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Cdt. Beurk
Respect diplomatique : 639 ![]() 11/07/1014 ETU 23:50 ![]() |
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Score : 13
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// Rp privé // Fond musical conseillé : http://youtu.be/x5uwihWGu-I Les orks étaient amassés là. Ils attendaient parce que quelqu'un leurs avait dit de venir et d'attendre. Ils n'avaient pas besoin de savoir quelque chose de plus. D'autres venaient encore. Il y avait les fondu'd'la vitesse qui faisaient gronder les moteurs archaïques et bruyants de leurs motos, crachant des chapes de fumées noire. D'autres orks se pavanaient parmis les boyz, engoncés dans leurs armures faites de bric et de broc, ressemblant plus à un amas d'ordures qu'à une véritable armure. Mais prendre ce que l'on voyait pour une réalité eût été sous estimer la débrouillardise et l'ingéniosité des mékano. Ce rassemblement gigantesque d'ork piaillaient, grognaient, rigolaient, s'amusaient, ne savait plus pourquoi il avait été amené ici mais les boyz s'amusaient bien. En haut d'une colline, la carrure imposante, même pour un ork, du Kap'tain Beurk apparu. A sa gauche se tenait mister Spork, pro'd'la molette auto-proclamé. Il poussa un hurlement si puissant que tout les orks s'arrêtèrent dans leurs occupations, tournant la tête vers leurs chef. Le regroupement de plusieurs milliers d'orks était impressionnant de par le calme qui y régnait. Seuls les bruits crachotant des moteurs brisaient ce silence. Bon les boyz. J'ai d'cidé d'un grand truc. Trafal-truc et son kopain cody y 'sont mis à taper sur nos boyz. Plutôt que d'causer, j'ai d'cidé qu'on allait frapper un grand boum dans leurs face de zoms. Puis y'a aussi un aut' p'tit qui cause pas et qui s'croit tout permis qu'y va falloir qu'on krase. Y'a aussi l'zom qu'y a invité qu'y va falloir kraser. Et alors, j'vous dit pas la meilleure. Y'a des snots qui s'croient tout permis qui veulent encore venir chez nous. Du coup, ça va faire pleins d'gens à kraser. On a pleins d'matos et mister Spork et tout les mékano y vous z'en donneront tout pleins gratos ou pour une ou deux dents. Mais z'inquiétez pas. C'moi qui vous donne pleins d'matos pour aller vous z'amuser les boyz ! Mais on va pas que d'faire qu's'amuser. Non. On va couper, kogner, kraser ! On va lancer la waaaaagh ! Les orks, grots et snots présents reprisent en cœur ces quelques mots connus par cœur. Un exploit pour les plus petits des orkoïdes. Tire, kogne, krase ! Tire, kogne, krase ! WAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAGH ! Le kap'tain retourna dans son quartier, satisfait de son petit discours. Certains sur le retour l'appelaient « l'prophet d'la waaagh ». Ce nom lui plaisait bien et le fit sourire.
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Cdt. Kaitan Avery
Respect diplomatique : 204 ![]() 12/07/1014 ETU 02:27 |
Score : 4
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Raffut suivit avec attention la déclaration du capitaine Ork, depuis qu’ils avaient eu l’occasion de discuter sur des projets d’armes plus fous les uns que les autres, il appréciait grandement ces individus. Des machines à tuer, des foudres de guerre, des oracles du massacre, la mort incarnée. Cela plaisait à Raffut. Chers amis, je suis ravi de voir enfin un peu d’action de votre part, de la théorie nous passons à la pratique. Je vois déjà un magnifique tableau de viscères sanglants éclaboussant les visages durs de ces petits gars-là. Mais cela n’est pas assez, cela ne me satisfait pas entièrement. Votre guerre mérite mieux ! Il me faut plus d’explosions, plus de morts, plus de sacrifice… de ma propre main je ne peux envoyer des milliers de troupes s’écraser sur une planète, mais à ma volonté RIEN, J’AI BIEN DIT RIEN, RIEN N’EST IMPOSSIIIIIIIIIBLE. Hihiahahouhouhouu. J’ai à ma disposition quelques modestes bataillons de sondes d’exploration que j’enverrai déferler sur vous ! Non, bien entendu je plaisante hihi, j’ai récupéré de ces vaisseaux qu’affectionnent tant les fédérés, des kamikazes. Les sons de ces mots sont si doux à l’oreille vous ne trouvez pas ? KAA-MIII-KAAAAZE ! J’en ai des milliers, des dizaines de millier, peut-être même des centaines… Je m’engage donc dès aujourd’hui à fournir ce matériel aux Orks, modifiés par mes bons soins pour l’occasion, afin que nos précédentes discussions technologiques prennent sens, ainsi, le spectacle sera à la hauteur de mes espérances ! Raffut rejeta la tête en arrière et leva les bras vers le ciel, sa démence semblait grandiose, son être, tout ridicule et étrange qu’il était, dégageait une aura surprenante, entrainante et son rire dissonant vint résonner en cascade contre les murs de l’hémicycle, comme une nuée de kamikazes viendrait se briser contre une pauvre, pauvre petite planète.
