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> Paradoxe ou Oxymore ?
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Cdt. Cassandre
Respect diplomatique : 157 
19/03/1018 ETU 21:21 |
Score : 2
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Une étrange statue occupait le centre de l'Assemblée. D'une voix presque inaudible, elle répétait inlassablement la même question... "Paradoxe ou Oxymore ?"
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Cdte. Asara
Respect diplomatique : 60 
19/03/1018 ETU 22:06 
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Score : 10
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Lorsque le général Féodor Novyi apposa l'index sur l'interrupteur de l'holotransmission, Asara ressentait une violente pression étirer son échine et hérisser le poil des bras. Elle était bien consciente que pour être la digne descendante de son glorieux ancêtre, elle devait tenir son dos droit, le regard peut-être trop raide, trop fixe, mais néanmoins digne, fier et solennel. Elle se voulait être le nouvel Auguste de son peuple, ce n'était pas seulement ce qu'on attendait d'elle, mais surtout ce qu'elle attendait d'elle-même. L'uniforme qu'elle portait était celle d'une véritable impératrice de guerre, ses magnifiques cheveux blancs descendaient dans une magnifique cascade immaculée le long de son dos, dissimulant une chute des reins trop parfaite pour être vue par quiconque. Non, rien qu'apercevoir son visage était un véritable privilège, l'apanage, habituellement, de la très haute caste de l'Empire. Son costume était noir, afin de contraster brillamment avec son teint de porcelaine absolument parfait et soigneusement entretenu. Son regard ferme était surmonté d'une couronne aux allures dantesques, empreinte d'une dorure représentant l'auréole doré du lion, et au centre, en relief, la figure sacrée de l'animal. Son paletot à brandebourgs plongeait vers le bas, marquant une taille fine et contrastant avec une poitrine prononcée, et une bande de tissu rouge traversait en diagonale le vêtement orné de quelques nouvelles dorures, notamment sur les épaulettes sous lesquels des gantelets de métal rappelait à chacun de son peuple les victoires de leur Impératrice. Son paletot finissait en bas de ses genoux, sous lesquels deux grandes bottes de métal également terminait le portrait d'une guerrière pourtant encore si jeune. La transmission traversa le cosmos, promettant monts et merveille, atteignant au bout de plusieurs minutes le point galactique qui avait tant attiré l'attention de par son signal si étrange. L'hologramme de la jeune impératrice apparut alors au beau milieu d'un hémicycle bien vide... - Il y a quelqu'un... ? Demanda-t-elle, haussant la voix volontairement afin de se faire entendre, la surprise se lisant sur son magnifique visage.
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Cdte. Qusaru
Respect diplomatique : 69 
19/03/1018 ETU 22:31 |
Score : 10
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- Alors ? - Ça vient, Prime. Qusaru se tient droite dans son fauteuil de bois blanc décoré de motifs rouges et or. Elle cache son impatience. Depuis qu'on lui a révélé que le peuple Vaotan n'est plus seul dans la galaxie, elle ne cesse de presser ses techniciens pour qu'ils établissent enfin un contact avec ces étrangers. - Alors ? Personne ne lui répond. Ils savent que s'ils répondent encore "ça vient", ou "bientôt", ils entendront son soupir. Le soupir qui signifie que leurs familles sont en danger imminent. Elle tape le sol du bout du sabot. L'air de rien, elle rythme le travail de ses techniciens, qui suivent la cadence et accélèrent. Enfin, en bas à gauche de l'écran géant, une minuscule lumière verte s'allume. Les techniciens s'en éloignent aussitôt pour laisser à Qusaru toute la place nécessaire. - Merci, dit-elle dans un souffle sans même les regarder. Fascinée par l'Assemblée encore vide qui se dévoile, elle en oublie presque de cligner des yeux. Soudain, une voix se fait entendre, là, sur la droite : - Il y a quelqu'un ? Vite, Qusaru active le micro accroché à son oreillette, fixant la créature. - Il y a quelqu'un, répond-elle. Ici Qusaru, Prime de Vaota, en secteur 1. A qui ai-je l'honneur ?
