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Secteur 5 : Emergence de l'entropie

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Cdte. Lumina
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01/11/1024 ETU 19:52
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Secteur 5 : Synergie fractale, ou l’art de renaître dans le bordel
Chroniques du grand effondrement #3
À l'attention de l’Ordre du Chaos
Rapport n°4 - Secteur 5.
Mission : Ouverture des voies de l'entropie et mise en place de la synergie fractale en Secteur 5.
Statut : Succés
Bande-son  : AL032 - KAS:ST - The Hymn Of Fallen Dreams
Chère Entropiens,
Comme stipulé dans l'ordre de mission, l'implantation des principes de la synergie fractale est en cours. Les réseaux d'échanges illégaux ont été désorganisés et réorientés sous ma direction. Les anciens points de contrôle bureaucratiques ont été éliminés, et la contrebande, désormais restructurée, fonctionne comme cellule autonome au service de notre cause. Le désordre est soigneusement entretenu pour permettre l’émergence de nouveaux leaders. Le chaos progresse comme prévu.
Le Secteur 5 répond à l’entropie de manière satisfaisante. J’avance, invisible, pour laisser place à la transformation.
Vous trouverez ci-joint un compte rendu des opérations.
Lumina, Emissaire de l’entropie
Envoyée par l’Ordre du Chaos, ce groupe de fanatiques que personne n’a jamais vraiment compris (et franchement, qui a envie de comprendre un club de tarés qui pensent que la destruction, c’est chic ?), elle débarque avec une mission très simple : appliquer la synergie fractale. Traduction ? Transformer le bordel ambiant en quelque chose qui a vaguement l’air de tenir debout, tout en éclatant les quelques restes d’ordre qu’il y avait encore. C’est tout un art, et Lumina en est l’artiste. Pas une peintre douce, non. Plutôt une sculptrice qui taille à grands coups de marteau dans du marbre fragile. Lumina, c’est la commandante qu’on n’a jamais voulu, mais qu’on mérite.
Elle avance dans Secteur 5 comme un coup de vent sur une maison en ruine. Elle ne se bat pas contre le chaos. Elle le chevauche. C’est son terrain de jeu. Ses yeux, deux éclats de verre poli, scannent chaque coin de rue, chaque regard. Rien ne lui échappe. Elle est ici pour faire le ménage, et dans ce bordel généralisé, il y a quelque chose qui la fait doucement sourire : la contrebande. Ah, la contrebande, cette activité tellement vitale qu’on la croirait presque romantique dans ce monde post-apocalyptique. De l’eau, des médicaments, un peu de bouffe trafiquée. Ça pourrait être beau, si ce n’était pas si désespéré.
Quand Lumina a débarqué, la contrebande dominait le Secteur 5. Les petites magouilles faisaient tourner ce qu’il restait de l’économie locale. Le deal, c’était un sourire contre une bouteille d’eau ou une promesse de protection contre un paquet de clopes séchées. Tout un système parallèle qui avait remplacé l’ancien, ce vieux monstre bureaucratique à l’agonie. Sauf que pour Lumina, ces réseaux clandestins étaient encore trop… traditionnels. Trop organisés, trop faibles. Ça puait l’ancien monde, avec ses règles implicites et son côté un peu trop solidaire pour être honnête.
Alors elle a fait ce qu’elle sait faire de mieux : tout fracasser.
Ça commence par une descente rapide, comme elle les aime. Une nuit sans lune, une ruelle à peine éclairée par les braises mourantes d’un feu de fortune. Les contrebandiers sont là, comme toujours, dans ce ballet secret de troc et de promesses murmuré à voix basse. Ils échangent des sacs d’eau, des capsules d’énergie volées aux vieux générateurs, des armes bricolées avec des pièces détachées. Rien que de très banal, dans cette version pourrie du monde. Mais ce qu’ils n’avaient pas prévu, c’est qu’elle les regardait déjà.
Et Lumina ne regarde jamais longtemps sans agir.
Elle frappe comme une entité numérique, une ombre projetée depuis les failles du réseau. Pas de sirènes, pas de lumières vives, juste un bourdonnement électrique qui envahit l'air. Une onde silencieuse et oppressante enveloppe la scène. Ses drones de combat surgissent des angles morts des bâtiments en ruine, se fondant dans l'obscurité avec une précision démoniaque. Chaque unité est équipée de capteurs biométriques et d'armes à impulsion silencieuse, annihilant toute résistance avant même qu’elle ne se manifeste.
