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Lancer une nouvelle partie

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Cdt. Lucky puke
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11/09/1016 ETU 19:06
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Les coordonnées de la base secrète des enfants désignaient le ranch de Lucky.
Se trouvaient-ils là tout du long ? Évidemment que non.
Ils s'étaient tapis au milieu des cadavres de vaisseaux, victimes des ADMs d'une époque maintenant révolue. Et maintenant que Lucky avait mis les pieds dans le laboratoires "secret", ils s'étaient tranquillement installés chez lui, Ivy sous leur garde.
Cdt. Lucky puke
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12/09/1016 ETU 13:57
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Station orbital Myfftilin-2.4, complexe commercial de catégorie B situé en secteur 4.
Emplacement précis :
Centre de ravitaillement des vaisseaux civils.
Lucky et Jim venait de finir de faire le plein de leurs vaisseaux et le moment était venu de prendre des chemins différents.
Les services d’espionnages Oblidiiens avaient indiqué avoir trouvé le lieu de la dernière usine de clonage cachée des jumeaux de la famille Joker et Jim voulait se rendre la-bas pour la faire exploser.
Lucky quand a lui devait se rendre à son ranch ou l’attendait les enfants qui tenaient Ivy captive.
Il était temps de se dire au revoir.
« Tu es prêt ? Jom t’as envoyé les coordonnées ?
- Oui, c’est bon.
- Pas besoin de renforts, sur ? Ca ira ?
- Sur et certain ! T’en fais pas pour moi va, c’est comme si c’était fait !
A vrai dire, Je m’inquiète plutôt pour toi ! Tu es sur que ça va aller la-bas sans moi ?
- Oui, ne t’inquiètes pas… Il… il est temps d’en finir. Et c’est quelque chose que je dois faire seul voila tout. »
Un moment de flottement. Le silence s’installe.
« Bon, bah je crois que c’est là qu’on s’dit au revoir alors !
- Oui… Fais gaffe a toi hein…
- Pas de soucis. Et puis au pire… tu t’rappelles de notre devise de quand on était p’tits ?
« Vivre libre et mourir ! » Finit Jim en levant son poing serré, fixant Lucky d’un regard fier.
Lucky le regarde quelques secondes, un peu perplexe, puis fronce les sourcils et demande alors :
« Hein ? Désolé mais je ne me rappelle absolument qu’on disait ça quand on était mômes… C’était quand ? »
Jim laissa échapper un ricanement amusé,
« Non, c’est vrai... On n’a jamais dit ça en fait… J’sais pas pour quoi j’ai dis ça, c’est juste que…
Il sourit, regarde ses pieds et se gratte au dessus du sourcil, l’air un peu gêné et amusé a la fois.
Le truc c’est que… tu vas sûrement trouver ça débile héhé, mais comme ça fait un peu théâtral comme façon de se dire au revoir, c’est juste que ça m’est passé par la tête et j’me suis dis du coup, enfin… que, que ça sonnait vachement classe quoi… »
Lucky regarda son vieil ami et un grand sourire se forma sur son visage, partant de sa bouche jusqu'à atteindre ses oreilles.
Ils rigolèrent un coup puis Lucky répondit :
« Ça l’est Jim… Ça l'est. Si tu veux tout savoir… c’est même super classe… »
Ils échangèrent quelques derniers sourires francs puis se serrèrent la main comme de vrais hommes de l’ouest avant de rejoindre leurs vaisseaux et d’embarquer pour leurs destinations respectives.
Cdt. Zorn'a'Thorn
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12/09/1016 ETU 16:21
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Un fumet délicat sortaient de la fenêtre de la cuisine. En ouvrant porte, on pouvait constater que la table était mise pour quatre personnes. Ivy, l'ex-nourrice des enfants avait vu sur la porte, et maintenant sur son Cowby qui venait d'entrer. Annie se tenait à sa droite, Baal à sa gauche. Le plat du jour : sandwiches au thon, accompagnés de leurs tomates.
- Bonjour Oncle Lucky. Ou plutôt devrions-nous dire 'Géniteur'. Avant que tu ne t'emportes, écoute nous, car il ne reste plus beaucoup de temps.