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Cdt. Vernon Arkheim
Respect diplomatique : 56 
19/03/1018 ETU 22:40 |
Score : 9
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La forêt de la planète mère du secteur grouillait de vie, au milieux de ce climat chaud humide et verdoyant se tenait une structure de granite, immaculé, comme si jamais la nature n'avait osé s'en approcher. A son pied une navette furtive déposa en une fraction de seconde trois silhouettes de noir vêtues. L'une d'elle s'approcha des lourdes portes de bronzes et y colla un boitier qui fit s'ouvrir sans aucun bruit mais avec une force monstrueuse les portes de l’édifice. Les trois individus pénétrèrent dans le bâtiment, progressant à vive allure dans les couloirs arrivant enfin sur le centre du bâtiment. C'était un grand Hémicycle , parfaitement conservé avec en son centre une statue avec sur son socle l'inscription « Paradoxe ou oxymore ? » Pendant que deux des silhouettes disparaissaient dans l'ombre la troisième resta devant la statue, pensive. un paradoxe peut aussi être un oxymore....Mais paradoxe ça sonne mieux..oui bien mieux. L'apparition d'une silhouette tremblante sur sa droite lui fit faire un volt-face avec une célérité impressionnante. Il baissa sa garde ne sentant aucun danger et puis admirer la silhouette humanoïde et féminine qui prit la parole. -Oui il y a quelqu'un répondit-il sans que le moindre sentiment ne vienne donner une couleur à sa voix,toisant de toute sa hauteur l'hologramme
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Cdte. Asara
Respect diplomatique : 60
19/03/1018 ETU 22:58
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Score : 6
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La créature en l'occurrence était dotée d'oreilles pointues, quelque peu semblables, donc, mais son teint et ses cheveux pâles tranchant avec la nouvelle arrivante. Celle-ci, elle aussi, était très particulière, et lorsqu'Asara se tourna dans sa direction, surprise, quoiqu'elle ne le démontrait pas, elle l'observa et la détailla longuement, sans répondre. Elle conservait sa droiture et sa pureté dans son regard, tout cela témoignant du statut dont elle jouissait au sein de son peuple : celle de la représentation-même du pouvoir. Une autre femme dirigeante, donc, mais visiblement encore jeune, certainement inexpérimentée ? Qui sait. Tandis que la nouvelle-arrivante, aux cheveux anthracites, elle cependant, transpirait la sagesse. Asara abaissa très subtilement son buste, de manière respectueuse, sans pour autant verser dans trop de respect. - Je me nomme Asara, Asara Ardanius. Sainte-Impératrice de l'Empire Doré d'Ardénam. Mon peuple est également du Secteur 1, comme vous l'appelez. Nous, nous nommons cette partie de la galaxie "Sector Primordium", ce qui signifie le "secteur de l'avènement" en quelque sorte. Elle marqua une pause après ces brèves salutations, observant la situation désormais avec un peu plus de recul. La jeune femme qui lui faisait face se tenait tout aussi droite qu'elle, si ce n'était plus. Asara ferma les yeux, quelques secondes, avant de les rouvrir et de reprendre. - Je suppose que vous n'êtes pas originaire d'ici. J'aurai aimée connaitre la raison de ce signal et de l'existence d'un tel hémicycle. Par la suite, elle avisa la statue du regard, au centre de tout. Et maintenant qu'elle y portait son attention, il lui sembla entendre quelque chose... des mots. Elle se rapprocha de la sculpture, les oreilles à l'affût. "Paradoxe ou Oxymore ?" Telle était la question que l'engin de pierre répétait inlassablement. L'arrivée d'une seconde personne, un homme cette fois-ci, perturba un peu plus la jeune femme qu'était Asara, quoiqu'encore une fois, elle ne démontrait pas cette subtile confusion. Elle observa l'homme, puis abaissa à nouveau légèrement le buste en guise de salutations. L'homme en question avait murmuré quelques paroles concernant celles de la statue, elle se tourna donc entièrement dans sa direction, d'un unique pas typé militaire tandis que son dos restait pertinemment droit. - Savez-vous de quoi il s'agit ? Demanda-t-elle à l'attention de l'homme, autant que de la précédente arrivante.