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Cdt. Beurk
Respect diplomatique : 639 ![]() 17/07/1014 ETU 01:19 ![]() |
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Score : 11
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// thèmes musical : http://youtu.be/xf9pTQtFEes Le kap'tain regarda avec dédain le petit homme, comparé à lui. Rien ne valait un ork, mais il savait bien qu'il était obligé de traiter avec les autres races, s'il voulait que lui et ses boyz aient un espace où vivre. Un espace où se battre. Il savait aussi qu'il ne fallait pas sous-estimer ces petits êtres qui pouvaient se rendre aussi malins qu'un grots, si la situation le demandais. Même si les humains aussi malins se montraient rares, ils existaient. Et il lui fallait bien traiter avec eux. Après tout, ils sont comme ces innombrables tribus d'orks, ne cherchant que de la bagarre et un endroit où être tranquille pour roupiller. J'sais pas c'est quoi, t'façon y devrons passer dans les main d'not mékano pour qu'les snots et les boyz y pilotent vos engins. D'habitude yles snots posent leurs fesses sur les rockets et y les conduisent jusqu'à que ça fasse boum. Après y'a les roks qui tombent par terre et les boyz y peuvent y'aller. Un rok par bande. Puis après les boyz y s'débrouillent pour prendre c'qui reste, et y peuvent piller si y vont assez vite. Et des fois y r'trouvent un snot qui s'est pas perdu en ch'min quand y pillent. Le kap'tain parlait tout en s'avançant, expliquant les « grands » détails d'une invasion ork. Il s'arrêta, se tourna vers son interlocuteur et s'assit dans le trône qu'il s'était fait construire. Un trône construit avec tout le matériel les plus précieux pour un ork. On pouvait observer ci et là des marquages de blindages d'antiques civilisations disparues dans le feu de la guerre, alors que les crânes ornaient les accoudoirs. Si 'voulez, vous pouvez v'nir avec nous voir comment on s'bat. Mais j'suis pas sûr qu'vous rentrerez en un seul morceau. Ha ha ha ha. D'accord. Le dément avait parlé. Sa réponse avait surprit le kap'tain, et la plupart des orks présents ricanaient à l'idée de vois un humain dans un vaisseau ork. Et encore plus à l'idée qu'il dû supporter l'atterrissage d'un rok et participer à l'assaut, même de loin. ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Contrebande du Secteur 4 - arlong.park - 13/07/1014 ETU 23:26 Les orks avaient jetés leurs dévolus sur ce système et cette planète. Pour ses pauvres habitants, le ciel s'était assombri, le soleil masqué par les immenses vaisseaux des orks, s'approchant de plus en plus vite, franchissant l’atmosphère de la planète à une vitesse ahurissante, une vitesse mortelle pour n'importe quel vaisseau civilisé. Des chapes de fumées s'échappent de ces roks, laissant derrière eux des traînées aussi noire que la nuit, assombrissant un peu plus le ciel de la planète. De ces engins sortirent de nombreuses rockets jaunes, pilotées par des petits orkoïdes que l'on appelle snotlings. Ces petits orks à cheval sur les missiles crient et piaillent de bonheur devant le jeu auxquels ils s'adonnent. Pour eux, il n'y à qu'à pointer l'truc qu'est jaune et pointu droit vers un truc qui tire beaucoup et qu'est pas ork. Les rockets, tirées par milliers s'écrasent sur la planète, transportant avec eux le dernier cri de joie, la dernière insulte ou encore un geste obscène ou bien une raillerie destinée aux défenseurs dans des explosions phénoménales. Un rok plus gros que les autres s'écrasa dans la ville principale, la capitale de la planète où le gouvernement se trouvait. L'immense structure de métal brûlante réduit à un simple amas de gravât les grattes-ciels présents dans sa course folle et finis par atterrir dans une énorme place, creusant un gigantesque cratère dans le sol, jetant à terre les bâtiments aux alentours sous la force de l'impact, la moitié de la structure s'étant enfoncée dans le sol. Des rampes primitives sortirent de toutes parts de l'énorme l'amas de métal, déversant ses hordes d'orks et de véhicules encore plus bringuebalants que celui dans lequel ils sont parvenus jusqu'ici. … Les combats faisaient rages dans la capitale, cela faisait plus de 20 minutes que le rok s'était écrasé