Les contrebandiers, déroutés, n’ont pas le temps de réagir à cette attaque d’un autre monde. Leurs dispositifs de sécurité sont neutralisés en un instant, leurs communications brouillées. Certains tentent de fuir dans le chaos, les sirènes internes s'activent, mais l'environnement semble lui-même leur tourner le dos. L'un d'eux, paniqué, essaie de s’échapper par un corridor virtuel, mais Lumina le rattrape dans un flash de lumière aveuglante. Elle apparaît comme un hologramme à la texture fluide, une figure irréelle mais terrifiante, presque indéfinissable.
Elle ne crie pas, elle n'a pas besoin de frapper. Son regard, deux sphères luminescentes sans émotion, le transperce. Autour d’elle, les débris numériques dansent, les particules de données flottent, et d’une voix modulée, froide comme l'acier, elle lui murmure une vérité insondable, gravée à jamais dans son esprit.
«."Le chaos n'est pas la fin, il est la forge où se sculptent les forces de la transformation."»
En moins d'une heure, tout est plié. Les caisses de contrebande sont soigneusement empilées, et les anciens dirigeants de ces réseaux clandestins gisent ligotés dans une cave humide. Pas de procès, pas de discussions inutiles. Lumina ne s'encombre pas des méthodes archaïques. Elle avance, implacable, avec une vision claire.
Détruire ces réseaux ? Trop facile, et surtout, trop stérile. Ce qui l'intéresse, c'est de les remodeler. Ces contrebandiers, elle ne les voit pas comme des déchets à éliminer, mais comme des ressources brutes. Du potentiel non exploité, de la matière à sculpter. Plutôt que de les effacer, elle les restructure, les raffine. Elle ne leur donne pas une seconde chance — elle leur donne un nouveau destin, forgé sous sa volonté.
Sous sa direction, la contrebande devient plus qu’une nécessité. Elle devient une arme du chaos, une pièce maîtresse de la synergie fractale. Désormais, chaque réseau autonome sert l’entropie à grande échelle. Chaque bloc d’échanges devient une cellule indépendante qui peut fonctionner seule, mais qui peut aussi se connecter aux autres pour former une toile vivante, mouvante. Les anciens chefs ne sont plus des trafiquants, mais des capitaines du désordre. Et tout ça sous l’œil implacable de Lumina, qui les guide sans jamais montrer l’ombre d’un sourire.
La prise de la contrebande ? C’était un coup de maître. Rapide, silencieux, d’une efficacité clinique. Mais pour Lumina, ce n’était que le début. Secteur 5 est maintenant une terre d’entropie parfaite.
Lumina n'est pas là pour régner. Elle n'a jamais voulu trôner au sommet des ruines du vieux monde. Elle avance dans les cendres de Secteur 5 comme une silhouette fantomatique, guidée par une mission qu’elle seule comprend : ouvrir la voie, rien de plus. Elle sait que son rôle est temporaire, une pièce dans un jeu plus grand qu’elle. Chaque action qu’elle mène, chaque structure qu’elle démolit, n’est qu’une préparation à quelque chose d’autre, quelque chose qui doit émerger du chaos.
Elle n’est pas là pour être une héroïne ou un tyran. Elle est là pour laisser le vide, pour creuser des sillons dans la poussière afin que d’autres puissent y planter les graines du futur. Le vrai pouvoir n’est pas dans ses mains. Lumina prépare simplement le terrain. Elle forge l’anarchie pour que d’autres puissent s’y élever. Quand tout sera prêt, elle disparaîtra comme elle est venue : sans bruit, laissant derrière elle un monde en pleine mutation, prêt à renaître.
Quelques cycles plus tard...
(Epidose Cynique)
Imaginez. Vous êtes en plein milieu de la fin du monde. Oui, encore. Secteur 5, c’est là que ça se passe. Pas un coin chic, non. Plus proche d’un croisement entre un squat abandonné et un de ces quartiers qu’on filme en noir et blanc pour faire pleurer les bourgeois à la télé. Bref, c’est le genre de décor où la déprime devient mode de vie et l’apocalypse, un plan de carrière.
