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Pages : 1
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Cdt. Lucky puke
Respect diplomatique : 363 
28/07/1016 ETU 21:30 
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Score : 3
Détails
Pendant ce temps au royaume d’Oblidiia, le conseiller régent Smyyrk ainsi que le reste du conseil devenait de plus en plus anxieux au fur a mesure des cycles qui s’écoulaient. Les rumeurs sur la disparition du roi Puke se faisaient de plus en plus persistantes et les campagnes de désinformation étaient légion. Le mouvement politique d’opposition au roi était revenu à la charge, clamant que le roi avait tout bonnement oublié et délaissé son peuple et appelait à un grand changement quand a la gouvernance du royaume. Perdu sous les documents et excédé par les bips incessants des nouvelles communications et holo-messages qui arrivaient à son bureau, le conseiller régent se frottait lentement les tempes pour essayer de se calmer et de ne pas exploser. Un conseiller entra dans la pièce en trombe. « Régent Smyyrk ! Le conseiller Dylan est sur la route du retour de Tarkya ! Malheureusement, sa mission a été un échec total ! Nous avons été devancés par la famille des fous et le coup d’état a été étouffé dans l’œuf ! Les flottes andaris se sont aussi incrustés dans le plan d’ensemble, leur pays est en pleine guerre civile ! - Nous pouvons toujours tirer notre épingle du jeu cependant. Zitarg ayant fuit son palais, nous devons continuer a appuyer l’opposition afin que le peuple le renverse. Glissa un des conseillers à l’oreille du régent - Hum… Très bien ! Envoyez Dylan directement à l’assemblée galactique ! Dites lui de foncer la-bas et d’essayer d’enfoncer Zitarg publiquement au maximum ! - Et pour le roi ? - Où en est-on avec le plan E-gnahce ? Général daalwell ? - Nous avons trouvé la cible, elle est en cours de rapatriement au palais à l’heure où nous parlons… L’un des conseillers s’approcha, hésitant et demanda: - Vous… Vous pensez que ça marchera ? C’est quand même gros comme plan… - Je sais, mais si nous le jouons bien, ça peut passer inaperçu jusqu'à ce que le roi revienne. Si il revient un jour… - A-t-on quelques nouvelles ? - Aucune… »
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Cdt. Lucky puke
Respect diplomatique : 363
10/08/1016 ETU 21:01
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Score : 0
Détails
Le conseiller Smyyrk était assis dans son bureau, en train de se délecter d’un bon verre de groblaark (un vin Oblidiien) tandis que son adjoint lui lisait divers rapports quand soudain, un garde vint frapper a la porte. Invité a le faire, il entra, le garde salua le conseiller régent et annonça : « Régent, nous vous avons amené le cowboy. » Derrière lui arriva un homme en tenue de cowboy blanche, propre sur lui. Pour ceux qui ne l’aurait pas reconnu, il s’agissait de Lucky Luv, plus connu sous le surnom du « poète » un cowboy du secteur 1, membre de la YMCA (Young Men Cowboy Association) et le grand rival de Lucky Puke depuis l’enfance. Le poète avança dans la pièce, regardant tout autour de lui la beautée de cette salle finement décoré a la mode Oblidiienne. Il faut dire que le poète n’avait jamais trop fréquenté les palais et semblait assez impressionné par les hautes colonnes de marbre et les décorations clinquantes qui ornait les murs. Le régent Smyyrk se leva et vint saluer le poète avec un grand sourire. Celui-ci termina alors sa contemplation. « Ravi de vous rencontrer également conseiller Smyyrk. C’est un palais somptueux que vous avez ici, bien trop beau pour le bois-sans-soif qu’est ce vieux Lucky ! - Vous nous flattez monsieur le poète, merci encore d’être venu en un temps si court. - Et bien, il faut dire que vos molosses ne m’ont guère laissé le choix. Quand j’ai refusé au départ, ils m’ont regardé comme des chiens affamés regardent un os qu’on a laissé traîner au sol et je vous avoue que je n’ai pas voulu leur donner la satisfaction de me mordre, alors je suis venu ! Que me veux ce vieux pourri de Lucky ? - Rien. A vrai dire, c’est moi qui voulais vous rencontrer. - Oh. Vous ? Puis-je m’enquérir de pourquoi ? - Il se trouve monsieur le poète, que nous avons un job a vous proposer. - Un travail ? Oh, vous avez attisé ma curiosité. De quoi donc s’agit-il ? Le conseiller régent mit les mains derrière son dos et se dirigea vers la grande baie vitré qui se tenait derrière son bureau. Arrivé devant la vitre, il déclara : « Voyez-vous monsieur, Le roi Puke… Est parti. Il a quitté le royaume pour quelques temps et les nouvelles que nous avons de lui sont