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Cdt. Mediagarde
Respect diplomatique : 434 
04/08/1019 ETU 18:18 |
Message édité -
Score : 2
Détails
Le commandant Mediagarde rappela ses fourmis balles de fusils vers lui, il en avait marre d'attendre et elles le serviraient mieux en gardes du corps qu'en autres choses. Soudain, un messager entra dans la salle et donna deux lettres à Mediagarde. -Ceci est un décret gouvernemental du cdt.Alderak ! déclara le messager Mediagarde fit un bref mouvement de la tête pour le remercier et il ouvrit le décret. Il découvrit qu'il avait fait des décorations sur la capitale. Des décorations... de noël ? Non, c'est trop tôt. De pâques ? Trop tard... D'anniversaire ? Peut-être... il lui apporterait un gâteau un peu... enfin si il le veut... explosif. Mais dans la seconde partie, il lut qu'il était... cité ?! Il continua alors avec avidité sa lecture pour savoir comment alderak faisait référence à lui ! Mediagarde s'émut... Il allait déclarer quelque chose pour lui. -Oh chose seigneuriale, fit une voix émue, Si tu savais comme tu m'as rendu heureux, enfin j'arrive à prendre de l’importance dans ton cœur !... Cela me remplit de fierté de savoir que le plus cruel des ignobles commandants s'intéressent à moi... Snif ! Oh et puis maintenant, je sais que je vaut quelque chose pour toi... je vaut 1 leem ! Que dois-je faire maintenant pour te rendre la monnaie ?... Te lécher les pieds ? Je pense que mes compagnes seraient ravies de le faire pour moi... Derrière lui, la dizaine de fourmis ricanaient doucement. En attendant, je t'offre mes plus tendres remerciements, pauvre chose seigneuriale et je te souhaite une bonne mauvaise journée.
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Cdt. Mediagarde
Respect diplomatique : 434
06/08/1019 ETU 19:00 |
Score : 1
Détails
Le commandant Mediagarde observait l'assemblée longuement, il se réjouissait de ne pas se retrouver seul et de pouvoir peut-être détrôner la chose seigneuriale. D'ailleurs, où était-elle ? Elle était assise dans son siège, observant avec ses yeux les hommes agonisants dans l'assemblée... avec plaisir en plus. Il décida alors de le titiller un peu. Il s'avança vers lui laissant ces compagnes à l'emplacement où il était et s'installa sur le dessus du dossier sans se faire remarquer. -Alors, on ne dit rien pauvre chose muette ? nargua Mediagarde Alderak n'éprouva aucun plaisir de devoir communiquer avec un pareil insecte. Je sais je sais, j'ai toujours fais éprouvé de la peur dans l'âme des gens quand je leurs adressait la parole. Je le sais que je vous fait tressaillir lorsque vous vous isolez et vous vous dîtes "J'ai eu tord de me mesurer à gars comme lui !..." J'ai toujours eu un physique qui demandait respect, et une âme d'acier ne laissant mes rivaux que soumis à ma volonté. Même vous, vous vous soumettez en ne disant rien pour vous défendre, vous acceptez mes reproches tel un serviteur ! Vous me remplissez de bonheur chère chose, et je vous laisse ainsi le droit selon mon grade par rapport à vous de me répondre !
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