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Cdte. Harley Quinn
Respect diplomatique : 981 
09/08/1016 ETU 22:05 
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Score : 1
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Nan, naaaaaaaan, je ne parle pas de ce qu'il y a à l'intérieur d'un crâne… mais à l'intérieur d'une tête ! Harley le regarda d'un air perplexe, penchant la tête sur le côté en signe d'incompréhension. La mémoire, l'esprit, le caractère, la volonté, les sentiments, les sensations… des courants électriques qui circulent de neurones en neurones pour apporter une information, bla bla bla bli blo blu. On peut voir ces trucs-là depuis des millénaires. Voir comme si on y était. Comme si. Je te parle d'y ÊTRE ! Et c'est exactement ce que je te propose. Une lune de miel dans l'esprit de quelqu'un. Il tourna le regard vers Olorìn. Son sourire s'élargit encore, bien qu'on eût cru cela impossible. Gandalf… Action ou Vérité ? La blondinette regarda la main gantée sur la sienne. Et cela ne la fit pas frémir un instant. Elle releva la tête et fixa le Joker. "Tu t'moques peut-être de savoir ce que sont devenus ces gnards. C'est pas mon cas. Et j'ai mes raisons. Contrairement à toi, je pense que cela pourrait être utile. Mais tu devrais chercher dans ta mémoire, Jok'. J'suis sûre qu'tu l'sais aussi. Si Lia le sait, quelque part au fond de toi, tu l'sais forcément. Peut-être te mens-tu à toi-même ?... Ce serait intéressant, au fond, parce que..." Elle ne finit pas sa phrase. Il y eut une énorme déflagration et elle fut projetée à terre. Elle tomba sur son épaule démise et poussa un hurlement qu'elle ne put réprimer. L'explosion ne dura qu'une seconde. La blonde était à terre, des larmes de douleur lui montant aux yeux. Elle serra les dents, remit son fauteuil en place d'une main et s'y réinstalla. Les yeux brillants, elle sourit au Joker. Derrière elle, Harley lui proposait d'aller prêter main forte aux opposants de la famille Joker. Sans se retourner, elle lui répondit. "J'vois pas pourquoi j'ferais une chose pareille. J'vous aime bien et vous l'savez. La galaxie entière le sait. Qu'ce soit la rousse ou moi-même, on l'a jamais caché. J'vois pas pourquoi je prendrais les armes contre des personnes que j'estime. T'vois Harley, tu m'demandais si j'étais cap' d'aller contre mes convictions... Il aurait déjà fallu qu'tu comprennes que dans mes convictions, l'amitié passe avant tout. On ne trahit pas des amis." Elle plongea un moment dans ses pensées et n'écouta que d'une oreille distraite la réponse d'Harley. Lorsque celle-ci vint se planter devant elle. Elle gagna toute l'attention de la blonde. Puis vint un baiser. Inattendu. Lorsque les lèvres de Harley se détachèrent des siennes, la blonde avait les yeux fermés et goûtait encore cette expérience inédite. Puis Harley éleva la voix et la blonde reprit conscience. "Quoi ? M'embrasser, c'est la folie ?" Puis elle se souvint du début de la phrase et essaya de reprendre pied, son pouce effleurant inconsciemment sa lèvre inférieure. "Ah, oui, non, pardon, la seule chose que nous sommes tous. Folie. Oui, bien sûr. Tu dois avoir raison. Enfin, non. Non, non, t'as tort. La rousse elle, elle est que logique et rationalité. Enfin, était. Maintenant, j'sais pas trop." Elle essaya de rassembler ses idées et de reprendre le fil de sa pensée. "Les galaxies sont pourries, j'suis absolument pas d'accord avec toi. Les galaxies sont magnifiques. C'est les commandants qui sont pourris. Et là, j'te r'joins. A 100 %. 