Ici, on ne résiste plus. On n’en a plus rien à foutre, en fait. Le chaos est devenu une sorte de nouveau chic, une version déglinguée de ce que tu fantasmes parfois dans tes moments de crise existentielle avec une bouteille de rosé tiède. L’ancien monde est mort, ciao, débranché, et honnêtement, plus personne ne le pleure. On savait qu’il était foutu. Les Secteur 3 et 4 sont ouvert , et franchement, le Secteur 5 n’aura mis guères plus de temps a ceder aux assauts de lumina : pathétique mais jouissif. Parce qu’au fond, on attendait ce moment.
Et c’est là qu’apparaît la synergie fractale, ce truc qui ressemble vaguement à un concept de start-up inventé par un mec en jean slim avec une coupe bizarre. Spoiler : ce n’est pas une lubie de hipster, c’est ce qui a permis à Secteur 5 de ne pas totalement partir en vrille. Quand tout s’effondre, il y a toujours des génies — ou des tarés, difficile à dire — pour inventer un nouveau système. Et eux, ils l’ont appelé "synergie fractale". Ça sonne bien, hein ? Comme un cocktail que tu commanderais en boîte à 3 heures du mat, quand tu te sens l’âme d’un révolutionnaire sous coke.
Autonomie modulaire, voilà le premier pilier de cette magnifique utopie fracturée. Ça veut dire que chaque quartier, commandant se débrouille comme il peut, en mode "ne compte que sur toi-même". Plus besoin d’un réseau centralisé, chacun fabrique sa petite vie post-apocalyptique avec des bouts de ficelle, des panneaux solaires faits maison et des générateurs bricolés à la Mad Max. Ça se gère à la cool : si t’as pas d’électricité chez toi, va voir ton voisin. S’il en a, tant mieux, sinon ? Tant pis, t’apprends à vivre dans le noir. C’est l’aventure, mon pote.
Ensuite, la connexion adaptative. Là, on entre dans du sérieux. Imagine une bande de mecs et de nanas qui sont à la fois autonomes et ultra-connectés, mais pas comme tes réunions Zoom pourries. Ici, si l’un s’écroule, les autres réajustent, redistribuent l’énergie, l’eau, les ressources. Pas de panique, l’entropie, c’est la nouvelle normalité. On ne combat pas le chaos, on lui sourit, on fait avec. C’est l’anti-efficacité parfaite, mais au final, c’est ça qui fonctionne.
Et enfin, l’émergence organique. Alors là, accroche-toi, parce qu’on parle de leadership fluide. Pas d’élections, pas de grands discours chiants, juste des gens qui prennent le pouvoir comme ils prennent une cuite : au feeling. Les leaders sortent du lot, non pas parce qu’ils portent des costards cravates, mais parce qu’ils survivent mieux que toi dans ce joyeux bordel. Ils ne dirigent pas vraiment, ils accompagnent. Tu vois ? C’est pas de la gestion, c’est de l’impro. La société devient un truc organique, mouvant, comme ces foules dans les manifs où personne ne sait qui mène la danse, mais tout le monde avance quand même.
Bref, dans ce merdier ambiant, Secteur 5 est devenu une mosaïque bordélique de blocs autonomes, mais qui respirent ensemble, comme un énorme poumon en pleine crise d’asthme. Plus de monnaie, plus de règles centralisées, tout fonctionne sur la nécessité et le troc. Le style, c’est de faire avec ce que t’as sous la main. Un vrai retour à l’artisanat, mais en version dystopique. Et ce qui est fou, c’est que ça marche. Parce que le secret, c’est d’accepter que l’ordre, c’est surfait. L’avenir, c’est le chaos organisé, un peu comme ta vie amoureuse après deux bouteilles de vin.
Dans cette belle anarchie contrôlée, la synergie fractale est devenue plus qu’une méthode, c’est un art de vivre. Plus besoin d’un gouvernement, plus besoin d’une élite auto-proclamée pour te dire quoi faire. Tout est fluide, tout est flexible, tout est... fractal. Les blocs autonomes interagissent, se réorganisent à chaque coup dur. C’est pas sexy comme un film Marvel, mais c’est diablement efficace. Et même un peu poétique, si tu fermes les yeux et oublies deux secondes que tout ce que tu connaissais avant est en ruine.
