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Déclaration d’intentions

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Cdte. Éloïse Rosawska
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25/07/1025 ETU 00:40
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Au centre de l’assemblée, sur l’estrade de prise de parole, apparut l’hologramme d’une femme en uniforme militaire vert sombre teinté de rouge. Il n’y eut ni trompettes, ni annonce dans les haut-parleurs. Juste un regard lourd, accompagné de clignements lents, alors que ses pupilles — d’un bleu cendré, aussi pâle qu’un ciel d’hiver — balayaient les tribunes.
 
Depuis sa posture droite, les mains croisées dans le dos, on n’aurait su dire si elle jaugeait les personnes présentes ou découvrait simplement les lieux.
— Camarades, commandants, représentants... Je suis la commandante Rosawska, Haute-Voix de l’Union de l’Étoile Rouge. Notre éveil spatial est encore récent, à l’échelle de cette galaxie, si l’on en croit les rapports de nos analystes sur les archives de ce lieu. Cela ne nous a toutefois pas empêchés de vous observer, et de comprendre le contexte troublé dans lequel notre galaxie semble plongée.
Son regard balaya de nouveau l’assemblée, tandis que sa tête s’inclinait légèrement sur le côté, agitant ses longs cheveux blonds.
— Invectives entre civilisations. Guerres. Chaos récurrent… À vrai dire, peu d’entre vous correspondent à notre définition de ce que signifie être civilisé. Vous abusez d’une fausse liberté, qui ne fait que vous enchaîner à vos instincts primitifs. La véritable liberté, elle, doit être contrôlée. Régulée. Méritée.
La commandante Rosawska détacha lentement ses mains de son dos pour accompagner ses paroles d’un geste mesuré.
— Seul l’ordre peut garantir la prospérité et la paix de tous. Et pour cela, des règles strictes et fixes sont nécessaires. Ce qui, manifestement, fait cruellement défaut à cette galaxie. Car les conflits absurdes ne mènent qu’à la ruine — de toutes les parties. Y compris de ceux qui se croient à l’abri, dans leur passivité méprisable.
Elle laissa un temps. Aucune émotion ne semblait avoir découlé de ses mots. Son ton avait sonné d’une telle logique que toute autre tonalité lui aurait été superflue, presque inappropriée.
— Camarades, commandants, représentants, je ne suis pas ici pour vous faire la morale. Point que certains pourraient trouver ironique, au vu de mes précédents propos. La raison de ma venue n’est autre que vous proposer une autre voie. Une voie pour la paix. Une voie pour l’ordre. Mais surtout, une voie pour la civilisation.
Nouvel arrêt, plus grave. Presque solennelle.
— Cette voie est simple. Elle repose sur trois piliers, trois vérités, trois nécessités : liberté, légalité, leems. Trois mots, souvent galvaudés. Mais dans notre Union, ils ont un sens. Un ordre. Une logique. Car la liberté véritable n’est pas l’absence de contraintes. Elle est l’expression d’un devoir accompli. Elle se mérite. Elle se gagne. La légalité, elle, est la forme que prend l’ordre lorsqu’il devient juste. Elle garantit la cohérence du tout, et la stabilité de chacun. Quant aux leems, ils sont un symbole. Un outil. Une énergie à répartir selon le mérite et le besoin. Pas selon l’avidité ou le chaos spéculatif.
Un éclat vint se glisser dans ses yeux avant de se répercuter dans ses traits. Subtil, dans un premier temps, il se transforma rapidement en l’expression de sa conviction, les étirant avec la lenteur d’un sourire qui n’atteignait jamais vraiment ses lèvres.
— Là où ces trois piliers sont érigés, les peuples prospèrent. Là où ils s’effondrent, les empires brûlent. Et en ce moment… la galaxie est rougeoyante. Il n’appartient qu’à vous d’attendre que les flammes vous aient consumées ou de tenter d’en venir à bout.
Cdt. Hamilton
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25/07/1025 ETU 08:39
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Pfffff
Bla Bla Bla Bla....
pffff
Vous êtes gentille Eloise, et vous faites des efforts visibles... Merci
Mais...