Ivy et toi avez reçu du poison. D'ailleurs, il ne devrait pas tarder à faire effet. Vous vous souvenez de la petite fleur lorsque vous avez échoué sur la question de Sheishei ? Qui de nos jours ôte son masque à gaz en plein territoire ennemi sachant que le propriétaire adore les poisons ? Jusqu'au bout tu auras sur nous faire rire.
A l'énonciation de son nom l'homme-chien qui se tenait sous la table sortit de sa cachette.
- Mais nous avons un antidote, un seul. Il sera suffisant pour te sauver toi, ou bien ta dulcinée et son enfant. Pour Jim, tu aurais du l'amener. C'est un peu tard maintenant ha ha ha. Nous te laissons le choix. Tu peux aussi choisir de nous tuer et tous nous condamner.
Le visage stoïque des enfants laissa place à un grand sourire.
- Notre plan ? L'enfant que porte Ivy est un peu particulier. Il s'appelle Hannibal, et il est un nous parfait. Nous sommes un mais possédons deux corps. Notre unique tare. Notre esprit parfait mérite un corps à sa mesure. Et contrairement à tous les clones que nous avons pu concevoir, pour atteindre la perfection il nous fallait un processus de création parfait. Ivy est notre matrice. Nous n'avons pas fait que lui rendre sa fertilité, nous lui avons offert d'être notre nouvelle mère.
Choisis vite, la nourriture refroidit.
Cdt. Lucky puke
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12/09/1016 ETU 21:38
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Il aurait voulu leur tirer dessus. Dès qu’il les a aperçus.
Deux balle dans la tête. Dieu que ça lui aurait fait du bien.
Mais les choses ne sont jamais si simples et Lucky savait que si ils avaient acceptés de le rencontrer en personne, ici chez lui, c’est qu’ils avaient un plan.
Il garda donc ses colts rangés et les écouta.
Au fur et a mesure de leurs déclarations, ce fut la nausée, puis la haine qui s’emparèrent de lui. Peut-on réellement être aussi mauvais ?
Il écouta jusqu'à la fin sans dire un mot. Il eut presque envie de pleurer.
Il regarda Ivy, qui attendait sur sa chaise et elle aussi ne pipait mot.
Il avança lentement vers elle, passant juste derrière la chaise de Baal sans même le regarder.
Arrivé au niveau de la rousse, il eut un léger sourire pincé.
« Tu m’as manqué… » Murmura-t-il alors avant de se pencher pour l’embrasser.
Leurs lèvres se séparèrent au son d’un clic, bruit distinctif de l’armement du chien sur le colt peacemaker.
Lucky se redressa, tenant dans sa main gauche son colt prêt à faire feu collé sur le ventre de sa belle.
Celle-ci le regarda alors avec de grands yeux et Lucky lui rendit son regard. Il semblait déterminé.
Le cowboy dégaina son autre colt et le passa sous son bras gauche, histoire de tenir Baal en joue qui était assis sur sa chaise juste a côté.
Lucky se mit alors à parler, sans quitter Ivy des yeux une seule seconde :
« Si je m’écoutais… je les tuerais tous les deux. Puis j’éliminerais cette chose qui grandit en toi et qui n’est pas notre enfant…
Mais… je ne suis pas tout seul dans cette histoire. Alors je te le demande… Qu’est ce que tu veux, toi ?
J’ai réalisé, depuis que je te connais, que tu n’as jamais vraiment eu le choix. Ou si peu.
Tu es pourtant un être vivant, qui devrait être libre, libre de ses décisions et de faire ses propres choix. Enfin bon… tu connais ma position sur le sujet…
Alors pour répondre à leur question, je veux que tu me dises ce que toi, tu veux vraiment ?
Es tu prêt a mettre au monde cet enfant, ce monstre, à l’élever et le voir grandir, sachant ce qu’il est, d’où il vient et ce qu’il sera et fera sûrement ?
Ne penses tu pas qu’il serait plus facile, voire même mieux, d’en finir une bonne fois pour toutes ? D’en finir avec « eux » - il prononça ce mot avec un ton sec et méprisant avant de repartir sur une voix plus douce – Même si ça veut aussi dire, en finir avec nous… ?
C’est ce que moi je pense, mais… tu as ton mot a dire la dedans, encore plus que moi…
Dis moi, s’il te plait, réponds moi franchement, sans te soucier de ces deux connards…
Ils ne peuvent pas nous faire plus de mal qu’ils ne nous ont déjà fais de toute façon.