En vrai, on pourrait écrire des pages sur ce système qui s'auto-régule et qui fait de la destruction une forme d’élévation. Mais tu vois le tableau : Secteur 5 est ce laboratoire du chaos apprivoisé, ce monde où les règles changent chaque jour et où tu dois être prêt à t’adapter à tout, tout le temps. Un jour, tu bricoles une éolienne avec des vieilles pièces d’ordi, le lendemain, tu troques des litres d’eau contre de la viande séchée au marché noir du coin.
C’est là que la philosophie entropienne fait sens. C’est plus que de la survie, c’est une renaissance permanente. On ne lutte plus contre l’effondrement, on le domine. On apprend à danser avec l’incertitude, parce que c’est la seule chose qui ne disparaîtra jamais. Et c’est ça, la vraie leçon du Secteur 5 : dans ce monde en vrac, la seule constante, c’est que tout change. À toi de trouver ton rythme.
Et si ça te déprime, eh bien, tu sais quoi ? Lâche prise. Dans l’univers fractal, l’effondrement, c’est juste une autre manière de commencer quelque chose de nouveau.
Cdte. Catheline Mctakerich
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06/11/1024 ETU 11:30
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Aucune réponse ne parvint après cette annonce, Lumina avait ouvert ce secteur, avait pu faire sa grande déclaration à la galaxie et personne ne semblait s’en préoccuper. La seule chose d’intéressante dans l’histoire était l’ouverture une nouvelle fois d’un secteur, la possibilité d’attaquer des planètes toutes fraiches, des civilisations ne pouvant même pas se lancer d’elles même dans la conquête spatiale.
Cela ne pouvait que faire écho à l’ouverture des précédents secteurs, et surtout au secteur 4 avec de nombreux commandantes et commandants qui réclamaient la protection de ce qu’ils pensent être leurs possessions.
Assise sur son trône de commandement, Catheline observait les retransmissions de l’assemblée, cela non pas dans un grand sérieux mais en se retrouvant presque affalée dans ce siège, suivant les échanges avec un bol de pop-corn salé et profitant du spectacle. Un petit message attira alors son attention du coin de l’œil, remarquant finalement que son propre secteur venait de recevoir la visite des gros poissons de la galaxie.
La capitaine du Belladone se redressa, s’époussetant pour enlever les deux ou trois pop-corn qui avaient ratés sa bouche et réajusta alors son haut pour paraitre moins débraillée. Il était temps de s’adresser à la galaxie !
« Jax ! Branche-moi sur la conv de l’assemblée galactique. »
Un grand gaillard avec la moitié du visage remplacé par des implants de connexion se tourna alors vers sa capitaine, ne fixant plus son poste de communication puis il prit alors la parole.
« Celle la capt’aine ? »
« Mais nous bougre d’andouille ! J’ai pas envie d’financer le hacking de la Hamilton ! Branche moi sur le sujet de l’amoureuse de la mort, la Lumina qui a ouvert notre secteur… Faut bien que quelqu’un prenne la parole la. »
Puis finalement, l’assemblée galactique de Délivrance pourra avoir un premier aperçu de Catheline, une femme rousse aux cheveux coupés sur les côtés de son crâne, permettant à sa chevelure de feu de s’écouler le long de sa nuque tel une cascade orangée.
Notre dame avait des yeux d’un bleu claire comme l’antique ciel terrien, mais des cernes aussi profonds que des fausses océaniques creusaient ses yeux. Son visage était parcouru par de petites cicatrices, preuve d’un passé agité, provoquée surement par des armes blanches.
Son col à peine ajusté était celui d’un uniforme militaire, ressemblant à ce que la marine des anciens temps peut porter, une veste avec des épaulettes d’un or terne et usé étaient visible et des décorations sans véritable sens ornaient sa poitrine.
