mes cruels doutes à votre égard étaient inutiles. Et ça, je l'aurais su... sans même avoir à cruellement vous torturer à mort. Bien entendu, je l'aurais tout de même fait, par douloureux principe... et par cruel amusement.
Mais... vous poser de douloureuses questions maintenant que vous êtes là ? Pour quoi faire ?
Ha Ha Ha Ha Ha Ha Ha Ha Ha Ha Ha Ha Ha Ha Ha...
Le Seigneur rit pleinement, son monstrueux sourire vient d'apparaître d'un coup.
Non, votre douloureuse réponse... ou plutôt... votre cruelle et ignoble... réaction... jamais je n'aurais pu voir douloureusement plus clair.
Vous savez, j'ai douloureusement apprécié, vous voir utiliser douloureusement tout élément de logique pour justifier vos cruels propos. Cela aurait presque pu cruellement marcher... si les Seigneurs ne croyaient pas uniquement dans les douloureux faits et les ignobles faits. Je ne suis pas rentré dans un douloureux délire mystique, jamais je n'aurais accusé le cruel Dieu d'avoir agi sur l'odieuse Capitale... si je n'étais pas sûr de ce que j'ai vu douloureusement.
Une odieuse réaction cohérente de votre part n'aurait pas été de chercher à démentir à tout prix mes douloureuses observations... mais à démentir la cruelle association que je faisais entre vous et elles... entre vous et Dieu. Autant dire que celui-ci combattait déjà sur le mauvais champ de bataille... d'autant plus que vous distillez de cruels preuves que vous le faites plus par douloureuse conviction qu'autre chose.
Car croyez-vous que j'ai été douloureusement le seul à observer ce douloureux phénomène sur l'odieuse Capitale ? Non, au moins une autre personne a pu vérifier mes douloureuses allégations d'elle même... à un cruel moment différent d'ailleurs. De plus, vous vous permettez de me poser tant de cruelles questions sur mes douloureux capteurs et leur efficacité... et si je vous disais que les cruels Seigneurs ont envoyé des espions directement sur place vérifier les données numériques de leurs propres yeux ?
Son sourire reste entier et presque provoquant. Le regard reste fixé sur son interlocuteur principal.
Quoi ? Vous croyiez vraiment que la nécessité de disposer d'une douloureuse vie biologique pour construire une sonde, et que le fait de douloureusement avoir à en sacrifier des milliers durant un douloureux espionnage, était quelque chose fait cruellement au hasard ?
Vous pouvez bien être un douloureux beau parleur, tenter de justifier l'injustifiable par de cruels arguments, que cela ne marchera pas, car vous avez commis la pire erreur possible à notre égard : vous avez délaissé les douloureux faits... et ainsi donc... vous mentez.
Peut-être à vous même seulement, mais qu'importe, cela est bien douloureusement suffisant pour l'odieux Seigneur que je suis. 
L'hémicycle commença légèrement à trembler, le regard du Seigneur se tourna légèrement.
Je crois donc qu'il est douloureusement temps. Je ne pense pas avoir le temps de douloureusement vous traquer pour vous capturer et odieusement vous dépecer vif et vous extorquer votre cruel savoir sur ce Dieu... je crois donc qu'il est temps de passer à la douloureuse solution... impossible. Je crois que les douloureuses preuves s'accumulent... même Lui semble être douloureusement indécis.
Ignoblement risible...
Le regard mauvais de la créature se retourne vers Lee, pendant qu'au même moment...
Je ne sais pas si le cruel Dieu dont vous essayez de protéger le secret est bel et bien un Humain, comme ce cruel vieil homme à barbe que vous utilisiez comme exemple pour votre infâme boutade. Mais ce dont je suis certain, c'est qu'il est bien aussi pathétique qu'eux. Voyez par vous même... ce dernier croit peut-être que revenir en arrière changera douloureusement quelque chose.
Il est cruellement aussi naïf qu'un douloureux esclave apeuré d'être allé trop loin. Il tente à présent de camoufler son cruel acte en faisant comme si jamais rien n'était douloureusement arrivé... mais il est déjà trop tard. Le monstre l'a déjà vu...