Alors Iv’... qu’est ce que tu veux ? »
Cdt. Zorn'a'Thorn
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12/09/1016 ETU 21:55
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- Vas-y.
Lucky tira sur elle, sur les enfants. Le sang coula, mais elle était heureuse. Enfin elle était libre. Libre de choisir sa fin. Leur fin. Mourir à côté de l'homme dont elle était tombée amoureuse.
Mais les mots ne parvenaient pas à sortir de sa bouche. L'instinct d'une mère qui souhaite protéger son petit peut être fort. Parfois même plus important que tout. Lucky la regardait. Il attendait sa réponse. Mais un malaise prit place en elle. Pourquoi prendre ce risque ? Pourquoi les enfants acceptaient-ils de laisser leur sort entre les mains du cowboy.
Et elle les vit. Tout sourire, mais prêt à mourir. Il ne se tenait pas la main. Ils avaient choisi de ne pas mourir ensemble. Elle toucha son ventre, et attendit encore quelques instants. Elle souffla, puis un sourire sur les lèvres elle put enfin sortir les mots.
- Vas-y. Je t'aime, et merci.
Cette fois-ci c'était bon. Elle préférait cette fin, qui les préserverait tout deux dans le néant.
Cdt. Lucky puke
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13/09/1016 ETU 20:34
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Des coups de feu partirent, dans toutes les directions. Les jumeaux tombèrent a terre d’une balle logée en pleine tête. Lucky en mis une de plus a chacun, juste pour être sur.
Le plus dur fut de tirer sur Ivy. Il hésita… et si on pouvait encore la sauver ?
Puis, il la regarda et vit qu’il n’y avait aucune crainte qui transpirait dans son regard.
Après tout, c’était ce qu’elle voulait. Entre mourir d’une balle ou mourir empoisonné, qu’est ce qui est le mieux ?
Il hésite. Elle ne faiblit pas. Il tire.
Ce qui suivit parut comme un rêve à Lucky, comme si rien de tout ça n’était réel.
La déflagration du coup de feu envoie Ivy voler au sol.
Tout autour de Lucky les sons s’envolent, disparaissent pour laisser place à un grand vide sonore. Le silence. L’image sans le son.
Le temps suspend sa course folle, ralentit, jusqu'à atteindre les profondeurs habitables de l’esprit.
Ellipse.
Il tient dans sa belle ensanglantée dans les bras. Elle n’est pas morte. Il n’a pas eu le courage de tirer en pleine tête.
« Qu’est ce que j’ai fais… ? » murmure-t-il.
C’est l’histoire d’un cowboy...non. Rature. C’est une histoire d’amour.
Il pleure, voudrait lui dire tant de choses. Mais il n’y arrive pas.
« Iv’… Pardonnes moi… Je t'aime... ne me laisses pas...» Il s’excuse encore, pour la douzième fois.
Elle ouvre enfin les yeux et cela illumine son visage a lui. Elle sourit, passe sa main tachée de sang sur sa joue. Ils savent tous les deux que c’est ici que la route s’arrête. Seul reste les minutes.
Il la porte jusque sur le porche de la maison et l’installe délicatement dans un des deux rocking-chairs. Le vent du soir vient leur saluer le visage. Elle est pratiquement partie.
Il s’assoit à côté d’elle, sert deux verres de whiskys et lance le vieux transistor qui passe alors cette chanson :
http://tinyurl.com/j3mkwkn
« C’est marrant… Cette chanson me rappelle l’harnokken… Tu te souviens de ça ? C’est là je crois, que je suis tombé amoureux de toi…
Elle le regarde sans dire un mot. Lui, son esprit commence à dérailler et devient tout embrouillé a cause du poison. Ses membres deviennent de plus en plus lourds et ankylosés.
« Même ici, tu trouves pas que ça ressemble à l’harnokken ? Il fait sacrément sombre non ? »
La nuit enveloppe désormais toute la plaine autour de la maison et seul le porche est éclairé.
Lucky semble scruter un point dans la pénombre devant lui. Il lance alors :
« Quand j’étais petit, il y a avait pas très loin de là où on a grandi avec les triplés, un alien monstrueux, un Zablaar qui répondait au doux nom de Krong. Tu vois ce que c’est un Zablaar ? Des sortes de drôles de créatures avec trois yeux et des tentacules rouges sur le crâne.