'fin, non. 99 %. Passque y a nous quand même. Et quand j'dis nous, j'parle d'Olorìn dans son ensemble. Passque vous, vous êtes pourris. Mais vous l'assumez. Donc, ça compte pas." La blonde était intarissable, ce qui ne lui arrivait pas souvent... "Après, t'as p'têt loupé kek'z'épisodes, mais la rouquine essaye de moins en moins de répandre sa lumière, comme tu dis. Juste au cas où t'aurais pas remarqué." Le fait de le formuler fit oublier à la blonde le goût des lèvres de son hôte et elle reprit pied dans la réalité. Et sa voix baissa d'un ton. "Déjà, à l'époque d'Utopie, elle était blessée par l'attitude des commandants dans leur ensemble. Et elle se sentait impuissante à changer les choses. Mais à l'époque, y avait Gaby. Et ça, ça changeait tout. Depuis qu'elle a disparu, elle sombre. Et j'arrive pas à la redresser. Gabryelle est ce qui est arrivé de mieux à la rouquine. Et de pire. Par son absence. Elle est devenue sa Némésis sans le vouloir. Son point faible." Olorìn s'arrêta de parler une minute, se demandant si elle n'avait pas trop parlé. De toute façon, il était trop tard. Les mots étaient dits. C'est qu'ils devaient l'être. Pour le meilleur ou pour le pire. "Pour en revenir à l'attitude Olorinesque au fil des galaxies, j'embrasse déjà mon moi. J'suis fidèle à mes pensées. Et mes actes les reflète. Point. Y a rien de plus à dire là-dessus." Puis elle se tourna vers le Joker : "J'suis sûre que t'as déjà choisi mon supplice. Alors, vas-y ! surprends-moi. Vas-tu m'obliger à dire une vérité ou m'faire danser à ta façon ?"
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Cdt. Olhorìn
Respect diplomatique : 3203 
13/08/1016 ETU 10:46 |
Score : 1
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Harley prit un sourire malicieux. "Moi, moi, moi ! Vérité ! Comment t'as trouvé ce baiser ?" La blondinette piqua un fard. "Yo !" Les portes de l'ascenseur s'ouvrirent, laissant entrer les jumeaux. "On a une devinette pour Lucky - et oui on grille la priorité. "On a joué une farce sur Pilgrim, Graham, et nos clones. Que penses-tu que nous ayons fait à ta future femme ?" Un sourire diabolique vit le jour sur le visage enfantin. L'entrée des jumeaux permit à la blonde de faire une diversion. "Z'êtes aveugle ? Voyez pas qu'il est pas là !" Harley en profita. "Alors... Alors c'est à toi de répondre !" Merde. Elle s'était piégée toute seule. Elle piqua un fard derechef. Elle chercha comment s'en sortir, pensa répondre "Par hasard...", mais c'était une question vérité et si elle commençait à louvoyer, ils en feraient autant. Et ça, elle ne le voulait pas. Ne trouvant rien à répondre lui permettant de botter en touche en restant honnête, elle dit la vérité. "Très agréable." Harley posa ses mains sur ses hanches et bascula en avant pour faire un grand sourire à la blonde. "S'ils sont là... N'est-ce pas dans un but précis à ton avis ?" Elle n'attendit pas de réponse et tourna des talons en direction des enfants, pianotant un rapide quelque chose sur son pad personnel. A mesure qu'ils s'approchaient, on put remarquer que la jumelle tenait dans l'une de ses mains un sac contenant de nombreux sachets et bocaux. Harley le leur prit dans un merci et une caresse sur leurs têtes qu'ils n'apprécièrent guère et revint ensuite vers son interlocutrice, s'asseyant sur l'un des accoudoirs. "Ne t'inquiètes pas, il ne s'agit pas de poison. Je leur ai demandé d'amener des anti-douleurs et de quoi te soigner plus proprement depuis leur chambre. Maintenant laisse-moi te soigner." Elle déballa le contenu du sac sur les genoux d'Olorìn, on pouvait y voir des pansements de sutures adhésives, sparadrap, désinfectants, coton et même quelques attelles avec les bandes hygiéniques.