rares… A ce jour, nous ignorons encore exactement où il se trouve, ni quand il rentrera. - Surement encore parti picoler sa paye dans un rade et dégeuler sa bile… Vous comptez sur moi pour le ramener ? Il réapparaitra tout seul ne vous en faites pas, il le fait toujours… - A vrai dire non, il semble parti en mission pour un moment, et ce n’est pas pour le ramener que nous avons besoin de vous. Voyez-vous, le mécontentement gronde au sein de la population et des politiques du royaume. Beaucoup pensent que le roi nous a abandonné. Nous faisons notre possible pour contenir l’information de son absence mais cela commence a se voir. L’opposition au roi ne cesse d’aller croissante et c’est une chose que nous ne pouvons nous permettre. De plus, le peuple doit continuer a garder espoir dans le roi et a croire que ce que nous faisons est juste. A vrai dire monsieur le poète, si nous avons besoin de vous, c’est parce que nous voudrions que vous le remplaciez. Le silence s’installa dans la salle pendant plusieurs secondes. Le poète attendant perplexe, de voir si tout cela n’était qu’une vaste blague élaboré par Lucky. Plus personne ne parlant, le poète se laissa aller a lâcher un petit « Quoi… ? - Vous nous avez bien entendu. Nous aimerions que vous preniez la place du roi, jusqu'à ce qu’il revienne du moins. - Quoi ? Mais enfin, comment … ? - Oh rien de bien difficile, vous porteriez les mêmes habits que le roi, faites deux trois apparitions publiques de temps a autres, pas trop longues afin qu’on ne s’aperçoive pas de la supercherie, et le tour est joué. Cela sera facile pour vous, vous êtes vous-même un cowboy, vous vous appelez aussi Lucky, et de plus, vous connaissez très bien le roi, toutes ses mimiques, ses expressions… - Mais enfin, vous pensez vraiment que votre peuple est stupide ?? Tout le monde va s’en apercevoir ! Je ne ressemble en rien à cet imbécile de Lucky, je suis bien plus beau, classe et intelligent ! - Vous voyez… vous rentrez déjà dans le personnage ! Entre nous… vu de loin, avec les mêmes habits et un chapeau sur la tête, tous les cowboys se ressemblent. - Qu’entends-je ? Je suis outré ! Vexé ! Stupéfié ! - Calmez vous… Nul besoin de faire l’étalage de tout votre vocabulaire. Répondit-il en souriant - Je refuse ! Pourquoi diable vous rendrais-je service ? Et par la même service a l’homme qui m’a volé le titre de cowboy le plus classe de tout le secteur 1 ? C’est non ! - Ah oui, excusez moi… Je ne vous avais pas encore parlé des avantages de votre position. Vous serez payé évidemment. Je parle pas de clopinettes, mais bien de dizaines de milliards de leems. Vous aurez un titre de roi, vous donnant droit de faire tout ce que vous voulez, aurez autant de servants et de servantes que vous désirez. A la fin de la mission, vous serez récompensé également en terres en nombre abondant, qui seront a vous ad vitam eternam, avec aussi un ranch, des vaisseaux. Ce que vous voulez, nommez le. Le poète s’arrêta de parler un instant, réfléchissant sérieusement a cette proposition qui commençait a sembler alléchante. Il allait répondre quelque chose quand Smyyrk le coupa : « Le plus beau, c’est que vous n’aurez même pas a faire les devoirs du roi ! Nous nous chargeons d’absolument tout pour vous ! Vous aurez juste a profiter, faire quelques apparitions publiques, apparitions au cours desquelles vous pourrez vous présenter et tout le monde vous appellera ainsi : « Le cowboy le plus classe de tout le secteur 1 » Il insista sur cette dernière phrase, séparement bien chaque syllabe en regardant droit les yeux un poète dont un léger sourire commençait a se dessiner au coin des lèvres. Alors, monsieur le cowboy le plus classe du secteur 1 ? Est-ce qu’on a un accord ? » Finit-il en lui tendant la main. Le poète resta quelques instants a regarder la main tendue, puis lui décocha un grand sourire avant de lui serrer la main. Les deux hommes restèrent parler encore plusieurs minutes, dégustant un verre de groblaark ensemble. Lorsque le poète fut sorti. L’adjoint du conseiller s’approcha de Smyyrk. « Conseiller régent : Êtes vous surs que c’est une bonne idée ? Si cela vient a se savoir… Smyyrk le coupa avec un ton glacial - Personne ne le saura. Nous y veillerons. Et si jamais quelqu’un qui ne doit pas être au courant l’apprends, nous nous occuperons de lui comme il se doit… - Et si le roi venait a revenir ? - Il ne reviendra pas. - Mais si jamais il… - Il ne reviendra pas. Nous nous sommes occupés de ça aussi. » Smyyrk coupa court à la discussion, demandant a ce qu’on le laisse seul.
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