La fin de la République.

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Cdt. Nihil Varekk Respect diplomatique : 61 16/07/1014 ETU 17:33

Score : 10 Détails 0 : orthographe insuffisante 0 : présentation bâclée 0 : hors sujet 0 : hors role play 0 : message insultant efforts visibles : 0 message adapté : 0 message remarquable : 7 humour décapant : 0 role play intéressant : 3 Pour l’avant-dernière fois, une lumière aveuglante illumina l’assemblée galactique. Chacun savait que cela annonçait l’apparition imminente du Commandeur Nihil Varekk. Cependant, alors que l’intense halo baissait d’intensité, ce ne fut pas Varekk qui apparut, mais Defias Felicis, qui avait récemment prit sa place à la tête de la République en raison du coma dans le lequel était plongé le Commandant. Les apparitions de la République étaient rares, si bien que le siège où s’assaillait normalement son représentant était vide depuis plusieurs cycles. Mais Felicis ne devait pas émettre depuis la salle habituellement destinée aux communications holographiques ; il se tenait debout, mais il gardait le dos vouté, comme s’il avait peur que quelque chose ne surgisse de nulle part pour le dévorer. En réalité, il s’exprimait depuis le troisième étage de la Tour de Garde, sur Epsilon-X342. Dans ce bâtiment ultra sécurisé, toutes les pièces étaient pourvues de terminaux consacrés aux messages d’urgence. Quand il prit la parole, tous les commandants en présence purent entendre au ton de sa voix et au débit rapide des mots qu’il prononçait, qu’il était terrifié et à bout de nerfs. - Commandants, nous implorons votre aide ! Le Pourpre est ici et il veut ma peau ! Ce misérable a attaqué simultanément toutes les planètes de la République. Nous sommes en passe d’être rayés des cartes d’Utopie ! Il s’arrêta brusquement pour tendre l’oreille. Quand il se fut assuré que le bâtiment autour de lui était silencieux, il se força à contrôler sa respiration et à reprendre son calme. - Je ne sais pas pourquoi mais il semble que… l’indisponibilité du Commandant Varekk ait déclenché cette invasion. En tout cas, je jure solennellement n’avoir jamais agi de manière à froisser Le Pourpre. Je maintiens également ne pas comprendre les griefs qu’il a envers la République et moi-même. Il était jusqu'à présent notre allié et nous étions même en passe de conclure un accord important avec lui! Il sursauta lorsqu’une voix se fit entendre au loin. - Le voilà. Il arrive. Je crains de ne pouvoir raisonner avec lui. Je vous prie de réagir le plus vite possible ou il sera trop tard… La transmission se coupa net, dans un ultime halo de lumière. Plus tard, les commandants se rendirent compte que Defias Felicis était mort et que toutes les planètes de l’ancienne République étaient tombées aux mains du Pourpre. Le Commandeur Nihil Varekk avait quant à lui disparu sans laisser de traces, comme nombres de Varekkis...

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