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Cdt. Corsaire Albator
Respect diplomatique : 25 ![]() 27/06/1014 ETU 01:53 |
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Ceci est un RP, merci de ne pas répondre à ce sujet. Font Sonore https://www.youtube.com/watch?v=qNs2B7L93d0 Un homme au visage sale s'approcha vers le balcon, sous le regard attentif et silencieuse de millions d'hommes, de femmes et d'enfants, culminant à une dizaine de mètres au dessous de lui. De la haut, la vue étant qu'il pouvait se perdre à l'horizon. De son oeil unique, il le ferma, huma de ses narines une inspiration lente et profonde, l'odeur acre des récents bombardements pénétra dans ses poumons. Cette odeur nocive, répugnante, l'apaisa et lui fît plus de bien que de mal, dessinant un sourire sur son visage. La levant d'un coup, il ouvrit son oeil et salua la foule d'un geste autoritaire. A ce moment, son audition put reconnaître les cries de joie dans cette cohésion, il vit des bras ce lever vers lui. - Avant ce jour ... Le calme apparus instantanément, son charisme toucha son monde au point ou il aurait put renverser toute forme d'autorité. Il répéta sa phrase avant de la continuer: - Avant ce jour, chacun de vous étiez des esclaves tyrannisé par un homme, sans liberté sous un corporatisme autoritaire. Hier encore, je vous voyais, mes frères, mes fils, mes petits enfants, vous battre pour une cause, avec un unique but: Cette liberté qui nous a longtemps fait rêvé ! Des acclamations ainsi que des applaudissement ce fît entendre. Afin de pouvoir continuer, l'homme au charisme incontesté leva le bras vers le ciel, faisant apparaître un silence soudain. - Pour cette liberté, des milliards de nos semblables ont périt, nous avons réussis à réunir nos espoirs, nos plus jeunes enfants. De la ou je suis, je peux voir des enfants ayant l'âge à aller au collège, le casque sur la tête, le visage sale. Il dévisagea son peuple. - Alors oui, nous avons réussis, vous n'êtes plus esclave d'un seul homme, mais vous n'êtes pas pour autant des hommes. Ce que j'ai vus la veille de notre victoire, ce sont plutôt des "Héros", des "Héros Libres" ! ! Vivants ou morts, chacun de vous mérite son nom gravé dans l'histoire comme étant l'époque ou nous avons supprimé, après un demi siècle de lutte, les frontière nous séparent de nos camarades, nos frères. J'y ai sans doute perdus un oeil, mais vous, vous avez perdus bien pire: Vos familles, vos amis ! De cette dernière phrase, il leva son bandeau cachant son oeil crevé. - Cependant, il y a une chose dont cette guerre ne vous a pas enlevé, c'est votre courages, votre dignité, votre HONNEUR !!! L'imposante foule s’excita de frénésie à l'annonce de cette phrase. - Désormais, notre langue universelle acquise après des millénaires de diversité, notre liberté incontesté et notre pouvoir de s'exprimer en paix, il nous faudra échanger nos armes contre des graines. Le bras toujours levé. - J'ai appris récemment qu'après ces évènements, un baby boom c'est subitement invité à la partie. Que notre chance nous permet enfin d'avoir des esprits nés libres et en paix jusqu'à leurs morts ! Pour ce faire, nous aurons besoin de nouveaux territoires, une expansion massive telle Rome ou les Amériques il est a de ça des dizaines de milliers d'années. De patience, nous saurons faire des miracles. Il se retira sous les acclamations de SON peuple libre.
