Hommage à une méchanique sans âge

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Cdt. Rupert Avery Respect diplomatique : 635 14/12/1012 ETU 22:23

Message édité - Score : 14 Détails 0 : orthographe insuffisante 0 : présentation bâclée 0 : hors sujet 0 : hors role play 0 : message insultant efforts visibles : 1 message adapté : 0 message remarquable : 13 humour décapant : 0 role play intéressant : 0 ROUAGE vous avez toujours été pour moi un orateur et un écrivain de talent. vous maniez l'humour sous toutes ses formes à la perfection, vos mots résonnent comme les grandes orgues d'antan dans les cathédrales de pierre des premiers Hommes. Que jamais plus on ne dise que les machines ne peuvent égaler l'art des être organique, car vous l'incarnez plus que beaucoup d'entre nous. Ne percevez pas ma réponse publique à votre missive comme un acte visant à vous caresser dans le sens de la découpe, mais laissez moi, pour vous, ôter mon chapeau. Car bien que nous soyons opposés sur de multiples points, votre éloquence est un des rouages de cette galaxie et un piston pour mon coeur. Je désespérais également que quelqu'un s'élève contre mon vote. c'était évidemment un acte de manipulation, tellement grossier que je pensais faire plus de vague, engendrez plus de réaction et vous êtes le seul à vous en offusquer! Espoir compte plus de moutons que de commandants visiblement, merci! Vous me rassurez. Mais voila bien la preuve que peu d'entre nous sont réellement capable de gouverner et d'apporter sécurité et sérénité à nos peuples. Nous, Triumvirat, avons des adversaires qui sont de remarquable guerrier et tacticiens, mais je déplore le manque cruel de talentueux politiciens à une exception prêt, et je déplore son absence ces derniers temps. Vous êtes mon combat Rouage, vous êtes ma lutte, et ce soir, mon Luth. Quand bien même le fracas de votre chute raisonnerai avec grand bruit quelques instants, jamais ne se dissiperons vos échos entre les murs de l'assemblée. A vous entendre, rien n'est perdu, peut être ai-je trop tôt baissé les bras? Ennemi d'arme, mais frère d'âme, qu'au rugissement du cerbère réponde le fracas du fer, et qu'Espoir enfin s'éveille!

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