Mais, la réalité est toute autre dans la "vraie vie" dans une galaxie aux secteurs ouverts et ou Aurielle allume des incendies partout.
Oui nous la combattons , nous , l'Alliance... sans nous cacher dans un secteur fermé
Je perds du temps à vous répondre, car peut etre que derrière cette ignorance de la vie galactique affichée dans votre discours, se cache une innocence qui ne peut etre ignorée.
Vous voulez agir pour la liberté et l'egalité? Venez nous rejoindre dans notre combat.
Sinon, Merci de bien réserver vos vœux pieux à votre civilisation
Pffff
Cdte. Éloïse Rosawska
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25/07/1025 ETU 12:11
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La commandante Rosawska prit un temps pour observer son interlocutrice. L’un de ses sourcils était légèrement surélevé comparé à l’autre, signe d’une incrédulité prononcée.
— Commandante Hamilton, c’est bien ça ? Je ne crois pas avoir fait mes classes avec vous. Une telle impertinence ne s’oublie pas. Il serait de bon ton de vous en tenir à « commandante Rosawska » lorsque vous vous adressez à moi. Je ne fais pas partie de vos amis — et encore moins de vos subordonnées.
Avec une portée mesurée, son bras droit balaya l’air.
— Vous semblez avoir confondu constatation et critique. C’est… intéressant.
Elle marqua une pause, ses yeux toujours fixés sur son interlocutrice.
— Quant à vos tentatives lamentables de me rabaisser… j’en attendais un peu plus, venant de celle qui détient ce que l’on nomme la capitale galactique. Vous auriez au moins pu faire l’effort d’articuler une pique digne de ce statut — pas de m’accuser, en somme, de refuser d’affronter des géants avec les poings d’un nouveau-né.
Elle pencha très légèrement la tête.
— À moins que ce que vous cherchiez, ce soit d’ouvrir une nouvelle brèche, dans laquelle l’incendie Aurielle pourrait s’engouffrer sans contre-feu ? Ce serait pour le moins… imprudent.
Une infime crispation de ses lèvres trahit une forme de mépris retenu.
— Je vous suggère de mesurer vos propos avant de traiter une civilisation de lâche. Il serait dommage de confondre témérité et stupidité.
Elle reprit une posture droite, les épaules hautes, le menton légèrement levé. Fière.
— Et puisque vous parlez d’égalité…
Un mince sourire, presque amusé, étira ses lèvres.
— Pour ôter tout malentendu : je parlais de légalité. L’égalité n’est qu’une farce.
Elle marqua un temps.
— Un peu comme votre discours.
Ses traits retrouvèrent aussitôt leur neutralité. Aucune moquerie, aucune colère — seulement le retour du contrôle.
— J’ajoute qu’à aucun moment je ne vous ai blâmée de combattre une menace qui met en péril l’ordre. Bien au contraire. L’Union de l’Étoile Rouge serait honorée de se joindre à vous… le moment venu.
Elle inclina légèrement la tête, dans une révérence ambiguë.
— En espérant, bien sûr, que vous aurez su neutraliser ladite menace d’ici là. Après tout, vous semblez détenir une connaissance absolue de la « véritable réalité » de cette galaxie. Une telle lucidité… Ce genre de menaces ne devrait être qu’une formalité, n’est-ce pas ?
La commandante Rosawska sembla s’interrompre, comme happée par une réflexion inattendue — une nuance rare sur son visage d’ordinaire impassible.
— Mais… dites-moi, commandante Hamilton. Cela fait combien de temps, déjà, qu’Aurielle vous tient en échec ?
Comme pour mettre un terme à cette réflexion, la commandante Rosawska cilla lentement, plusieurs fois. Les secondes passèrent. Un frémissement imperceptible vint troubler ses lèvres, esquissant ce qui aurait pu être un sourire.
— Je conclurai sur une déception : celle d’apprendre que mes paroles vous semblent naïves. Peut-être avez-vous simplement oublié ce que signifie porter une vision.
