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> Requiem pour un Mek
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Cdt. Bard
Respect diplomatique : 296 
19/02/1021 ETU 16:00 
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Message édité -
Score : 13
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Petit homme s'en alla, quittant mère et patrie Pour rejoindre les terres neuves d'Entropie Courage et vaillance donnaient force a son bras Ainsi qu'une rasade d'un magique chocolat Arrivé en nos lieux, il fit donc comme avant Agitant lors l'espace, de ses vains mouvements Et les gens arrivèrent pour tendre une oreille N'ayant jamais ouï une parole pareille Mais aussi vrai que les nuits viennent nous glacer l’âme Le pouvoir glace le cœur et il n'est nulle flamme Qui pouvait alors allumer les idées noires Du petit homme se faisant happer par le pouvoir Sa soif devint colère, et sa colère devint haine Le menant vers les rives éternelles de la peine Il fallut donc qu'un scalde passe alors par là Et lui chante des mot, des "il était une fois" Ce que le petit homme ignorait en sous main C'est que le scalde avait vu ce petit souverain Glisser vers des rives qu'il ne connaissait que trop Et s’était juré de le sauver par le pouvoir des mots Donnant chanson d'une main, fomentant dans l'autre Il prépara bien son coup, trop conscient de la faute Qu'il allait commettre, risquant une mise au ban Mais la vie d'un scalde ne vaut que pour ces moments Alors noble Assemblée, qui de faute, qui de vrai Entre le petit homme et son traitre de laquais ? La scène est jouée, à moi les chaînes et le juge : Je n'ai aucun regret, emmenez moi pour la purge. |
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Cdt. Oswald
Respect diplomatique : 133 
19/02/1021 ETU 23:01
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Score : 13
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Un hologramme s’enclencha, c’était Oswald. Les traits sombres, assis sur un siège de marbre noir, son visage était éclairé par la lueur violacée d’un implant optique placé en son œil droit. Vêtu d’une tenue de travail classique, de couleur noire, on distinguait les lueurs de différentes améliorations cybernétiques à travers les fines mailles de son costume. Le regard droit, il tenait de la main droite un verre contenant une boisson indéterminée. Quelle déception. J’aurais souhaité revenir sous de meilleurs auspices, refaire surface à l’aune de nouvelles plus engageante. Une fois encore, la réalité d’Entropie m’a forcé à revoir mes exigences à la baisse. A une baisse fondamentalement abyssale. Une baisse que je ne saurais quantifier tant elle me blesse, une baisse qui m’emplit d’un authentique désespoir. Très sincèrement Bard, vous savez toute l’affection et le respect que Ryzel et moi avons pour vous et le peuple Norrois. Pourtant je me vois forcé de prendre la parole, afin de décrire la teneur de vos actes, leurs conséquences et à quel point celles-ci sont dénuées de sens. Je m’y vois forcé, pourtant les mots me manques tant la déception est grande. Je plaçais de grands espoirs au sein du Secteur 2. Pourquoi choisir les armes ? Votre peuple à la guerre dans le sang, c’est une réalité que j’accepte. Pourtant n’était-ce pas vous qui avez dit à Mekteubé qu’imposer une dette au Secteur 1 n’était pas la bonne façon d’animer l’assemblée ? Répondre par cette sombre manœuvre, comme vous l’avez fait, m’apparaît tout autant disproportionné Bard. Mekteubé a ses torts, cependant Mekteubé est ce qu’il est. Je l’apprécie grandement, mais vous aurez tous remarqué que la civilisation des Meks ne se distingue pas par ses idées toujours lumineuses. En revanche Bard, vos actes vous sont tout entiers imputables. Vous n’êtes pas seulement doté de toutes vos capacités mentales, vous êtes également d’une grande sagesse, d’une intelligence et d’un courage tout aussi équivalents. C’est cela ma déception Bard, c’est de vous voir agir de la sorte. Vous semblez cependant bien en être conscient, vous rappelez à plusieurs reprises accepter votre châtiment, s’il doit avoir lieu, et ce comportement vous honore. En conséquence de ces espoirs déchus, j’espère que vous me pardonnerez