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Cdt. Corsaire Albator
Respect diplomatique : 25 ![]() 01/07/1014 ETU 17:36 |
Score : 5
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Cette histoire ce déroule dans un passé proche du discours récemment écrit c'est pour ainsi dire: le flash-back dont je vais vous faire la narration, elle ce déroule 25 années auparavant, racontant l'histoire de cet homme qui à tout changé. Ps: Il n'y a aucun dialogue, vous pourrez vous en rendre compte rapidement. Fond sonore Des explosions retentissent par centaines sur toute une planète, laissant l'air à moitié respirable, le feu consumant chaque ville, une à une. La guerre ce déroule sur toutes les zones intraterrestres, mais aussi hors des frontières du ciel, sur les trois lunes, ou bien dans des vaisseaux, combattant à même l'atmosphère de la planète mère; natale. Au sol d'une de ces villes, des déchets encombres les rues, des bruits de moteurs ce font entendre au loin, malgré l'heure ou le soleil touche son point culminant dans le ciel, la rue est sombre, les rayons du soleil bloqué par les multiples et imposantes habitations ne permet pas à ceux-ci de pénétrer et éclairer ses habitants. Des silhouettes se dessinent au niveau des fenêtres, regardant vers nous, que ce passe-t'il ? Soudain, un véhicule blindé nous traverse avec facilité comme si nous n'étions qu'un ectoplasme. Au dessus cet engin, deux hommes tenant des armes lourdes, suivit par une centaine d'hommes en uniformes noir et rouge, certains sont en armure complète de la même couleur, marchant au pas, le blason de leurs corporation sur le haut du bras de leurs tuniques Ils s'arrêtent brusquement dans la rue, entre de force dans les logements et ressortent avec des enfants, des adolescent et des hommes dont la majorité vient à peine d'arriver. Leurs pères, pour la majorité estropié d'un membre, les regardent sans broncher, sans une larme, comme par habitude de cet acte violent. Une fois fait, des vaisseaux cargos atterrissent, sans faire attention aux multiples bâtiments qu'ils anéantissent dans leurs manoeuvres. Remplissant un cargo, nous allons nous attarder sur un enfant de seize ans tout au plus, il aborde une chevelure châtain dont une mèche peut se dessiner, descendant le long de son front et cachant son oeil droit. De ces poings serrés il reste paisible, s'attendant surement à cette intervention. Le vaisseau décolle, à son bord, une jeunesse par millier, suivit par trois autres appareils similaires. Le voyage est de courte durée, en à peine quelques minutes ils sont déjà arrivé dans un camp remplit de leurs semblables, ces derniers en uniforme rouge et noir, comme les soldats. Malgré leurs âges, ils ont été endoctriné afin de servir leur corporation sans broncher, d'un simple lavage de cerveau. Ces derniers, armées d'armes légères, empoignent les arrivants dont notre jeune homme fait partit et les parques dans une longue file en queue. Certains essaient de fuir, ils sont instantanément fusillé, cependant ça ne ralentit pas d'autres courageux qui tentent malgré tout de sortir du rang. Après plusieurs heures à avancer, notre garçon arrive devant une entrée titanesque de couleur sombre et de matière métallique. Impressionné, il regarde en hauteur l'étendue de l'ouvrage, il n'en a certainement jamais vus d'aussi impensable. Cet éclat d’impressionnisme est vite coupé par la main d'un homme en uniforme l'empoignant et le mettant dans le rang. D'en haut, nous pouvons remarquer qu'il est incontestablement qu'une simple et unique goûte d'eau parmi un océan d'enfants, cependant, malgré la foule inimaginable, il n'y a aucun chuchotement, à part un bruit: Une fille pleure, au loin, il ne la voit pas, il entend seulement par la suite un coup de feu et le silence renaît de nouveau. Il a les yeux neutres, ce disant qu'il a déjà été témoins de plusieurs dizaines, voir centaines d'exécutions. Cette dernière ne le touche pas autant que les autres fois précédents, il s'en fiche même complètement. Une voix impose le silence du haut d'un balcon, un homme en armure apparaît, tous sont attentifs, attendant de savoir ce qu'il va arriver par la suite.
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Cdt. Corsaire Albator
Respect diplomatique : 25 ![]() 02/07/1014 ETU 22:55 |
Score : 3
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Cette histoire ce déroule deux ans après, elle raconte l'histoire de "notre" personnage et continue le récit précédent. Il est conseillé de lire ce chapitre avec la même musique que le précédent. Il marcha au pas, autour de lui vingt cinq millions d'hommes et de femmes en uniformes rouge et noir en formation carré, ils ont un but précis, il en fait partit malheureusement: être la chaire à canon d'une bataille perdus d'avance contre l'Union. Cette dernière a opté pour la couleur turquoise et blanche pour l'armure et l'uniforme de leurs troupes. Leurs technologies est avancé, supérieur, efficace, destructrice, bien plus que la Corporation dont "notre héro" fait partit. Cependant, eux ont l'avantage du nombre, mieux entraîné, mieux endoctriné et n'ayant pas d'état d'esprit, encore moins de compassion, tel les anciens vikings du Grand Nord. Au dessus d'eux, une armée suicidaire volante les protégeant des risques de bombardement, utilisant leurs propres vaisseaux comme missile de contre attaque. Il n'y pense pas, cependant si il avait eu une pensée, il se dirait sans doute qu'il a moins de chance qu'eux, sa mort risque d'être plus lente. Durant de longues heures ils marchèrent, arrivant enfin à destination, son regard se tourna vers le ciel, des bâtiments