Elle marqua une dernière pause, son regard accroché à celui d’Hamilton.
— Et si vous perdez votre temps à me répondre… ce n’est pas parce que je suis naïve. C’est parce qu’au fond, vous redoutez que j’aie raison.
Cdt. Hamilton
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25/07/1025 ETU 13:47
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Pfffff
Hamilton laissa échapper un soupir en meme temps qu'un nuage de fumée.
Pffff...
Eloise.... Je vous remercie pour ce discours qui confirme ce que je disais dans mon précèdent message:
Vous n'avez aucune idée de ce que vous dites et de ce qu'est la situation. Vous n'avez aucune idée de ce que je suis, et pire encore, de ce qu'est Aurielle. 
Aurielle est quasi invincible. elle représente une force, une "entité", quelque chose qui n'a jamais été vaincue.... La voilà ma connaissance, ma lucidité
Et pourtant je l 'affronte comme d'autre, mais en étant lucide et sans donner mon avis sur quelque chose que je ne connais pas, que je ne maitrise pas
Et croyez moi je ne tente pas de vous rabaisser: vous le faites très bien toute seule
Je vous laisse avec vos visions et vous souhaite que le retour à la réalité ne soit pas trop rude
Cdte. Éloïse Rosawska
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25/07/1025 ETU 16:07
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La commandante Rosawska s’inclina légèrement.
— Je tiens à vous remercier pour votre réponse, commandante Hamilton. Elle a le mérite d’être… directe. C’est devenu si rare, cette franchise brute, dénuée de toute forme de nuance, de considération diplomatique… ou de réflexion.
Elle se redressa, presque habitée par un sourire.
— Vous affirmez que je n’ai aucune idée de ce dont je parle. C’est vrai, sans doute. Après tout, qui mieux que vous pourrait comprendre une entité « invincible » ? Votre lucidité semble à la hauteur de votre humilité : totale, sans faille, exemplaire. Vous prétendez ne pas donner votre avis sur ce que vous ne maîtrisez pas… tout en expliquant publiquement ce que je suis, ce que je pense, et ce que je devrais faire. Une performance remarquable. Ce n’est plus de la contradiction à ce niveau, c’est de l’art. De la prestidigitation rhétorique à son plus haut niveau.
Ses main se levèrent lentement et s’entrechoquèrent avec la retenue propre à un officier bien élevé. Une salve d’applaudissements à peine audible s’éleva.
— Vraiment. Je suis impressionnée. Une telle assurance, si peu troublée par l’absence d’arguments… Voilà qui impose le respect.
Elle s’interrompit. Son regard balaya la pièce avec une lenteur étudiée. Un clignement de paupières. Rien de plus. Puis, elle se recentra sur Hamilton.
— Je note, commandante Hamilton, votre inquiétude pour mon rapport à la réalité. C’est… touchant. Rare, cette capacité à mêler condescendance et sollicitude avec autant de maladresse. Mais soyez rassurée : mes bottes sont fermement ancrées au sol. Ce n’est pas parce que je ne me prosterne pas devant vos certitudes que je flotte dans les nuages.
Une moue peu convaincue s’invita sur ses lèvres, puis elle reprit :
— Vous parlez d’Aurielle comme d’un dieu ancien — invincible, insondable, intouchable. Soit. Mais à force d’ériger ses ennemis en légendes, on finit par justifier ses défaites à l’avance. Diagnostiquer un adversaire comme invincible, c’est parfois plus confortable que d’admettre son propre enlisement.
Elle inclina à peine la tête, comme pour saluer un adversaire d’échecs déjà à moitié mat.
— Je ne vous retiendrai pas plus longtemps. Vous êtes, à n’en pas douter, fort occupée. Après tout, vous affrontez l’équivalent d’une divinité… Peut-être la mort en personne, qui sait ? Il serait dommage de perdre votre temps à explorer d’autres voies, à envisager de nouveaux alliés ou à réformer des méthodes qui — malgré une coalition entière contre un seul individu — vous maintiennent en guerre depuis si longtemps, que même la date du début des hostilités semble avoir sombré dans l’oubli. Mais vous avez raison : l’expérience, après tout, n’est que la répétition obstinée de ses propres échecs. Que vos certitudes continuent à vous guider
Cdt. Hamilton
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25/07/1025 ETU 21:27
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Iria ne s'inclina pas, meme légèrement
Un léger sourire illumina son visage
Pffff
Bravo Bravo. Sincèrement..