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Cdt. Olhorìn
Respect diplomatique : 3203
17/08/1016 ETU 11:32 |
Score : 1
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Pendant que les enfants faisaient irruption dans la pièce, et que Harley soignait la magicienne… créature… truc immortel… euh… Bref, pendant ce temps, le Joker attendait. Il tapotait sur l'accoudoir de son fauteuil. De plus en plus vite. De plus en plus nerveusement. Et il finit par exploser. *BANG* Le coup était passé à ça du crâne de sa partenaire-de-crime. "C'ÉTAIT MON TOUR, SALE PUTE ! C'ÉTAIT À MOI DE POSER LA QUESTION ! ÇA COMPTE PAS !!" Il haletait, les yeux injectés de sang. Son maquillage coulait à cause de la sueur que l'énervement lui causait — on aurait dit qu'il fondait de rage. Et puis brusquement, plus rien. Un simple rire. Il vérifia son barillet : encore trois balles. "Moi je voulais choisir une action. "Tu sais… Depuis que Gandalf, toi ou la rousse, je sais plus, m'as posé cette question, j'ai cherché. Tu sais, quand "tu" m'as mis au défi de trouver ce que vous représentiez, toi et les autres Gandalfs… La vérité c'est que je n'ai pas cherché. J'ai eu la flemme. Eh ! Qui peut m'en vouloir ? Je suis un homme très occupé… Mais maintenant que je t'ai sous la main, je vais me rattraper ! "Gandalf, voici mon action : tu ne vas pas me donner la réponse à cette question; tu vas nous transporter à l'intérieur de ta tête pour qu'on puisse trouver ! T'es magicienne, pas vrai ? Tu sais le faire, pas vrai ? Menteuse, je sais que tu peux ! Sois pas timide ! "Un voyage en famille au cœur de l'esprit d'une créature bizarroïde, c'est pas ce dont vous aviez touuuuuuuuuuuuujours rêvé ? (il rit, en étendant les bras vers Harley et les enfants) On pourra même y semer la pagaille ! HA HA HA HA HA !" Et de sa poche, il sortit un petit appareil que la Blonde reconnut du premier coup d'œil. Un appareil à Com-X. "Tu as le droit de refuser, bien sûr. Ce sont les règles. On joue selon les règles, pas vrai ? Mais j'ai tout autant le droit, le cas échéant, d'envoyer un petit com-x à une certaine personne sur Tarkya… Une certaine personne avec un goût pour les masques dégueulasses, les costumes violets, et les blagues mortelles… Certaines informations sur une certaine Rousse qu'une certaine Blonde vient juste de nous divulguer, hu hu hu… Je me demande comment elle réagirait !" Et, dans un geste conciliant, il haussa les épaules en ouvrant le plat de ses mains gantées. "Mais je ne dis pas ça pour t'influencer. Voyons !" Olorìn blêmit. Durant un instant, elle ressembla à un lapin galactique prit dans les phares d'une corvette. Elle jeta un oeil à Harley qui se préparait à la soigner, passa aux enfants, revint sur Le Joker... "Mais... Je peux pas !" Le Joker soupira exagérément et prit l'appareil de communication. "Non, non ! Attends ! Tu comprends pas ! C'est pas qu'je refuse ! Je peux pas, tout simplement ! Je sais pas faire !" Le Joker ne la croyait visiblement pas. Elle commençait à paniquer. Voulut se relever. Harley l'en empêcha. Elle retomba dans son fauteuil, son épaule heurtant lourdement le dossier. Elle ne s'en aperçut pas et ne sentit rien sur le moment. L'adrénaline. "Mais enfin, Jok', réfléchit un peu ! T'es un salaud, mais t'es pas un abruti ! Si j'pouvais faire d'la magie, j'srai pas venue dans une saloperie d'voiture ! J'me s'rai téléportée. J'aurai pu récupérer ma dague quand tu l'as éjectée. J'aurai pu envoyer un message télépathique à la rousse. J'aurai pu..." Elle chercha d'autres arguments. "J'aurai pas la gueule que j'ai maintenant ni l'épaule démise. J'me s'rai soignée toute seule et Harley jouerait pas les nurses. Jok' ! "Pis, tu sais, y a pas d'grand secret dans notre existence. Y a un lien qui nous unit et des règles qui nous régissent mais rien de comparable au lien qui t'unit Maël et toi. T'attends pas à un rebondissement. Tu s'rais déçu. Pis ça a pas d'réelle importance, t'sais. Cela fait depuis Utopie qu'on s'balade sans qu'personne s'demande c'qu'on est, ça peut bien continuer comme ça ! On fait d'tort à personne." Elle chercha quelque chose à ajouter. Ne trouva rien. Se tut. Fixa le Joker. Le regard implorant. Puis à voix basse. "Lui fait pas d'mal..."