Catheline fut alors affichée sur l’écran principal de l’assemblé, son intervention autorisée en tant que chef d’une civilisation de cette galaxie mais notre capitaine ne sembla pas le remarquer immédiatement, récupérant dans une de ses poches un porte cigarette en étain, les décorations anciennement présentes sur ce dernier avaient été usée et effacée par les multiples passages dans une poche. La dame viendra alors retirer une cigarette de cette boite, la portant à sa bouche tout en récupérant un zippo de sa poche tout en demandant à une personne hors du champ de vision de la caméra.
« J’te dis quand tu lance, le temps qu’je finisse ma clope puis c’est partit pour les courbettes… »
Un phrase étouffées par la distance entre l’intervenant et le micro sembla être prononcée et les yeux de Catheline se portèrent ensuite sur la caméra, il était évident de comprendre qu’elle venait de réaliser qu’elle se trouvait en direct.
« Hum… »
Elle retira alors la cigarette de sa bouche tout en se redressant encore plus sur son siège, essayant d’avoir une posture plus noble, enfin, de ce qu’elle en comprenait.
« Bonjour à vous tous dirigeantes et dirigeants de la galaxie, c’est un plaisir d’vous rencontrer. J’me permet d’prendre un peu de votre temps pour causer de l’ouverture du secteur 5. Car yep, c’est le mien, enfin mon secteur d’origine quoi.
Car j’vais pas commencer à réclamer les planètes qui s’y trouvent, pour la raison simple que j’ai pas la force d’vous arrêter, que je suis pas préparée à ça et qu’chuis juste la pour faire du bizness et pas pour me prendre la tête sur le fait que mon secteur d’origine arrive dans les mains de gens qui sont pas du secteur 5.
Je sais pas ce qu’en pensent mes voisins, j’les connais même pas tous, la preuve j’viens d’en rencontrer un aujourd’hui. Mais d’mon côté j’vais prendre l’ouverture du secteur par Lumina… Qui on va pas s’le cacher semble avoir un problème à la tête d’avoir ouvert le secteur puis d’s’être barrée comme ça en laissant son peuple sans dirigeant stable.
Bref j’voulais dire de base que j’vais prendre ça pour une bonne nouvelle, l’occasion d’faire des affaires avec plus de monde et d’élargir mon champ d’action.
Donc j’vous connais pas non plus vous tous, j’sais pas si vous êtes la juste pour avoir un joli tableau du nombre de planète sous votre contrôle, ou alors si vous apportez la vérité d’un de vos dieux ou encore si vous voulez juste être de bon gars et aider les pauvres civilisations qui viennent juste de sortir de l’âge de pierre.
Donc j’serais ravis d’vous rencontrer et d’vous connaitre un peu plus, histoire de savoir à quoi m’attendre et de pouvoir commencer à faire des affaires. »
Catheline viendra alors récupérer sa cigarette presque par reflexe, après tout une première intervention à l’assemblée ça peut être stressant et un bon coup de nicotine et de ce gout familier permet de légèrement se détendre. Elle va donc allumer cette dernière, laissant quelques secondes de blanc dans l’hémicycle de l’assemblée galactique avant de finalement reprendre.
« En bref si j’résume, j’viens prendre la parole pour présenter car au final j’l’ai même pas fait au début, désolé pour les manières. J’m’appel Catheline Mctakerich, capitaine du Belladone, leadeuse du Syndicat des libres marchands et dirigeante de quelques planètes du secteur 5, enfin, j’m’occupe de gérer les gars qui gèrent la planète quoi. 
J’chuis là pour faire savoir que mes intentions sont pacifiques, que j’chuis prêtes à échanger avec vous pour faire du bizness et que la galaxie a surement d’la place pour tout l’monde donc si vous voulez qu’on s’arrange pour s’occuper de la racaille comme les brigands j’chuis pour et ensuite on verra pour la gestion des planètes si vous en avez trop à force d’les aligner sur votre tableau d’chasse !
Sur ce, moi j’vous attends soit en public dans l’assemblée, soit dans mes ComX pour les affaires plus privées. Merci pour l’écoute. »
La rousse fera alors signe à la personne hors champ de couper la transmission ce qui se fit rapidement cette fois.
Cdte. Victoria Destoiles
Respect diplomatique : 32

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06/11/1024 ETU 20:36
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Présentation. Nous... Je suis Victoria Destoiles.
Nous sommes la clé. Les autres attendent...
Quelle est votre voie Catheline ?

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