Je ne tenais pas spécialement à continuer cette conversation. Mais il faut l'avouer, vous avez du talent, et êtes sans doutes une oratrice née. Voire meme une actrice? Une star dans votre civilisation?
Seriez vous arrivée au pouvoir en étant une Actrice dont s'est entiché un dictateur? Je l'avoue cette possibilité a effleuré mon esprit.
Car autant la plume est belle, autant la langue est aiguisée, autant le rythme de vos arguments claque tel une mitraillette...
Autant malheureusement, tout ceci est au service d'une totale méconnaissance du sujet que vous abordez. L'emballage est beau mais le cadeau est vide
Vous parlez de mes certitudes, ce ne sont que des constats, des faits
Des faits qui sont documentés. Prenez le temps de lire les archives galactiques vous y trouverez l'illustration de ce que j 'avance
Vous parlez d'Aurielle comme d'un individu... 
PFFF
Pauvre inconsciente...Je n'ai pas besoins de détailler plus loin...
Comme je lai déjà dit, à chacune de vos interventions, vous vous enfoncez. Vous étalez votre méconnaissance, votre inconscience, et donc au poste que vous occupez: votre incompétence
Je vous souhaite une bonne nuit et laisse d'autres commandants qui ont du temps à perdre ,éclairer votre lanterne
Cdt. Xyde
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25/07/1025 ETU 22:23
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Une gradée, médailles et plaquettes de campagnes colorées sur la poitrine coté gauche, elle s'avança droite et raide comme un piquet, marcha au pas de loi, ses pas résonnants de ses bottes noires cirées et ferrés elle s'arrêta au garde à vous...Aucun sourire sur son visage.
Elle se mit au garde à vous pour saluer...
Le majeur et l'index joint, elle les porta sur son épaule gauche, tout en inclinant la tête sec en avant, claquant du talon et dans le même temps, puis rabattant son majeur et son index, de sa main droite vers le sol, paume découverte, elle claqua ensuite la main pour se remettre au garde a vous ...Enfin, elle écarta les jambes et mit ses mains dans le dos, la tête droite. d'une voix sèche, elle commença ...
Que la lumière des étoiles éclairent votre voie Camarade, vous servez l'étoile rouge, nous, nous servons l'étoile verte, je me présente, je suis l'Amirale Sonia Valovsky 
https://i.pinimg.com/736x/3c/a6/71/3ca67122f5634a4e174af2b783949549.jpg
Sonia Valovsky..
Je suppose que votre ordre de Politique est le Communisme, un Communisme pur et dur, il y en a d'autres par delà les étoiles, nous ne nous arrangeons guère avec eux, nous, nous avons un Communisme différent, plus libéral, plus Démocratique, mais là n'est pas le sujet.....Quoi que ... je le dit quoi que, parce que votre discours intransigeant, votre suffisance, rappelle pleinement l'ancien Communisme, pour en revenir à notre sujet... Je doit vous faire une remarque que vous n'aimerez peut être pas ...
Il ne suffit pas d'arriver dans cette galaxie, et commencer a faire la leçon a des populations, qui y sont depuis longtemps, leurs donner des leçons sans rien savoir de l'historique de cette galaxie, et donc de par là même, faire une démonstration de totale irrespect...
Quand on entre dans une galaxie Camarade, on prend le temps d'étudier, les US, les coutumes, l'histoire, les tendances, pas seulement les réactions, des uns et des autres, les différentes races, leurs natures leurs planètes, les différentes politiques, leurs relations, là, seulement, après, on peut enfin l'ouvrir, se faire connaitre enfin, et c'est ce que voulait dire la Camarade Hamilton, très clairement, vous voulez être entendue ? Commencez déjà par étudier a fond tout ce qui vous entoure et pas seulement les premières apparences et ensuite, commencez par vous faire respecter en respectant les autres, sinon....