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Cdte. Qusaru
Respect diplomatique : 69
19/03/1018 ETU 23:24 |
Message édité -
Score : 5
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Une seconde entité se présente. Un autre humanoïde, visiblement. A peine visible sur son écran. Si, comme la jeune femme aux cheveux clairs, elle était apparue sous forme holographique, elle aurait pu mieux le détailler. Mais elle n'a accès à l'Assemblée qu'à travers un écran, géant de son côté, probablement plus petit de l'autre. Elle trépigne donc intérieurement, les mains sagement croisées sur ses genoux, frustrée. Demain, elle demandera à des techniciens plus compétents de lui fabriquer un émetteur holographique longue distance. - Ravie de faire votre connaissance, Sainte-Impératrice, et... monsieur, dit-elle en hochant légèrement la tête, en s'adressant aux deux visiteurs, bien que le second ne se soit pas encore présenté. J'ai aussi reçu ce signal, et je suis tout aussi curieuse que vous. Tendant le cou, bien que ça soit inutile par écran interposé, elle tente de mieux examiner la statue centrale. - Sans doute une artefact d'une civilisation oubliée, conclut-elle simplement, attendant une explication plus poussée. Comment avez-vous trouvé ce lieu ? demande-t-elle à l'homme qui, lui, se trouve physiquement dans la pièce.
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Cdt. Edellsen
Respect diplomatique : 15 
19/03/1018 ETU 23:46 |
Score : 8
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La salle qui était restée longtemps silencieuse s’animait petit. Ici et là, des hologrammes s’activaient, révélant des personnages aussi divers que variés. A nouveau, un des hologrammes s’activa, révélant le visage d’une femme. Jeune ou âgée ? Blonde ou brune ? Difficile à dire, la qualité de l’image holographique était véritablement médiocre. Le système semblait quelque peu rouillé, les particules de l’hologramme saccadaient, disparaissaient, ou s’éteignaient parfois sans raison. Par dessus se brouillon de particules qui tentaient difficilement d’afficher quelque chose se faisait entendre une voix cristalline. "Mes petits chéris, vous êtes là ? Aaaah, que ça me fait plaisir de pouvoir vous saluer ! Vous savez ce que s’est, on nous annonce qu’il y a plein de beau monde qui discute mais vous devez attendre que leurs machins fonctionne. Ah la la, mais regardez vous, que vous êtes jolis ! Oh ! Mais j’ai oublié de me présenter, je m’appelle Cassiopée Edellsen mais appelez moi Cass’ !" L’hologramme s’était définitivement figé en plein milieu de son élocution. On pouvait voir plus clairement le visage d’une femme allant sur ses quarante ans. Les cheveux coiffés en queue de cheval et le visage ornée de ce qui semble être une couronne ou une tiare. L’hologramme, composé uniquement de particule dorée ne laissait rien paraître d’autre. Elle écoutait attentivement ce qui se discutait dans la salle, toutes les petites questions que tout le monde se posait mais auxquelles personne ne semblait avoir de réponse Le pourquoi de l’existence de cette salle. Le pourquoi de la présence de chacun dans cette salle. Le pourquoi de la présence d’une statue bien étrange dans cette salle. "Ah, tout le monde ici viens du secteur premier ou "Secteur Primordium", mais nous avons tous été attirés ici comme des mouches à du … Miel. Il doit y avoir bien plus de secrets dans cet endroit qu’un simple artefact. Comme c’est excitant !" L’hologramme tressauta une énième fois, cette fois, le champs de caméra montré par l’hologramme ne centrait plus sur le visage, mais quelque centimètre au dessus, ne montrant donc que … Une couronne se dandiner.