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Cdte. Harley Quinn
Respect diplomatique : 981
29/08/1016 ETU 19:35
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Score : 1
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Harley s’affairait à soigner Olhorin, décapant blessures, les fermant autant que faire ce peut avec des sutures et les recouvrait de sparadrap. Sa patiente ne se plaignait pas malgré la réouverture des blessures pour bien les soigner dans les règles de l'art. C'était même presque amusant et se rapprochait d'un jeu de poupée, à la différence que la poupée était vivante. Elle jeta un oeil en direction du Joker, visiblement occupé à délibérer avec lui-même sur sa réponse. Juste un peu ? Passionnément ? A la folie ? Pas du tout ? Il pesait le pour et le contre avec ses envies changeantes et cette atmosphère lourde ne semblait à personne à part le Joker. Hey ! Vu que j'ai posé ma question et mon biquet aussi. C'est à ton tour ma choupinette. Elle lui avait prit le visage par le menton, occupée à soigner son arcade puis la relacha lorsqu'elle avait finie et s'attela à caller son épaule démise. La blonde se laissait soigner, attendant avec anxiété une réponse du Joker, scrutant son visage inexpressif et étrangement intact. Lorsque Harley lui parla, elle leva son visage vers elle. "Ben, pour le moment, j'attends encore une réaction de ton biquet, donc on va dire que je te choisis. Action ou vérité ?" Le Joker avait pesé le pour et le contre, les tenants et les aboutissants, le beurre et l'argent du beurre. Il en était arrivé à la conclusion que la loutre du soir ne mangeait qu'à midi, et qu'il valait mieux sucer un esquimau que croquer des glaçons. Qu'on pouvait tromper mille fois une personne, une fois une person… non, attends. On peut tromper une fois mille personn… non, c'est pas ça ; on peut tromper mille fois mille personne… une fois mille personne, et mille personne mille f… AAAH ! On-peut-tromper-une-personne-mille-fois-et-mille-personne-une-fois-mais-on-ne-peut-pas-tromper-mille-fois-mille-personne. Fiouh. « Et ben, si c'est pas de la mauvaise volonté ça ! Mâââdame la magicienne ne maîtrise pas de trucs magiques ! Moi j'dis que t'y mets pas du tien, ma bonne dame. » Un geste de travers fit partir un coup, sans le faire exprès, dans le plafond. *BLANG* Woupsie-doupsie ! « Bon, tu sais quoi ? Je ne te crois pas. Tu me racontes n'importe quoi. Pas de secret ? Alors pourquoi essayer de me faire trouver ? Personne ne s'est demandé ? Et bien MOI je me demande. Vous faites de mal à personne ? Et moi je dis que vous êtes de dangereux terroristes cachés. Et je m'y connais en terrorisme caché. Quoi, t'as peur qu'on mette le boxon dans ta tête ? Rhoooo allez, tu me connais ! Je suis totalement inoffensif ! Demande à Maël, HA HA HA HA HA HA HA HA HA ! » Le canon du revolver regarda subitement la Blonde, entre les deux yeux. « Tu sais si c'est qu'une question de motivation, il me reste encore assez de balles… »
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Cdt. Olhorìn
Respect diplomatique : 3203
31/08/1016 ETU 11:37 |
Score : 1
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La blondinette écouta le Joker. Un sourire froid apparut sur ses traits. Elle écarta Harley avec une extrême douceur et fixa le Joker, l'œil noir de l'arme toujours braqué sur elle. Olorìn s'avança lentement sur son fauteuil se rapprochant du canon. Puis d'une voix calme et sereine, elle s'adressa au Joker. "Tu veux tirer ? Ben tire. Mais ne m'rate pas, c'est un conseil. T'aurais du investir un tout petit peu plus et prendre le modèle à six coups, voire celui à sept ou huit. Parce que là, y t'reste qu'une balle, mon vieux. Alors, utilises-la à bon escient. "Ensuite, deux choses. Premièrement, j'te dis la vérité. Et si t'avais deux sous d'jugeotte tu l'comprendrais. J'suis pas magicienne, moi. 'fin, j'peux t'faire un tour de cartes si ça peut t'amuser, mais ça ira pas beaucoup plus loin. Sans la rouquine ou Merlin, j'peux pas faire grand chose d'autre. Et si ça t'plait pas... Ben, ça changera rien à ça. Deuxièmement, et ça m'attriste de devoir te l'dire, si tu m'tues, comment veux-tu que j'fasse c'que tu m'demandes ? "Et franchement, devoir te préciser ces deux points m'attriste au plus haut point. En fait, t'es beaucoup plus con que c'que j'croyais... Maint'nant, tire si ça t'amuses..." Et elle se rapprocha un peu plus de l'arme.