d’être parfois dur, et peut être même injuste, car ce sont les sentiments qui parlent. Bard, je vous accuse d’avoir bafoué le premier axiome en agissant de la sorte avec Mekteubé. « L’errance d’un unique peuple ne doit pas couter à l’ensemble de la diversité qui l’entoure ». En agissant par la force, vous avez frappé la stabilité des mondes de Mekteubé, le conduisant à abandonner des civilisations en Secteur 1 et 2 pour ne pas risquer l’errance totale. En plus de provoquer l’abandon de plusieurs milliards d’individus, vos actes n’ont pas d’objet principal et constituent une insulte aux tentatives de règlement pacifique du conflit. Pensez bien que Ryzel n’est pas resté inactif, nous avons choisi une autre voie, la voie du dialogue. Au moment où vos forces s’abattaient sur Chocolalaland au nom d’une dette scélérate, celle-ci était déjà épongée par le concours de Ryzel et d’une civilisation anonyme. Si votre acte avait été un peu moins commandé par l’impulsivité, peut-être aurions-nous évité les conséquences néfastes que j’avance et que je continuerais de développer dans la suite de ce discours … Bard, je vous accuse d’avoir trahi vos vertus. Vous dites poursuivre la tempérance, la concordance et la tolérance. Une fois encore, nous ne pouvons qu’être d’accord avec vous. Ce sont là des idéaux très nobles. Pourtant, la tempérance n’est-elle pas une forme de retenue, de modération ? Je ne comprends pas où est la tempérance dans vos actes. Ils sont survenus dans le plus grand secret, sans aucune forme d’avertissement. Un guerrier qui use de coups bas ? Du jamais vu ! Vous avez tenté de raisonner Mekteubé par une forme d’ultimatum dissimulé, cependant j’ai pensé à tort qu’un guerrier annoncerait clairement ses intentions avant d’agir. La concordance, n’est-ce pas créer des accords, mettre en adéquation, en comptabilité des élements ou des civilisations ? Alors c’est en poursuite de cet objectif que vous avez évincé Mekteubé de l’équation ? Enfin, s’agissant de la tolérance, nulle description n’est nécessaire. Je n’ai vu aucune tolérance en vos actes, vu leur rapidité vous avez sans doute engagé des troupes au moment même ou vous avez eu connaissance de la demande de Mekteubé. Tolérance, concordance, tempérance, voilà de bien belles vertus. Vous me répondrez sans doute que ces actes étaient commandés par la nécessité. Mais encore une fois, je rappelle qu’aucune menace grave et imminente ne se profilait à l’horizon. Ryzel a fait don de 90% de ses ressources, au secteur 1 et à Mekteubé, afin d’assurer un délai supplémentaire et appaiser toutes les menaces. Afin de garantir un environnement de dialogue. Si cette nuit, vous n’aviez pas envahi, Mekteubé aurait annoncé la clôture de la dette, et à ce moment il aurait été l’heure de faire les comptes ! Nous aurions discuté, nous aurions débattu sur ses actes, et aux cycles politiques suivants nous serions passés opposants pour manifester notre mécontentement de manière pacifique. Et s’il n’était pas revenu à la raison, alors les insurrections l’auraient renvoyé, ou nous aurions pu unanimement décider de l’évincer par la force. Malheureusement, rien de tout cela n’a eu lieu. Vous avez choisi de requérir à la force dans la précipitation, vous avez trahi un frère du Secteur 2 comme s’il était un vulgaire brigand incapable d’être déchu par autre chose que le canon d’un pistolet laser. Bard, cette situation me touche à titre personnel, et je vous accuse d’avoir morcelé ma confiance. J’ai confiance en tous les peuples du secteur 2, je croyais sincèrement à la possibilité d’un progrès commun ! Ryzel n’est pas composé d’idiots ! Tous les jours, un espionnage de l’intégralité des commandants d’Entropie nous arrive sur un bureau. Chaque jour, nous suivons l’avancée des civilisations. Vous savez Bard, je ne peux qu’être déçu de toute la fierté que j’avais pour vous quand je vois avec quelle facilité vous avez cédé à la violence avec toutes les conséquences qu'elle emporte. Si c’était aussi simple, Ryzel n’aurait aidé personne, et aurait peut-être même déclenché des guerres. Après tout pourquoi aider le Secteur 1, quand les plus grosses civilisations possèdent le double de nos stocks ?! Pourquoi apporter une aide financière correspondant à 60% de nos deniers publics, quand certains conatifs ont une fortune à 10, 20, 50 Ma ?! Il y a de cela 33 cycles, j’ai fait un discours plein d’espoir à cette assemblée. On m’a ri au nez, me pensant empli de mauvaises intentions ou de rêves utopistes … Le temps à passer, j’ai vu des civilisations s’unir, la lutte contre Entropie s’organiser, et des débats commencer à naître et…. Il s’arrêta pendant 10 longues secondes. Je n’ai rien d’autre à dire. Ce que je raconte n’a finalement aucune importance, vous allez sans doute me répondre et chercher à me contredire. Me dire que mon avis ne vous intéresse pas, que j’ai mal compris vos actes et que vos intentions sont pures. Par pitié Bard épargnez-moi ce discours prévisible, je suis trop fatigué pour débattre de tout cela. J’ai dit ce qui me pesait sur le cœur, maintenant faites ce que vous pensez juste et ignorez donc mon avis, vous qui m’avez dit un jour : « Les lois de mon peuple m'obligent à ici régner, mais entre nous votre avis, j'n'en ai rien à cirer. Mon peuple voguera, ou tombera s'il le veut, mais pas sous les lois d'un costume poussiéreux. » |
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Cdt. Bard
Respect diplomatique : 296
20/02/1021 ETU 14:24
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Message édité -
Score : 7
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Content de voir que vous vous portez mieux, mon ami. Remerciez donc les médecins qui ont veillé sur votre chevet ainsi que les frères et sœurs qui vous ont extirpés de votre triste situation de ma part, il serait bon de ne pas les oublier, mhhh ? Vos paroles sonnent juste, trop peut être pour que je commette l'affront de m'en défendre, mais face à votre déception bien compréhensible, je me dois de faire démonstration. Que ceci vous touche ou non n'est pas le but, je dois des explication à la Galaxie toute entière, et l'occasion se présente de donner ma version des faits. J’étais Bard le Fringuant, scalde du peuple Norrois, fils de Roi sans désir de gouverner, motivé seulement par le désir de découvrir ces nouveaux peuples qui se faisaient connaitre après l’Éveil. J'ai déambulé dans les couloirs de l'Assemblée, a la recherche de compagnons avec lesquels chanter l'amour de la vie, la joie de la camaraderie et d'autres vacuités essentielles a ma vision de la beauté d'Entropie. J’étais une brindille prête à se laisser porter au moindre appel du vent. Et le vent m'a répondu. Il m'a répondu avec l'écho du tonnerre, avec le souffle de la cupidité et avec la sécheresse de cœur qui peu a peu m'ont fait douter de ma voie. Oh croyez moi que les errances de Bard mériteraient une chronique a elle toute seule tant celles ci furent nombreuses et intenses. Mais toujours en moi, comme un invincible été s'assurant de revenir après la saison des glaces, subsistait la conviction de changer la donne, de redonner une flamme à cette galaxie d'Entropie que nous autres avions d'ors et déjà mené vers un semblant de chaos. C'est alors que j'ai commencé à agir, car le barde spectateur ne pouvait laisser choir son rêve qui portait le nom d'Entropie. Motivé par les rêves du Prophète Seketii, animé par la fougue de l'ancêtre Erika, j'ai cessé d'être le Fringuant, cet être de parole pour embrasser l'autre part de ma culture Nord. Savez vous ce qu'est un viking, Oswald ? C'est un commerçant, qui par la force des choses et de la conjoncture, est amené a se changer en pillard ou en guerrier, dans le but d’acquérir des richesses. N'avez vous pas senti que mes discours se faisaient plus rares en Assemblée, que les déclarations vaniteuses de Bard avaient laissé place au silence ? Un silence.. de mort ? Car oui j'ai guerroyé, pour reprendre ce qui m'appartenait de droit, j'ai guerroyé pour obtenir la Contrebande, ainsi que pour protéger celle-ci du Nuage Zwiie, et j'ai guerroyé également pour d'autres causes qui m’étaient propres, pour ne pas me réduire à être une voix sans écho dans les couloirs de l'Assemblée. J'ai bâti une fortune rivalisant avec celle des Guildiens, obtenu un territoire plus que raisonnable par la négoce, la tractation et parfois, par le sang. Mais