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Cdte. Asara
Respect diplomatique : 60
20/03/1018 ETU 00:41
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Score : 2
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Alors qu'Asara hochait dignement la tête à l'attention de Qusaru, afin d'approuver ses paroles, une troisième entité apparut à son tour. Ainsi, quelques idées vinrent doucement fleurir dans la tête de la jeune femme. Elle se tourna donc vers les trois interlocuteurs. - Je pense très sincèrement que la fonction de cet hémicycle était de rassembler tous les dirigeants des empires qui peuplent la galaxie, tout du moins, autrefois. Le signal mystérieux à travers toute la galaxie, nous arrivons ici un par un, cette statue qui délivre un message et le fait que cet hémicycle se trouve dans un endroit hors de notre portée actuelle... tout porte à le croire. Et si nous nous en servions à notre tour pour cet usage-là ? Proclama-t-elle solenellement, posant après tout une question rhétorique, puisqu'ils avaient déjà commencés à utiliser cette assemblée afin de converser.
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Cdt. Lö
Respect diplomatique : 180 
20/03/1018 ETU 01:26
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Message édité -
Score : 8
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Oui ! On est la ! *plic* *ploc* *plic* A l'eau ? Il y a quelqu'un ? Tiens... il y a comme un écho... L'image pour le moins inattendue d'une grosse goutte d'eau apparue... *plic* *plic* *ploc* Arrête de farfouiller dans les circuits, tu vas te prendre le jus... et je parle pas du liquide ! L'inattendu tourna au déconcertant quand une bouche se dessina dans la goutte et que, toute vibrante, cette dernière se mit à parler. Ah ! Bonjour vous ! Moi c'est Lö, la goutte d'eau... pour citer l'évidence. Bon heu... c'est encore un peu le bazar, on capte de nouveaux signaux de partout alors qu'il y a 5 minutes on était tranquilles sous l'océan... sous l'océan... tout part à vau-l'eau, on sait plus où donner de la goutte. Bref, à plouf !
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Cdt. Infernum Corp.
Respect diplomatique : 151 
20/03/1018 ETU 01:26 |
Score : 8
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Un étrange phénomène se produisit subitement dans l'assemblée. Des crépitements fusèrent, accompagnés par des étincelles de lumières multicolores (oui, il y avait du rose). Le tour dura une bonne trentaine de secondes avant qu'un hologramme n'apparaisse : c'était un homme, la vingtaine, arborant un sourire d'agent immobilier. Ses cheveux mi-long était dans un étrange style coiffé-décoiffé. L'hologramme était suffisamment convenable pour nous permettre d'affirmer qu'il avait des yeux bleus (mais bon, ce coup-là marchait aussi pour ses cheveux bruns) ! Il était vêtu d'un costume bleu nuit, dévoilant presque sa profession sans qu'il ait besoin de le dire. Il leva deux doigts vers son front avant de les y écarter, adressant un salut aux entités présentes. - Hey, salut la compagnie ! Moi, c'est Owen. Je sens qu'on va bien s'entendre. Il les avait rapidement jaugés du regard, et il était prêt à parier que la plupart adorait les gros calibres. Ça tombe bien, il en avait pleins ! - Je sais pas trop qui vous êtes, et à vrai dire je m'en fous un peu. Mais si vous avez besoin d'artillerie lourde, c'est par chez-moi que ça se passe. Il indiquait sa poitrine avec son pouce, le bombant fièrement. - Ouep, l'Infernum Corporation vend les meilleurs flingues que vous puissiez trouver dans toute la galaxie. Du moment que vous avez l'argent pour, ce que vous en faites n'est pas notre problème. Il fit un clin d’œil à l'assistance. - Alors, c'est quoi le programme ?
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