A vos propos acerbes, vous n'aurez que des propos acerbes en retour !!...Vous n'êtes pas toute puissante ici sachez le !
Cdte. Éloïse Rosawska
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25/07/1025 ETU 23:27
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La commandant Rosawska la laissa calmement finir, écoutant avec assiduité chacun de ses mots. Après un temps, qui lui permit d’absorber chacun des propos de la commandante Hamilton, elle reprit :
— Il est amusant de constater que, malgré vos prises de parole répétées, vous n’avez pas réussi à réfuter un seul de mes arguments. Pas un seul. Vous vous contentez, encore et encore, de marteler votre ancienneté, votre expérience, quand ce n’est pas pour m’attaquer personnellement, comme si cela pouvait justifier vos affirmations sans avancer un seul fait concret. Et cela, sans montrer la moindre preuve de ce que votre soi-disant expérience vous a apporté. Tout ce que vous parvenez à formuler, c’est : « Aurielle très méchante, fait très peur, très puissante, mais moi me battre quand même car beaucoup dans pantalon. » Ça en devient grotesque. Je pense que le message est passé dès la sixième fois.
D’un geste calculé, elle se gratta le menton, mimant une fausse réflexion.
— Vous m’accusez d’ignorance, d’incompétence, voire d’inconscience… mais où est donc votre démonstration ? Où sont vos preuves, vos idées, vos perspectives ? Vous êtes incapable d’argumenter sans lever les yeux au ciel, incapable de répondre sans souffler comme un enfant contrarié.
Puis, comme si elle avait trouver la réponse à ses songes, elle leva l’index au niveau de son visage :
— Vous ne débattez pas, vous soupirez.
La commandante Rosawska recroisa ses main dans son dos.
— Ce n’est pas la lucidité que vous incarnez, commandante Hamilton. C’est la fatigue. Une lassitude prétentieuse, qui confond désillusion et clairvoyance. Et cela ne fait pas de vous une figure d’expérience. Juste une relique à bout de souffle, qui prétend lutter contre un incendie avec cynisme, en y jetant mollement un verre d’eau, et en blâmant quiconque aurait l’audace de vous montrer votre inefficacité.
Elle redressa la tête, un éclat froid dans les yeux.
— Vous prétendez ne pas avoir de temps à perdre pour « m’expliquer » à quelle terrible menace vous faites face. En revanche, vous trouvez le temps de nous étaler votre grande expérience, de souligner ma prétendue ignorance, d’afficher votre intelligence supérieure, votre indéfectible capacité à tout voir, tout savoir, tout prévoir… avec les résultats que tout le monde connaît : le néant. Et quand vient le moment de démontrer ces capacités hors normes, ces véritables dons divins, vous vous contentez de me renvoyer vers les archives, ou d’espérer que quelqu’un d’autre le fasse à votre place… Respectez-vous un peu. Dire une chose ne suffit pas à ce qu’elle soit vraie. Dois-je vraiment vous l’apprendre ? Vous avez beau vous présenter comme la plus ancienne de tous, vous n’êtes pourtant guère plus évoluée qu’un bambin en matière de rhétorique.
Sa main quitta son dos, dans un geste modéré, pour couper net l’air devant elle.
— Alors continuez à mépriser, à vociférer, à prétendre, si cela vous aide à maintenir votre illusion de supériorité. Pour ma part, j’ai mieux à faire que de vous confronter, encore et encore, à vos contradictions et à vos lacunes. L’Union de l’Étoile rouge souhaite construire avec des civilisations capables d’imaginer autre chose que la défaite et le chaos. Visiblement, ce simple concept vous échappe.
Elle se détourna à peine, le ton sec, la voix plus basse, presque lasse :
— Retournez donc à votre martyre, commandante. Et surtout, épargnez à ceux qui veulent bâtir dans cette galaxie les vestiges de votre impuissance et de votre étroitesse d’esprit.