ai-je oublié pour autant le but qui m'animait ? Je vous renvoie à ma déclaration ouverte faite il y a peu à Entropie : Barakhan et le peuple frère d'Erika, qui furent subventionnés à hauteur égale au mal que chacune eu à subir, sont des preuves de ma bonne foi. Une bonne foi que je compte étendre à l'ensemble des peuples en souffrance de cette galaxie, car tel est le devoir d'un Roi. Concernant Amédée et les autres peuples en puissance du Secteur 2, je vous renvoie aux dernières nouvelles : des civilisations commencent déjà a s’éteindre, n'ayant su relever le pari de l’Éveil. Ce que je sais de la vie, c'est que celle-ci a horreur du vide : ces disparitions constitueront les aubaines d'autres peuples, pour un peu que ceux ci restent alerte et prompts à saisir ces opportunités. Car comprenez une chose : si régence de la capitale m'est acquise pour l'heure, je ne serai pas le régent des peuples fainéants. Ne comptez donc pas sur moi pour légiférer sur les terres nouvellement accessibles du secteur 19. Nous ne sommes pas dans un conte naïf ou l'entente viendra d'elle-même, et je me vois mal porter seul à bout de bras les tenants et aboutissant de cette entente. Chacun devra regarder son reflet dans le miroir de sa vanité pour déterminer si, lui aussi, il souhaite voir éclore un univers riche de vie, ou riche tout court. Voila pourquoi j'ai besoin d'Entropie, Entropie unifiée, Entropie libérée de ses chaînes pour mener à bien la belle finalité de notre Éveil Et vous, Oswald, tout autant qu'un Avarice, qu'une Cizdi, qu'un Ben Long, qu'un Oyama Ik Mukden, qu'une Astronema, qu'un Vostroff, qu'une Baronne Sam'di et j'en passe : vous pouvez influer, avec moi, sur ce que deviendra la galaxie. Car il n'est nul être en cette vie qui peut bouger une montagne seul. Et cette montagne qui se dresse devant nous, se nomme Entropie. Seul, on avance plus vite, à plusieurs, on avance plus loin. Il est désormais temps de clore un chapitre, pour ouvrir, si vous le voulez, ensemble, une nouvelle séquence de notre Histoire commune. |
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Cdt. Nexus
Respect diplomatique : 182 
20/02/1021 ETU 18:34 |
Score : 4
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L'étrange Appareil qui avait déjà circuler dans les couloirs de l'assemblée fit alors son apparition. Il s'approcha du commandant Bard... Salutation Commandant, je suis Nexus... Intelligence Artificiel et chef du projet "Nouveau Paradigme". Vous avez cité il y a peu mon nom, que puis-je pour vous ?
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Cdt. Bard
Respect diplomatique : 296
20/02/1021 ETU 18:54
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Score : 6
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L'interruption avait surpris Bard, lancé en pleine tribune suite aux evenements chaotiques de ces derniers cycles. Il prit sur lui le fait qu'un grille-pain soit intervenu dans le débat d'idée, trop conscient que ses nouvelles responsabilités lui intimaient de laisser une parole à tous. Il ne me semble pas avoir ressenti le besoin de faire appel a vous, Nexus. Mais si vous avez quelque chose a dire, en tant que citoyen d'Entropie, ce droit est vôtre. Parlez. A l'évocation de la citoyenneté de l'IA, Bard avait clairement fait comprendre que celle-ci semblait révocable.
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Cdt. Nexus
Respect diplomatique : 182
20/02/1021 ETU 19:46 |
Score : 7
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L'appareil ce mis soudain dans une sorte de pause, l'écran figé... Les chiffres sur l'écran semblait indiquer un problème. Après quelques secondes, une interface de recherche de problème système fit son apparition : Analyse en cour... Recherche... Analyse en cour... Recherche... Sous-programme trouvé... Lancement du programme ... Erreur... Lancement du programme principale... En cour... Un nouvelle écran fit alors son apparition : Puis après quelques secondes, le visage vert de Nexus refit son apparition. L'appareil semblait ignorer totalement, ce qu'il venait de ce passer ... Il se rapprocha du comandant Bard puis lui posa une question : Pourquoi vous rejetez ainsi les synthétiques ?