là et il déversait toujours et encore plus de boyz et de véhicules. Comme un torrent dont la source ne peut se tarir. Les forces de défense de la capitale s'étaient regroupées autant que possible aux alentours du palais gouvernemental, une immense structure renforcée dont les barricades et immeubles voisins encore debout donnaient aux défenseurs des postes de tirs relativement sécurisés devant l'affluence toujours plus nombreuse d'orks. Le kap'tain s'avançait à hauteur de la barricade de laquelle les orks tiraient sans s'arrêter sur les défenseurs, Raffut à sa droite et mister Spork avec son shokk attack gun à sa gauche, d'autres mékano portant la même et étrange arme se tenaient derrière. Beurk tenait dans sa main droite une immense hache dont l'arrière de la lame était ornementée de crânes d'anciens ennemis récupérés lors d'épiques combats et à sa main gauche était accroché un gantelet énorme, dont les griffes faisaient facilement la buste d'un homme. Sur cette griffe était fixé des sortes de mitrailleuses orks, dont le fonctionnement parfait était un mystère, même pour ses créateurs. Derrière eux se tenait un fouettard ork, accompagné de sa bande de runtz, des snotlings principalement et quelques gretchins ayant pour rôle celui de grands frères. Ce troupeau était gardé par plusieurs squigs grogneurs, qui tournaient en permanence autour du troupeau, mordant les mollets de traînards ou de ceux s'étant jetés, avec pleins d'enthousiasmes, dans un trou, à force d’entraînement et de conditionnement. Le fouettard commenca à frapper énergiquement du pied en faisant de graves "whoop whoop", ce qui à pour effet de mettre les snotlings dans un état d'anticipation et d'agressivité. Bientôt, les snotlings excités sont tendus et essayent de s'échapper comme des chiens enthousiastes, et doivent être retenu par le fouettard avec l'aide de ses squigs de garde. Tandis que le fouettard était occupé à exciter son troupeau, les mékano mirent en branle leurs machines étrange et les pales rotatives se mirent à tourner. Finalement, une sorte de trou noir apparu dans l'espace devant le canon de l'arme, duquel semblait s'échapper une énergie malsaine et l'on pouvait s'attendre à ce qu'un démon surgisse de ce trou à n'importe quel instant. Cela ne gênait pas pour autant les orks qui continuaient de faire ce qu'ils faisaient sans se soucier de ce trou annonciateur de désolation. Les mékanos pointèrent dans la direction du palais et des barricades leurs étrange dispositifs et pressèrent la détente. Plusieurs trous noir apparurent au dessus des têtes des malheureux défenseurs. Le fouettard ork ne pouvait plus retenir son troupeau plus longtemps, sur-excité par les bruits incessants et leurs envie de se jeter dans le trou présent devant eux. Les cri de terreur des snotlings se perdirent rapidement lorsqu'ils découvrirent ce dans quoi ils avaient réellement plongé tête la première. Les petits orkoïdes apparurent de l'autre côté du tunnel, totalement hystériques par cette expérience, tels des chats effarouchés ils se mettent à griffer et mordre toutes personnes présentes aux alentours, certains perdant le contrôle de leurs fonctions corporelles, se mettant à déféquer sans pouvoir s'arrêter, d'autres encore tombant dans des états de folie pure et bégayante. Le kap'tain pointa vers l'avant sa hache, montrant le palais et les défenseurs déconcertés par l'arrivée des petits orkoïdes, courant en tout sens entre leurs jambes et leurs griffant au passages les attributs. Allez les boyz, on y va ! Waaaaaaaaaaaaaaaagh ! Les orks chargèrent, déchargeant les restants de munitions qu'ils avaient dans les airs ou en direction de leurs opposants trop occupés à se battre contre les snotlings hystériques pour s'occuper de la charge des orks. … Un véritable massacre, c'était ce qu'était la bataille pour arlong.park. Les corps des orks jonchaient les rues, et entre eux se tenaient les corps sans vie des forces de défense planétaire. Quelques orks pillaient parmi leurs congénères tombés, pour récupérer dents et autres armes utiles pour les prochains combats. Il fallait de quoi équiper les autres orks qui venaient pour les batailles à venir.
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