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Pages : 1
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Cdt. Zorn'a'Thorn
Respect diplomatique : 760 
18/09/1015 ETU 22:13 
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Score : 12
Détails
... ... Regard à droite. Regard à gauche. En parfaite synchronisation, les deux enfants observèrent les alentours, mais ne purent rien voir. Il faisait trop sombre. Leurs visages inexpressifs se tournèrent l'un vers l'autre. Ils hochèrent à l'unisson puis se levèrent. Enfin, le garçon proposa sa main droite que la fille prit de sa gauche. Après avoir avancé à tâtons pendant quelques instants, ils trouvèrent un mur irrégulier, le longèrent, et appuyèrent sur un interrupteur. La lumière tout d'abord aveuglante, leur permit enfin de discerner les lieux. Les cloisons étaient recouvertes d'armes en tout genre, ainsi qu'une bonne partie du sol. Sans se lâcher, ils attrapèrent chacun une arme. Le garçon un pistolet, et la fille un couteau. Enfin, ils se dirigèrent vers l'unique porte et l'ouvrirent. La porte donnait sur une salle de plus de 300m². Des tanks, hélicoptères et autres armes lourdes remplissaient la majorité de l'espace. Pour garder le tout, une cinquantaine d'hommes et de femmes vaquaient à leur occupation. Les cris cessèrent à l'entrée des jumeaux, et un gaillard s'avança. - Ne seraient-ce pas enfin notre petit prince et notre petit princesse que voilà? Hazard. Tel était son nom. Et il le portait bien. Son apparence entière laissait penser à une hasardeuse rencontre qui fit de lui l'homme le plus laid de l'univers. - Alors, bien dormi? Vous voulez peut-être qu'on vous prépare un bon lait chaud ? Son faciès ne se trouvait plus qu'à quelques centimètres des deux enfants, ses postillons et son haleine putride caressant leur visage. Ne mouftant pas devant les remarques désobligeantes de leur vis-à-vis, ils restèrent plantés là, se tenant la main, et avec autant d'expression qu'un tableau blanc. Enfin, Hazard se détourna et leur lâcha un bout de papier tout en riant. - V'là un mot de vos parents les morpions. Le garçon se baissa sans lâcher la main de sa sœur, et attrapa le papier. Elle l'aida à le tenir, et ils lurent chacun le mot silencieusement. "Une planète nos enfants ont trouvé ? C'est embêtant. Mode d'emploi, pour nos sales petits morpions : L'arsenal mène aux balles, les balles mènent au chargeur, le chargeur mène au flingue, le flingue... mène à la souffrance. ... DES AUTRES ! HA HA HA HA HA. Bisous, Papounet et Mamounette." La lecture terminée, un sourire naquit sur leur visage angélique. Il était temps pour eux de rendre leurs parents fiers.
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Cdte. Harley Quinn
Respect diplomatique : 981 
19/09/1015 ETU 23:34
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Score : 6
Détails
L'adieu est déchirant. En fait elle n'a même pas eu le temps de leur dire au revoir qu'il l'avait déjà prise sous le bras. Mains tendues vers le hangar où ils les ont laissés, comme pour l'agripper et ne jamais le lâcher, elle pleurniche bruyamment. Son rimmel en coulant lui donne un air de clown triste. Et alors qu'il la force à monter dans la frégate, elle se met à hurler en se débattant comme une hyène enragée : " Ooooh mes p'tits bébés ! J'm'en irai pas sans mes p'tits bébés ! - Je t'achèterai un poisson rouge ! Allez monte ! - Nnnooooon !! - MAIS ENFIN TU VAS M'OBÉIR ?!" *ZBAF* Kick dans ta face sale bouffon ! Elle s'élance du pont, court comme une diablesse. Dans sa tête, il n'y a plus que le mot « Bébés » et son cœur serrés qui aient un sens. L'essentiel, c'est qu'elle entre dans ce hangar, qu'elle prenne ses poussinous dans ses bras et les fasse tourner, et tourner, et tourner en riant ! Dix mètres… cinq mètres… deux mètres… " Maman arrive mes biqu— *CLONK* " Arrêtée en plein vol, il jette son fusil-gant-de-boxe et la saisit par le pied, massant sa joue endolorie. 'Pas que ça à faire, non mais. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ " Harley ? Harley ? HAAAAARRRRRLEYYYYYYY !!!!! RE-VEILL-EUH TOOOOOOOIIIIIIIIIIIIIII ! - Hein ? Que ? Quoi ? Hé ! Sale bouffon ! *Sbaf* Mes bébés ! Tu les as abandonnés. Bou hou hou hou hou ! - Maaaaaaais noooooooon. Ils sont avec monsieur Hazard. Tu te souviens de monsieur Hazard ? - C'est le moche là ? - Oui. C'est lui. Tu vois ? Tes bébés risquent rien. - Ooooooh ! Tu es un génie mon biquet ! Fais moi pleins de bisous. Mouah, mouah, mouah.... Héééééé. Pourquoi tu m'amènes là ? C'est quoi cette capsule ? Et pourquoi tu veux que j'aille dedans ? Tu veux venir avec moi ? *sourire* - Alors ça tu vois mon sucre d'orge. C'est une capsule de survie. Et on l'utilise pour se sauver d'un vaisseau quand il va faire un gros " BOUUUUMMMMM !! " pour continuer à RIGOLER ! HAH ! - Oui mais on va pas faire de " Bouummmmmm ", hein mon biquet ? - Non. Mais on est en orbite d'une planète. Et toi tu vas t'occuper de t'y installer pendant que moi je vais m'installer sur une autre pour répandre le goût de la plaisanterie et de la rigolade. - Hééééé. Mais moi j'veux rester avec toi mon biqu... Héééééééééééééééééééééééééééééé ferme pas ce truc ! Ouvre ! Ouvre ! OUVRREEEEEEEEEEEUUUUUUUUH ! JE VAIS TE..." *Sfiuuuuuuuuuuuuuuuuuu*
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