colossales de plusieurs kilomètres, filtrant toutes lumières, encore, comme si cette histoire se répétait sans cesse. Ils attendirent durant quelques minutes, les armes à la mains, fusil laser d'assaut, grenade magnétique plasmique, char ionique. Au dessus d'eux, un titanesque croiseur dont l'ombre recouvrait un quart des 25 millions d'hommes noir et rouge venait d’apparaître, entouré de centaines de frégates de combats ainsi qu'un nombre équivalent de corvettes, celui du général de cette campagne. En face d'eux, une armée blanche et turquoise se lève, avec un nombre largement moins supérieur que celle de la Corporation, sans doute vingt fois moins nombreuse. Ce ne sont que des soldats normaux, avec un banal sac de survie sur le dos et une arme de longue portée agrippé et faisant le tour de leurs avant-bras, sur leurs ceinturon métallique blanc, chacun d'entre eux possèdent une arme laser de corps à corps. Par couple de deux certains portent d'énormes canons plasmiques devant leurs troupes. Un long silence s'installe, les deux camps ce fixant. Soudain, le croiseur lance un missile haut dans le ciel, indiquant le début des hostilités. Et c'est avec hargne que les troupes de la Corporation coururent, leurs armes à la mains, s’apprêtant à tirer lorsqu'ils seront à portée. L'Union fît de même, cependant ils marchèrent au pas. Le premier homme est mort, un soldat de l'Union. C'était sans doute le signe de départ de cette dernière, puisqu'en ensuite ils coururent. Arrivé à portée de tir, l'armée noire se mit à tirer d'une seule salve sur l'armée blanche. Parallèlement, les blancs ayant prévus cette manoeuvre touchèrent le bas de leurs sac ados, se dépliant sur eux même, créant ainsi une armure de combat, un exosquelette. Bilan de la première vague de tir: cent cinquante morts environs, sans doute dû à la maladresse de certains qui n'ont pas eu le temps de mettre leurs armures. Les dégâts sont incroyablement minime. En moins de quelques seconde, les armures sautèrent sur les hommes de la Corporatie en sortant au dernier moment de leurs avant bras gauche une lame qui, d'un transpercement dans le cou, provoqua la mort instantanée. De leurs bras droit, des armes laser tirèrent sur ceux en avant afin de les ralentir. Soudain, deux dizaines de colosses arrivèrent, des armures blanches, gigantesque de plusieurs dizaine de mètres, un canon lourd dans chaque mains articulés. Des automates aussi rapide et vif que leurs conducteurs. De leurs pieds, ils écrasèrent à chaque pas une bonne demi-douzaine d'homme rouge. Tirant en mitraille, provoquant l'explosion des vaisseaux de combats. Cette attaque eut la ferveur d'énerver le général qui ordonna à ses flottes de participer au combat. Et c'est avec fracas que leurs lasers tirèrent sur leurs ennemis aussi bien que sur leurs alliés, les canons ne faisant aucune différence, cela laissa malgré tout un avantage dans leurs nombres. La suite bientôt.
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Cdt. Corsaire Albator
Respect diplomatique : 25 ![]() 17/07/1014 ETU 22:08 |
Score : 3
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Cette histoire ce déroule quelques heures après la précédente. Trame sonore: " target="_blank" rel="nofollow">https://www.youtube.com/watch?v=etMc9POF_r8&list=RDpKMk9tDPE2s&index=12 Un décors sombre et silencieux remplace le champs de bataille. La pluie commence à tomber et des milliers de cratères sont répartis un peu partout. Des corps gisants, pour la plupart de la Corporation, des armures ouvertes par les tirs de missiles laisse entrevoir les corps de valeureux soldats encore chaud à l'intérieur de l'habitacle, les tripes à l'air. Le gigantesque croiseur est tombé, écrasant une partie de la ville ennemie avec lui, suivit des frégates et des corvettes, telle une escadre kamikaze. Dans un cratère de tir plasmique, un homme a survécus, il n'est sans doute pas le seul à avoir eu cette chance, cependant nous nous intéresserons à lui. C'est "Notre Homme", il a désormais un oeil crevé après s'être prit un coup d'arme laser pendant un combat au corps à corps, il a eu énormément de chance. L'homme se repose, les yeux clos. Au dessus de lui le ciel est rouge. Il hésite quelques secondes puis tire de sa ceinture une cigarette. Il l'a gagné lors d'une partie de poker illégale. Il l'allume et la savoure d'autant plus qu'il a faillit être pendu pour avoir pratiqué ce genre de jeux. Tout en la fumant, il regarde autour de lui. Il sait qu'ils ont perdus la bataille. D'un côté il se dit que l'ennemi, malgré leur victoire, ont en partie beaucoup perdus. Seconde trame sonore: https://www.youtube.com/watch?v=6QrSy8TzRIU&index=8&list=RDpKMk9tDPE2s Un déclic derrière lui, le bruit d'un chargeur. Il n'a pas le temps de se retourner qu'une voix lui dit: - Ne bouge plus, lève toi et lâche ton arme. Il s'exécute, jetant son arme au loin, enlevant sa ceinture, se relève et monte les bras en l'air. - Retourne toi, doucement ! Il se retourne. Il voit enfin le visage de l'homme, l'Union évidemment, qui d'autre ? D'un air répugné il tire sur sa cigarette et relâche une bouffé de fumée sur le soldat bleu et blanc. Pour répondre à cette provocation, ce dernier lui prend la cigarette de la bouche et la place dans la sienne, lui rendant la même mimique, cette fois-ci en souriant. - Maintenant, tu vas me suivre mon gars ! Mets toi devant moi et continues tout droit. Il obéit sans dire un mot, sentant qu'il n'allait sans aucun doute pas survivre à l'interrogatoire. Pour cause, il ne savait absolument rien, cependant ils l'ignorent. A suivre ...
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