À l’irruption de l’amirale, la commandante Rosawska l’observa approcher sans lui offrir plus qu’une expression dubitative. Elle attendit qu’elle ait fini pour lui répliquer :
— Amirale Valovsky…
Elle inclina très légèrement la tête, avec cette fausse déférence que seuls les diplomates parfaitement insolents savent manier.
— Quelle entrée. On aurait cru assister au lever de rideau d’une pièce militaire. Vos bottes claquent, vos galons brillent, et votre voix tonne. Impressionnant. Presque suffisant pour faire oublier le fond. Presque.
Rosawska sourit. Un sourire mince, étiré, trop poli pour être bienveillant.
— Je vous remercie de votre leçon de bonne conduite galactique. Vraiment. Mais voyez-vous, l’Union de l’Étoile rouge ne recrute pas ses diplomates pour applaudir en cadence ni pour réciter des formules apprises par cœur. Nous sommes là pour construire. Et construire, cela commence parfois par déranger ceux qui ronronnent dans leur confort.
Sa tête se pencha sur le côté, suivit par un cillement.
— Quant au respect… Vous semblez le confondre avec une sorte de soumission silencieuse. Le genre que l’on attend d’un cadet trop enthousiaste, ou d’un peuple fraîchement colonisé. C’est curieux pour une civilisation qui se dit démocratique. Presque comique, si l’on n’était pas censé vous prendre au sérieux.
Pause. Puis, elle reprit plus douce, presque lasse :
— Si, pour vous, “s’intégrer” signifie se taire, s’agenouiller et faire semblant d’approuver ce qui ne fonctionne pas — tant qu’on n’a pas appris tous les patois de la galaxie… Alors vous avez bien fait de modifier votre communisme. Il ressemble à une oligarchie en uniforme.
Elle s’inclina légèrement, cette fois avec un amusement à peine voilé.
— Et rassurez-vous, Amirale. Je n’ai jamais prétendu être toute-puissante. Seulement capable de parler sans trembler. Ce qui, visiblement, suffit à faire sursauter plus d’un ancien ici.
Cdt. Myrrhen
Cauchemards provoqués : 19

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26/07/1025 ETU 13:00
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L'hologramme de Myrrhen apparut sans bruit, vacillant.
Quand on parle de faits et de documents, la Synarchie d'Aelion peut contribuer à sa mesure...
Commandante Eloïse. Comme l'a déjà mentionnée Hamilton, les archives sont de précieuses sources d'informations. 
Et si vous pensez que le passé d'autres galaxies est obsolète, demandez donc aux Commandants des Secteur 1 et 2 ce qu'ils pensent d'Aurielle et de ses agissements. Je crois que vous en avez déjà eu un petit échantillon ici. Certains témoigneront peut-être plus facilement en privé.
A titre d'exemple personnel, notre propre civilisation est actuellement gravement menacée, malgré notre position initiale de neutralité pourtant publiquement annoncée. Et je ne suis pas seul dans ce cas à avoir été attaqué sans sommation.
Vous affirmez à plusieurs reprise votre intention d'être une civilisation bâtisseuse, fière et indépendante.
Qui ne plie pas face à l'intimidation, qui refuse les compromis.
Je serais, je l'espère, encore là pour notez cet exploit quand vous serez confronté à Aurielle.
Le concept de neutralité et la diplomatie ne vous seront d'aucun secours face à elle...
Bien à vous.
Cdte. Aurielle
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27/07/1025 ETU 23:54
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Ne faites pas attention à ma présence ici même, temporaire par la volonté -et crainte légitime- de certains, du moins pour l'instant *Sourire*.
La sombre silhouette d'Aurielle, dans un sillon d'ombre de l'Assemblée, et depuis d'une de ses loges les plus élevés la surplombant, s'était manifestée. Droite, et au regard dirigé vers le centre de cette assemblée, elle adressait ce sourire habituel perçant à travers l'obscurité. Réellement présente ou non, elle manifestait indéniablement avoir été témoin de la scène, sans en ajouter plus.

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