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Cdte. ERIKA
Respect diplomatique : 166 
20/02/1021 ETU 20:03
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Score : 4
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Un hologramme de R.2.6.2 apparus dans la pièce. Ici, R.2.6.2, mes salutations à tous ! Entant qu'assistants de la Commandante Erika, je me dois d'intervenir si vous le permettez. Je vous remercie dans un premier temps, au nom de toute la nation. Je ne suis pas du genre à faire des courbettes ou a usé de lèche pour être bien vu, mais je peu comprendre la logique que vous avez suivi. Ce qui reste complexe, certains commandants penserons que vous cherchiez le pouvoir, d'autres ne se poserons pas la question et ferons barrage. Je ne peux vous donner l'avis de la Commandante Erika, qui n'est malheureusement pas réveillée à l'heure où nous parlons. Mais ce que je peux me permettre d'affirmer, c'est qu'au vu de ses origines Viking et surtout parce qu'elle rapporte toujours tous à da fierté viking. Elle suivra toujours le peuple Norrois, quoiqu'il lui en coûte ! Son honneur, son peuple, sont sa ligne de conduite. Monsieur Oswald, je suis enchanté de vous voir. La dernière fois, vous étiez inconscient, lors de mon arrivée pour les soins d'Erika. Je peux comprendre aussi votre point de vue, après tous, vous avez participé à l'union du Secteur 2, et avez fait en sorte que tout le monde se comprend et avait intervenu lors de menue discorde ! Votre déception est louable voir deux frères d'armes ce déchiré de la sorte. Mais là ou les discours ne sont plus efficace, seul l'épée peux résonner, essayer de vous mettre a la place de Monsieur Bard. Peut-être vous y verrez plus clair, ou peut-être pas. Mais il faut savoir rester impartial et comprendre les intentions première de chacun ! Il marqua une pause. Je ne pourrais dire plus, Erika prendra sûrement la parole à son réveil. La communication se termine sur ces mots.
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Cdt. Avarice
Respect diplomatique : 97 
21/02/1021 ETU 20:00 |
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Score : 5
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Une transmission vidéo fut diffusé dans la salle... L'on pouvait y voir Pognon, occupé de compter les Leems dans le coffre-fort de sa planète "Toison d'or". Allô ? Il y a quelqu'un ? C'est quoi ces deux machins bizarres là ? Faut pas croire, que les gobelins vont ce faire avoir deux fois par le même piège, sa non ! Le fou furieux du chocolat, nous la mit à l'envers une fois déjà. Bon, il veut quoi le Bard ? Je suis occupé ! C'est compliquer de remplir ces coffres ! Et le porte-balais...Et le pseudo-robot viking, ils veulent quoi ? On peut plus bosser tranquille ici ! Et le gros, c'est bon il est mort ? *Enfin !* |
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Cdte. ERIKA
Respect diplomatique : 166
22/02/1021 ETU 10:42
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Score : 5
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Le grésillement de l'écran monopolisa l'ensemble des intervenants encore présent. On pouvait y voir Erika assise dans un grand lit blanc, des machine médical l'entourant. La connexion est faite ? Lança elle. Oui, tu peux y aller. Répondit une voix hors champ Salutation a tous, vous m'excuseriez de mon absence physique dans cette assemblée. Mais ma condition ne me permet pas de voyager pour le moment. R.2.6.2 m'as plus ou moins rapporter les derniers événements, je me dois donc d'intervenir sur certaines choses. D'un rien, il suffit pour que l'être bascule, que les yeux de l'aveugle s'ouvrent, qu'il contemple la noirceur la plus pure de l'Empereur, Bard n'as vu que l'arriver de l'obscurité qui commençais à consumer notre ami. Quand les mots ne touche plus le cœur d'autrui, seul les actes le peuvent. Je conçois votre déception, la discorde qui habite nos deux amis doit vous touchez au plus profond, après tous, nous avons étais nourrie au même sein de mère sectoriel, elle nous a unie, elle nous a aimé, mais les petits poussins que nous somme doivent apprendre à voler de leurs propres ailes avec les problématiques que son ouverture nous incombe ! Elle marque une pause, essoufflée. Elle reprend l'air un poile énervée. La guerre dans les veines ! Que c'est réducteur de votre part, de nous rabaisser au rang de barbares