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Cdte. Harley Quinn
Respect diplomatique : 981
31/08/1016 ETU 23:00
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Score : 1
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"oh... mais.. pffffff.. enfin.. pffff..." le joker plaque sa main gantée sèchement sur son visage, le cachant complètement, sauf un oeil qui regardait dans le vide devant lui. La main qui tenait l'arme se mit à trembler "Ouais, je suis là aussi. Je vous vois... Je sais pas pourquoi il perd son temps avec toi. t'es chiante. tu fais chier meme l'ennui, et tu n'apportes rien au final. tu causes, tu causes, et tu fais rien d'autre que meubler ta propre existence.... en passant ton existence à peter plus haut que ton cul. blonde rousse, vous etes pareilles. creuses. Mais toujours là pour ramener son éloquence de partout. pour. rien. tu vas quand meme rien fiches. tu vas quand meme inventer je sais pas quoi pour faire ce que t'as envie, c'est à dire rien de plus que de t'écouter toi meme parler. C'est pas parce que tu parles bien de la vie que ta vie est meilleure qu'une autre. ALors mOi je dis StoP. le clown il jouera avec quelqu'un d'autre. Un chien. ca ramène des baballes. t'as des centaines de milliers d'années de gros égo d'ancienneté de sagesse auto proclamée, mais tu fais moins bien qu'un chien, qui se bouge pour aller chercher une baballe. Il essaie pas de causer à la baballe pour qu'elle revienne. Il est pas fier quand c'est un autre que lui qui ramène la baballe. ce genre de.. Oh et puis merde. pourquoi je prends mon temps à te causer? Je m'en fous de ce que t'as à dire. Cause donc avec le petit pote en métal, là." Elle était drôlement près de l'arme pointée sur son visage. Il appuya sur la détente. Boum qui résonne.
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Cdt. Olhorìn
Respect diplomatique : 3203
07/09/1016 ETU 11:03 |
Score : 1
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Maël. Elle avait prévu beaucoup de choses, mais pas le retour de l'enfant maudit. Cela pouvait changer beaucoup de choses. Et cela allait en changer, assurément. A la dernière seconde, elle comprit qu'il allait faire feu. Elle tourna vivement la tête, comme si ce simple fait pouvait arrêter une balle, et commença à se lever. Ce léger mouvement lui sauva la vie. Elle commença à crier. "No..." Puis il y eut la détonation. Beaucoup plus assourdie que les précédentes. Etant en train de bouger, la balle ne l'atteignit pas entre les deux yeux, comme prévu. Elle pénétra sous la tempe gauche, se fraya un passage à travers les tissus jusqu'en dessous de la joue droite et ressortit par là, détruisant au passage la mâchoire, réduisant en miettes les quelques os qu'elle trouva et emportant deux ou trois dents en souvenir. Puis elle termina sa course dans le plancher. La tête de la blonde partit en arrière, arrosant de son sang Harley, ses bandages et le fauteuil. Ce dernier se renversa, emportant en arrière Olorìn qui alla rouler près de la fenêtre. Une jambe et une main furent pris de tremblements convulsifs, frappant le sol à un rythme endiablé, sous le regard des quatre (cinq ?) personnes encore présentes. Le pistolet fumait encore. Maël (ou était-ce Le Joker qui était revenu ?) restait immobile, l'arme à la main. Le visage impassible. Les enfants se délectaient de la scène. La pièce était silencieuse. Personne ne bougeait hormis la blondinette frappant de son corps un morse insensé que personne ne pouvait comprendre. Harley restait interdite et regardait, incrédule, sa camarade de pyjama-party allongée à terre. Les soubresauts