Bref… Celui-ci était énorme ! Un truc vraiment…. Son cœur fait un bond dans sa poitrine et un jet de sang s’échappe de sa bouche.
Ah… merde… Bref, un truc vraiment affreux, et méchant avec ça le Krong…
Et notre truc tu vois, c’était de se mettre au défi, tu sais, quand t’es petit, tu dis j’suis sur que t’es pas cap et toutes ces conneries… Enfin... bon… Où j’en étais… ? » Sa tête commence a tourner comme a la pire de ses cuites.
« Donc on disait… T’es pas cap d’aller voir Krong et de lui arracher une de ces tentacules…
Et moi évidemment… tu m’connais, j’disais « si, bien sur que si… » Mais, la vérité, c’est que j’avais un trouille bleue de Krong. Il me faisait vraiment, vraiment peur…
Et du coup quand on m’envoyait au défi d’aller la-bas, j’allais jusqu'à sa porte et la, je m’enfuyais en vitesse jusqu’au… »
Ivy tousse du sang. Elle est plus pâle que jamais. Lucky arrête son déblatérage un instant et la regarde.
« Tu sais quoi Iv’… ? Tu es encore plus belle que d’habitude… » dit-il d’un air taquin. Elle sourit en retour et péniblement murmure un
« Je t’aime…
- Moi aussi ma belle… moi aussi. »
Ils restent un moment sans parler, assis dans leurs fauteuils. Lucky se remet à cracher du sang partout par terre et tombe même a genoux. Il a l’impression que son cœur est en train de brûler de l’intérieur et tous ses membres deviennent de plus en plus douloureux.
Avec grande peine, il se redresse jusque sur le rocking-chair. Il tends la main jusqu'à son verre de whisky, l’attrape et en boit une gorgée non sans difficulté.
Après quoi il replonge dans ses souvenirs pendant plusieurs minutes. Puis reprends son histoire la où il s’était arrêté.
« Et donc... je m’enfuyais jusqu'au marché, ou j’allais acheter des tentacules de poulpe, que je peignais en rouge, et que je ramenais a l’orphelinat pour montrer a tout le monde…
Mais il n’empêche, que de toute mon enfance… je n’ai jamais été, jusqu'à seulement frapper a sa porte… J’ai jamais osé, j’ai pas été cap héhéhé… »
Il tourne la tête vers Ivy qui est déjà partie de ce monde sans un bruit. Depuis combien de temps ? Dur a dire.
Il la regarde avec tendresse.
Puis très vite les vertiges de nouveau. La douleur. Il se lève, chute, tente de se relever en s’accrochant a la rambarde du porche. Son cœur bat de plus en plus vite.
Il vomit une dernière fois. Du sang partout par terre.
Quelques pensées partent a ceux qu’il ne reverra jamais, ses amis de toujours, et ceux qu’il a rencontré depuis son arrivée au pouvoir, ses amis de l’horloge. Il aimerait leur envoyer un dernier message mais il est trop tard. Il a mal, affreusement mal, il hurle. Tout son corps souffre comme si il passait dans un broyeur.
Dernier moment d’accalmie.
Ses pensées deviennent erratiques. L’horloge, John Wayne, Oblidiia, Sa mère, les champs de blés, son premier lasso, son saloon, le YMCA, que fait-on de tous ces bouchons de plastiques ? Elle, Ivy. La guerre. La mort. Elle. La vie.
Il finit son train de pensées par un souvenir étrange, une phrase que l’arbre Yggradsil avait prononcé , où était-ce déjà ? Au saloon ? Il ne sait plus très bien et ce n’est pas le plus important.
Il sait que son cœur va le lâcher. Là. Maintenant.
Il repense à cette phrase, pourquoi ? Qui sait ? Et la murmure avant de quitter ce monde :
« Les racines entrèrent,
Des jambes se redressèrent,
Un homme mort traversa le désert... »
Le cœur explose. Il tombe a terre sur le porche aux pieds de sa belle.
Ainsi donc finit l’histoire de Lucky Puke, né Aristid Slaw, Roi des Oblidiiens, et autoproclamé « Cowboy le plus classe de tout le secteur 1 »

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