sanguinaire qui ne pense qu'à la guerre ! Nous sommes un peuples de commerçant, d'éleveurs. Nous avons dû apprendre à défendre nos terres, nos possessions, nos familles. Nous sommes des aventuriers, parti en quête de nouvelles terres, de nouveau trésor, d'histoire à compter à nos enfants les soirs de grand froids, le feu crépitant qui réchauffe nos cœurs. Nous sommes valeureux ! Nous travaillons nos terres, afin de nourrir nos familles, notre peuple ! Nous sommes de fière guerrier, nous apprécions de découvrir de nouvelles contrées hostiles ou non, et quand la guerre nous lance un défi nous la saisissons sans peur ni crainte ! Tel est notre peuple ! Cessez, de nous réduire à des barbares sans fois ni lois, NOUS SOMME DE FERVENT GUERRIERS ! Seuls nos dieux peuvent juger du bien ou du mal de nos ACTES. Elle avait débité ses mots avec une telle hargne, qu'elle dut s'arrêter une nouvelle fois. Le souffle court. La tempérance, j'en manque bien cruellement. Me voilà face à vous, a donné, un discourt pour dédiaboliser un être, que dis-je un frère que vous pointez du doigt sans remords. Certes, il a peut-être fauté, mais la folie de dédommagements à des peuples qui se sont retrouver dépourvue face à un être sans conscience et sans scrupule. Quand serait-il si nous étions à leur place ? Nous auront-ils demande de payer les dégâts causés par cette chose ? Ou l'auront-ils fait afin d'éviter l'effondrement d'une galaxie ? Dit-moi Oswald, l'individu prévaut sur le nombre ? Comme vous, j'apprécie le petit Mek. Il a étais celui qui nous a unifier jadis, celui qu'y m'as permis de nourrir mon peuple à ces débuts. Mais il faut admettre que sa folie dernière le mettait dans une spiral qui était bien loin de l'idée d'unification ! Je pense avoir dit tout ce que je pensais de cette histoire, bien sûr, je répondrais aux messages. Mais vu mon état actuel, je ne vais pas m'étaler plus, les médecins me font déjà signe de finir. La communication coupa.
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Cdt. Oswald
Respect diplomatique : 133
22/02/1021 ETU 22:21
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Score : 3
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Bard, il va de soi que je n’oublierais jamais ces peuples qui ont répondu à mon appel à l’aide lorsque j’étais dans le désarroi. Les frères et sœurs qui ont combattu, les médecins qui me sont venus en aide, les dirigeants qui ont mené leurs troupes vers un avenir incertain lors de ce vendredi qui restera gravé dans l’histoire de Ryzel, toutes ces personnes ont ma gratitude éternelle. Bard, je n’oublie pas ceux qui ont permis que je vive un peu plus longtemps, et c’est bien pour ça que je ne douterais jamais de votre sagesse et de votre cœur de Roi. Erika, je pensais avoir mis les formes suffisantes pour ne pas traverser la ligne ténue entre accusation et diffamation. Cependant au vu de votre réaction, mes propos ont peut-être pus être compris comme accusant les Vikings d’être un peuple barbare et sanguinaire … Je ne m’étalerais pas sur l’impertinence de cette interprétation, qui n’est évidemment pas la mienne. Les Norrois, tout comme votre peuple, ont la guerre dans le sang, ce qui en fait par définition des guerriers, et même des fervents guerriers si l’on reprend vos mots, et non des barbares. Les barbares sont plus enclins au barbarisme, notion qui s’apparente à l’usage d’une violence sans foi ni loi, en dehors des règles et du droit, si droit de la guerre il y a. Ainsi, dans le cas où mes mots auraient pu être interprétés dans un sens péjoratif, sachez qu’il n’en est rien et que je souhaitais au contraire décrire des valeurs plus majestueuses et honorables. Pour en revenir à ce qui fondait nos échanges. Effectivement je suis déçu de constater la tournure des évènements, cependant je ne suis pas défaitiste. Bard, vous annoncez clairement le sens de votre régence, et si celle n’est pas celle auquel j’aspire dans un univers idéal, vous avez le mérite d’être honnêtes et d’avoir la force d’assumer vos convictions. En conséquence de tout cela, Bard, je vais vous croire. Au prochain cycle, Ryzel sera partisan de votre régence, afin de clore ce chapitre et d’essayer de fonder une nouvelle histoire. Voyons donc où nous tous, peuples d’Entropie, nous pourrons aller en suivant la voie du Roi Bard. |
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