... une troupe d'hommes armée pénétra dans l'Hémicycle, commençant à prendre possession des lieux.
... et vient s'emparer de sa cruelle oeuvre.
Tout à coup... cette porte me paraît douloureusement bien moins inquiétante... entre mes douloureuses mains. 
La créature lâche un infâme ricanement, si monstrueux qu'il n'y a aucun doute sur le fait que celui-ci est... sincère ?
Sceller définitivement ce qui se cache derrière... ou bien révéler à l'odieuse Galaxie ce qui s'y trouve... ou bien encore tout simplement l'utiliser pour notre propre compte... pour la souffrance. Tant de douloureuses possibilités, d'autant plus que quelqu'un semble avoir fait tout le douloureux et ignoble travail à notre cruelle place... sans se douter de rien... je suis certain... qu'elle saura cruellement se reconnaître.
Presque à croire qu'il s'agit ici d'une douloureuse coïncidence que l'odieuse Capitale tombe maintenant... comme si un cruel et ignoble monstre attendait patiemment... dans l'ombre... ce cruel et fatidique instant... guettant sa présence. Mais j'oublie encore de vous préciser... que les infâmes Seigneurs ne croient pas aux odieuses coïncidences. Pensez en douloureusement ce que vous vous voudrez. Hé hé hé.
Le sourire monstrueux de la créature ne perd pas en vigueur, si grand, à croire que celui-ci ne le gêne pas pour... parler ?
Dieu est à présent douloureusement dans une cruelle impasse. Cassandre... son douloureux pion visible unique vient de cruellement tomber. Il n'existe donc plus aucun moyen réel pour lui de faire transmettre un quelconque signal électromagnétique dans l'odieux Hémicycle, et donc en soit, dans l'odieuse Assemblée
... car si il en est douloureusement autrement... si nous enregistrons une quelconque douloureuse activité à l'Assemblée vis à vis de cette odieuse porte... c'est que Dieu nous aura prouvé une fois encore qu'il est capable d'utiliser ses odieux pouvoirs selon ses cruels desseins. Car cela ne serait possible que si son cruel pion... était capable de se mouvoir...  de fuir... de recevoir des mondes... de cruellement se dissimuler dans le reste de l'odieuse Galaxie... comme nous... pour garder un odieux contact avec notre infâme Assemblée.
L'odieux Seigneur ricane toujours monstrueusement.
J'ai hâte de voir ce qu'il en sera douloureusement... quoi qu'il en soit... une douloureuse porte sans maître nous attend odieusement... oui... nous. Car les Seigneurs comptent bien se montrer cruellement généreux et déférant envers tous ceux ayant cruellement voulu combattre l'odieuse Divinité. Vous comprendrez peut-être bien tous assez tôt... sauf vous... Lee. Vous sembliez douloureusement si sûr de vous... que rien ne justifierait votre cruelle présence ici... un homme de conviction dîtes-vous ? Prouvez-le douloureusement...
Alors que Lee baignait toujours dans cette pénombre sans l'once d'une moindre crainte de la part de la créature, quelques hommes d'armes commençaient lentement à s'approcher de lui, accompagnant les propos du cruel Seigneur.
...si vous ne croyez douloureusement pas avec certitude à la présence de ce fameux Dieu... à son interférence... malgré les preuves que je vous ai apportées... partez cruellement d'ici... avant qu'il ne soit douloureusement trop tard... ou avant que je n'exige à mes hommes votre cruelle saisie pour vous infliger les odieux supplices que je vous réservais. Après tout, notre odieuse discussion n'a plus rien à apporter...
Car les cruels faits parleront d'eux mêmes... à votre place...
Le sourire inhumain du monstre reste fixe. Il ne peut se retenir de lâcher un autre ricanement. Cela confirme la satisfaction terrible de la créature, qui se fait entièrement ressentir à travers son regard monstrueux. Celui d'un être sadique, se réjouissant tel un cruel chasseur d'un ignoble piège se refermant. Sur son interlocuteur ? Peut-être... mais pas que...
... mais douloureusement aussi... à sa place.
... car... il savait. Il en était même sûr. IL l'écoutait malgré lui.

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