se calmèrent. Puis s'arrêtèrent. La blonde devint inerte. Elle resta là, allongée sur le dos, une jambe repliée sous elle, les yeux tournés vers les étoiles. Perdant son sang sur le parquet, sur le tapis tout proche. Et ses cheveux rougissaient de n'avoir d'autre utilité que d'absorber le trop plein du précieux liquide. Elle eut une dernière pensée consciente et, dans un râle rauque qui devait être un rire, eut ces derniers mots. "A'ais 'i 'a l'i'a..." J'avais dit pas l'visage... Puis ce fut le noir. Ruby regardait la blonde inerte au sol. Elle s'en approcha en quelques pas. S'accroupit à ses côtés. Pencha la tête. Sourit. La Harley du sommet démocratique regardait la scène, étonnée de voir le retour de Maël en cet instant précis. Elle se jeta sur celui-ci et tenta de lui envoyer quelques crochets bien ajustés. Ses poings passèrent au travers. La jeune femme aux cheveux rouges éclata de rire derrière elle. "Tu ne m'écoutes pas quand je parle, c'est ça ? Je t'ai dit que tu ne pouvais agir sur ce qui se trouvait ici. Tout ceci a déjà eu lieu. Tu ne peux modifier le cours du temps. Simplement le voir, et le revoir, si l'envie te prends." Elle se releva et s'approcha de sa compagne, lui enserrant les bras en une étreinte. "Tu te fatigues pour rien. Regardes donc la fin. On est presque au bout..." La Harley qui se trouvait réellement sur place au moment des faits réagit enfin, se jetant vers Olorìn. A cet instant, deux nouvelles étoiles se mirent à éclairer le jour de leurs lumières malsaine si facilement reconnaissable entre toutes. Le Joker riait devant tant de haine déployée. "Cette fois-ci c'est Ekko, ton ami, qui essayes de te tuer ! HA HA HA HA HA HA HA HA HA !" L'onde de choc balaya à nouveau la surface de la planète, se fracassant contre le bâtiment et envoyant valser ses occupants. Deux fois. Une fois la folie du moment passée et la poussière retombée, Harley et Olorìn avaient toutes les deux disparues et l'ascenseur n'était plus à cet étage. De même que le Joker. Ruby et la Harley qu'elle avait amenée en cet endroit restaient seules. Ruby avait un sourire éclatant. Elle relâcha Harley et la tourna face à elle. "Voilà, ma grande. Maintenant, tu sais ce qu'il s'est passé avec Blondie. Tu sais ce qui a contribué à renverser la psyché de la rousse. Oh, il n'y a pas que ça, bien sûr, mais ça lui a fichu un coup. J'pourrais t'montrer la suite, mais j'pense que te résumer les faits sera suffisant. "Ton double a emmené la blonde avec elle, l'a fourrée dans un véhicule et s'est enfuie de chez toi, avec le Joker aux trousses. Elle a eu le temps d'arriver au spatioport, a mis Blondie dans un furtif en direction du secteur 1. Où elle est arrivée sans encombre. Je ne sais ce qui est arrivé à ton double, mais je suppose que le Joker l'a rattrapée et tuée." Elle se tut un instant, plongeant son regard dans celui de Harley. Puis elle appuya doucement son front contre le sien, ferma les yeux et murmura : "Allez, on rentre, maintenant." Harley eut la sensation désagréable qu'on la tirait de nouveau en arrière. Courte désorientation. Puis elles revinrent toutes les deux à l'endroit où elles avaient quitté le toit, face à face. Est-ce qu'elles avaient réellement quitté cet endroit ? Rapide coup d’œil à droite et à gauche pour récupérer ses repères. Du mal à croire ce qu'il y avait à voir ? Oui, définitivement, mais ça avait l'air tellement vrai... Fin de l'histoire de Blondie. La suite est à lire ici : Dans les archives, il s'agit de la salle nommée : "En route vers les toits du sommet démocratique". Page 4.
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